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[London]

Avant l’automne, rien était calme,
Rêveur, je contemplais les morts.
Seules au loin, les sirènes invoquent l'amour.
Mais au-delà du phare, Ankh nous effraie,
Il est donc impossible d’y aller
Même s’il fait noir, elle saura que nous sommes là
Là-bas, où le sang coule sur les bras des jeunes pêcheurs
Dieu s’élève et apporte la paix aux cœurs meurtris
Mais plus que la quiétude, Dieu offre la mort à qui le veut
Et ce n’est pas une idée morbide que de penser à cela
L’enfant lui, insouciant, y pense dans ses rêves les plus sombres
Et de sa mère au dessein d’une mort, cette idée ne lui est pas inconnue
Sa mère était dépressive, son père lui, n’existait pas
L’amour que la Russe lui donnait l’emporta.

[London]

Je pense qu'on va bien s'entendre

A bientôt, London Lipstick.

[heloise]

Dans mes nuits bélières
De mon rude petit crâne
Je défonçais ta porte
Et fracassais tes rêves

[London]

Je n'attendais que toi Héloise.

"Paka", London.

[emeline]

cette Russie à Prague

[Kathya]

Nous portons en nous toute cette terre, ce ciel et ces océans, que ferions-nous vides de cela?

Mes amitiés.

Kathya.

[London]

Bisous!

[Nobody's perfect]

Si l'amour n'existait plus, j'arrêterai de me marecager!