La Fosse Beauté
#1
Posted 26 June 2006 - 11:20 AM
Et les cheveux tout harassés des tours de boucles artificiels
semblaient complètement indolores.
un long filet de plainte à lui distant des solitudes
frémissait contre la pierre à sec. La pierre défoncée
aux dogs martins aux projection de la chimie
de l'homme à l'eau, de l'eau aux quais. Elle était là contre la grille
ce bout de peaux soudées, cette anoblie.
Je remontais heureuse (des yeux)
son instrument broché. Son cheveu boost et luisant
qui grince contre la force de l'air. Cette plaintive, un fruit. Jusqu'aux
éclats noirs en symétrie. Dans l'explosion pleine de son visage, la vulve au centre. gonflée Descend le rouge
du trou des seins de la robe. Assez béat pour que l'on voit les jambes détaler.
C'est un régal, non c'est un étalage oui. Les souliers noirs à la renverse comme les sourcils de brise.
Le vent qui renverse la coiffure, la chaussure glisse sans les chevilles,
et la robe puise à l'encontre du ventre plat, ce qu'il n'y a plus.
Ce qu'il n'y aura peut-être pas. Du coffre
c'est un amas sans voyage, elle n'a pas de tige
à prendre du haut en bas on dirait que c'est l'histoire du visage qui n'existe pas ou le contraire.
En gris sommet de la couleur des alentours, du dos aux grilles
ça se contente de rester là et de se faire toucher le trou en même temps la pilosité. En contre haut je vous regarde,
les parapluies peuvent coudre leur grésillement au-devant vous
sept hommes qui ne se méprennent pas à vous perdre la vie, la femme la main perchée dans votre poitrine - à juste titre à ajuster
Mais la vie rejoint le pont, à grimper le verre tangue le flot plus loin.
Il s'arrache à cette scène, c'est lui la vie. Je répète qu'il pourrait se tenir sous des caméras, il est assez ivrogne et bouclé. Mais lui c'est la réalité, et il en rit. Ça lui prend si fort que la mer brune tourne coincée
dans sa bouteille, de l'autre main en veilleuse sous le cul de celle-là. Il pousse vers sa bouche l'effluve d'un jour autre. Les cheveux dressés comme des roseaux
la robe qui se plie, la dress qui ne casse pas. Adipeux il ajoute sa crasse à mes contours du haut du pont, nous souhaitons donner
la mort à ce collage rouge. Dans la verdure, dans la Seine qui brasse.
Le sourire qui danse, il en continue. pas à plaire des libres, le soulève
ailleurs. La beauté est toujours là, en bas. La frise qui décuple de la plainte lâchée
et les sept hommes rivés
qui ne voient que la fosse.
#2
Posted 26 June 2006 - 02:28 PM
j'ai calculé si je dors assez longtemps, je peux arriver à faire sauter un repas
mince alors, je vais encore devoir ecrire aprés ça
bonne vie les gens, il fait jaune comme un soleil
#3
Posted 26 June 2006 - 03:02 PM
Mes amitiés.
Kathya.
#4
Posted 26 June 2006 - 08:56 PM
encouragements
#5
Posted 26 June 2006 - 09:07 PM
Il est la vie. Pas la vie qui passe. La vie qui est, la beauté vive, qui parle, qui résiste devant les choses figées, devant la boue que charrient les fleuves et les grands bois, verts ou noirs. C'est selon.
La paix, la paix bourgeoise est plus dans ton paysage que dans ton corps bouillonnant, sous le soleil de tes années.
J'ai oublié la pureté (mensonge) mais le temps m'a hyperesthésié sous le frottement des couleurs, de l'éclat des robes d'été et des sens flambant des hommes (et de leurs songes, mal définis...)
Muss es sein, es mus sein !
biz
#6
Posted 24 August 2006 - 02:00 PM
tu ne dois rien
et le soleil ne nous doit rien non plus depuis longtemps
Kathya .. .
.. ..
......... ... . ... ...
la belle . on se croirait au conseil de classe (:
hamster
exact tu te fais prendre
on se fait tous prendre
C'était un model . en contrebas d'un pont de la Seine . entourée de sept hommes et autant de panneaux argentés pour relever ses traits. Ses traits lisses toussent, ses traits lisses tous tombant vers l'eau à ces quelques centimètres. C'était un affreux joyaux une poussière luisante, elle accaparait tout. tout à tromper de son éclat Comme si ses cheveux pouvaient se détacher d'une seconde à l'autre et se recoller autre part. Un model en pièces détachées. en modèle de toute pièce complètement attachée à nos assouvissements et complètement absente.
Edited by emeline, 25 August 2006 - 09:27 AM.
#7
Posted 24 August 2006 - 08:29 PM
Ta description appelle au rêve, comme l'écriture de Michaux. Elle est porte ouverte vers le présent, et le passé. (Tu es notre avenir.) Et à côté, on arrive à voir à travers tes yeux. Les yeux d'Emeline, plus forts que ceux de Laura Mars.
Tes yeux sont lumière, caméra sans son. Tu as l'exclusivité du script.
(A part ça : tu pars quand ? J'espère que tu continueras d'écrire ici quand tu auras franchi la frontière... Tu es une des rares prodiges de TLP.)
#8
Posted 25 August 2006 - 09:33 AM
Lundi j'y vais .puis jreviens et encore jrepars vraiment
ça n'a pas d'importance.
non je ne suis pas prodigue . tu as la chance d'être proche de ce que c'est dans tes analyses , tes découpes
souvent et à peu de choses . tu dis bon , et vite.
je te dis ça doit être certaines personnes privilégiées .
mais sinon tu as bcp bcp trop d'estime pour tout ça .
vraiment
peut être que biensur comme tout le monde et tous les bons vins je peux m'enjoliver
mais en tout cas. Ca n'a rien de transcendant. C'est peut être agréable le voyage de tps en tps
mais . je ne crois pas, j'en suis même sûre, ce n'est pas prodigue.
Biensûr que j'aurais aimé
si ça l'était j'aurais déjà publié un receuil . et je pourrais partir en russie pour mes dix huit ans
grâce à lui .
tu vois . ça ne l'est pas . alors merci bcp pour toute ton attention (petit père ; ) ) pour tes intentions encouragements. biensur . c'est loin d'être désagréable . but be less enthusiastic
or at least. be ...realistic
#9
Posted 25 August 2006 - 12:28 PM
en fait ça parle de quoi ??
même à haute voix j'arrive pas à lire...
je pense que c'est bien compliqué et pas fluide pour deux sous...dommage !
et je suis pas du tout d'accord avec les commentaires au dessus.
ça serait peut-être bien de prendre un peu de temps et de re-peaufiner le truc.....
en toute amitié
Buch'
(cool !!!)
#10
Posted 25 August 2006 - 03:43 PM
(C'est de l'écriture automatique : il y a des gens à qui ça parle...)
Mais il n'y a rien à retravailler ; c'est la beauté pure du premier jet, et ce type de poésie ne se retravaille pas...
Amicalement
#11
Posted 25 August 2006 - 04:24 PM
je comprends et suis tout à fait d'accord ,
mais persiste à penser que dans l'interêt du lecture et de la lecture,
il serait sympa d'écrire en français .....
La pierre défoncée
aux dogs martins aux projection de la chimie
de l'homme à l'eau, de l'eau aux quais. ......
.....et la robe puise à l'encontre du ventre plat, ce qu'il n'y a plus.
Ce qu'il n'y aura peut-être pas......
......Mais la vie rejoint le pont, à grimper le verre tangue le flot plus loin. ....
...... Dans la verdure, dans la Seine qui brasse......
.......... pas à plaire des libres, le soulève ailleurs. ......
...... La frise qui décuple de la plainte lâchée.....
.......!!??!!
enfin c'est juste un p'tit avis !!!!
sinon pour le côté spontané je suis d'accord ......
salut .....
.
Edited by buchmann, 25 August 2006 - 05:49 PM.
#12
Posted 25 August 2006 - 08:21 PM
parce que selon que l'on écrit automatiquement ou non on est compréhensible ? Allons ....
ce n'est pas le fait que ce soit de l'écriture automatique qui fasse qu'il "n'entende pas" cetexte (d'ailleurs c'est quoi l'écriture automatique ? au juste ?)
Moi j'aime bien ce que fait Emeline, et c'est sans doute parce que je ne capte pas tout et que des choses semblent me toucher alors que je sais qu'elles me sont totalement étrangères ... mais si ça se trouve c'est juste parce que c'est une fille.
Franchement ? J'adore cette phrase ... un des trucs les meilleurs que j'ai pu lire depuis longtemps ... c'est pourtant d'une telle simplicité ...
#13
Posted 25 August 2006 - 08:26 PM
Le reste, ça n'est pas des fautes : ce sont des libertés prises avec la langue, parce qu'elle est libre, sur son papier, Emeline, elle s'évade, et elle a l'audace de bousculer les règles, quitte à faire évoluer la langue française, n'en déplaise à ces cacadémiciens, gateux et poussiéreux...
Et moi je préfère de loin ces libertés, à l'oubli de l'othographe et l'emploi du langage SMS !
Tu Konpran ?
Emeline : je ne sais que ce que tu m'as dit...
Et je n'ai pas une trop haute opinion de tes écrits, je pense sincèrement que, comme tous les génies méconnus, tu ne te rends pas compte ; mais tu dois savoir aussi que la poésie - même la plus sublime - ne vaut pas un clou sur le marché financier (il faut éventuellement mourir pour qu'elle prenne un tant soit peu de valeur, comme la peinture, et encore...), et qu'on ne peut en vivre, à moins d'accepter de vivre comme un clodo : tu vois, je suis realistic, my daughter, ce qui ne m'interdit pas d'être enthousiaste !
Kisses
#14
Posted 26 August 2006 - 05:41 PM
biensur que c'est un avis à prendre en compte. Le ham' parle de mes fautes, j'ai plutôt compris ta réponse par l'incompréhension des lignes .
alors je te fais une traduction :
"La pierre défoncée
aux dogs martins aux projections de la chimie
de l'homme à l'eau, de l'eau aux quais."
. C'est cette pierre au bord de l'eau de la Seine, c'est ce quai ce sont ces pavés
je dis que l'on marche dessus (doc martins) . que l'on ammène ses chiens
(dogs). que l'on laisse s'échapper des substances malhonnête . de celles qui révolutionnent nos vies
des liquides vaisselles un flacons de parfum. pourquoi pas ? tout peut tomber au bord d'un quai capital,
à cause des "parisiennes, ces femmes capitales"(quote = miss tic qui tague dans le XIIIème . et autres)
Toute la scène est observée sur le bout d'un des ponts qui rejoint une des îles à une berge de paris. tout est en plongé
et de là haut on se rend compte que ce que les hommes délaissent. Ce dont chacun se défait, dans le courant du fleuve, finit par revenir sur les quais et se cogne à cette pierre défoncée. Tu peux y mettre de la vie aussi, une certaine forme de vie, par toutes les formes d'émotions qui s'échappent le long des rives, une certaine forme de vie imprègne la pierre.
"et la robe puise à l'encontre du ventre plat, ce qu'il n'y a plus.
Ce qu'il n'y aura peut-être pas"
. là il faut la suite pour comprendre . sans relire , de tête je crois que je parle
du coffre qu'il n'y aura peut être pas.
de là haut, de ce pont, on voit la berge donc. cette pierre trouée ce rebord infâme aux couleurs rongées... est occupée. La scène c'est une séance de photographie d'un mannequin parée d'une robe au bord de l'eau. elle est adossée contre une perpendiculaire à la lignée du fleuve (cette perpendiculaire est une grille) . et on l'a voit de face, les jambes étirées à la limite de l'eau. L'une qui vacille plus vers la seine que l'autre. Le ventre de la femme est si profond, profond vers l'intérieur, vide . Elle n'est rien, on la balaye à chaque coup de cils pendant nos regards qui ne s'arrêtent pourtant pas.
Cette femme. non non ce n'est pas une femme, cette icône n'est rien en elle même. C'est là qu'on s'en rend compte.
"Mais la vie rejoint le pont, à grimper le verre tangue le flot plus loin."
. Un évènement bien plus banale que cette scène pour privilégiés survient, et détrône complêtement la valeur majestueuse à l'autre. La vie, je le décris ensuite. la vie ici est un ivrogne qui surgit de nulle part, enfin si . qui monte de cette berge de cette agitation de fourmilière, qui monte jusqu'au pont , en regardant tout ça et riant de bon coeur. Le flot de sa bière rappelle la seine, il répercute ses mouvements. Il a l'air de savoir exactement comment sortir de cette misère, du ridicule de ses humains qui s'occupent à se déshumaniser. Il a l'air de peser la clefs au fond de sa poche et d'être apaisé par elle. Ca lui suffit, il a sa porte de sortie. son ouverture, le reste il s'en fout. Il est le plus réel
"Dans la verdure, dans la Seine qui brasse"
.la verdure, sincèrement je ne sais juste plus/ peut être la couleur ignoble de l'eau.
pour la Seine qui brasse. l'ivrogne et le narrateur, la pousseraient bien . la feraient basculer comme l'on donne un coup de pied dans une pierre. Elle balloterait dans la Seine qui brasse l'eau
"Le sourire qui danse, il en continue. pas à plaire des libres, le soulève ailleurs."
.Son sourire danse, il le soulève ailleurs. Il continue pas à pas, délivre. il plait aux gens libres.
"c'était si drôle qu'il - en continue-"
je suppose qu'il délire aussi
"La frise qui décuple de la plainte lâchée"
Pour comprendre ça il faut revenir au début.
là dans cette phrase, je parle des cheveux qui se bouclent
et la plainte lâchée, c'est le vent.
puisque :
"En contrebasse de la brune le vent criait à l'angle mort .
Et les cheveux tout harassés des tours de boucles artificiels
semblaient complètement indolores.
un long filet de plainte à lui distant des solitudes
frémissait contre la pierre à sec."
En contrebas, biensur, puisque vu du pont.
Le vent comme un archet semble jouer de la contrebasse contre ses cheveux. le vent est perpendiculaire (angle mort) à eux. Ils sont pourtant incapable de raisonner correctement
ils ont subis trop de permanentes... à la place, la lutte du vent contre les cheveux produit une plainte.
et puis une femme s'occupe de la perfection du mannequin, lui redresse le soutien gorge, et lui arrange les cheveux en permanence, on se doute que pendant que les septs hommes ne voient que la crevasse entre les deux seins parfaits (et bien mis en évidence) du mannequin, la femme se plaind de ce vent, à contre courant de son travail.
bon voilà pour tout ça . voyez. enfin . non en faite vu que personne n'aura lu jusque là, on s'en fout dcque jdis à la fin.
c'est tout. ça s'extrapole, c'est de la dentelle
et REMO franchement.
ça fait plaisir
Edited by emeline, 26 August 2006 - 05:41 PM.
#15
Posted 26 August 2006 - 06:10 PM
biensur que c'est un avis à prendre en compte. Le ham' parle de mes fautes, j'ai plutôt compris ta réponse par l'incompréhension des lignes .
alors je te fais une traduction :
.......
heureux de voir que tu n'as pas mal pris ma remarque !!!
et franchement merci pour toutes ces explications ,
c'est beaucoup plus beau et évident quand c'est expliqué.
En fait j'aime beaucoup tout ce qui est suggéré , mais dans ton cas je trouvais (...et trouve toujours ) que tu n'as pas fait l'effort de mieux construire ton imaginaire ou plutôt la reproduction de ce qu'évoquaient les scènes pout toi ....
J'ai l'impression que c'est un travail pas fini, en mettant un peu des bouts de phrases bout à bouts sans lien subtil. ......
enfin c'est juste mon avis..........
.
#16
Posted 26 August 2006 - 06:23 PM
tu sais
je suis exactement du même avis
je souhaite que ça soit beau . pas seulement parce que ça siffle entre la langue et le palet
pas seulement parce que j'en met des couches
j'aimerais que ça soit bon et doux . que ça soit pertinent entre les couches d'oignons
ce qu'il y a c'est que je n'arrive pas à mettre "moins de liens subtils"
c'est une question de flemmardise, si je commence à expliquer . ou j'explique d'en dehors comme j'ai fait et ça ne me dérange pas, ou je tente pendant l'écriture . et là je n'ai plus du tout envie
alors pr l'instant je n'ai pas la solution, et je laisse couler.
mais déjà je pense à peut être en repriser quelques uns
le truc . c'est que je sais, que quand on sait ce que tout veut dire et ce que tout montre, je sais que les liens sont vmt pas génants, mais plutôt fluides justement. Ils ont la rapidité d'une conversation avec soi même , c'est agréable
on m'a dja dmandé d'en retoucher.
on m'a dja dmandé d'écrire sous musique
on m'a dja dmandé de continuer les récits .
je f'rais surement un peu de tout et d'un chacun, on verra . Voilou
tsais . on fait c'quon peut . mais c'est vrai j'aimerais bien que ça soit tangent compréhensible. parce qu'en plus tout ça, si on se le laisse surgir sous les yeux
tout ça c'est magnifique. c'est cadencé et ça en jette
ça . c'est pour que vous le viviez
il faut comprendre par les émotions .
je sais bien qu'c'est impossible
bisou
Edited by emeline, 26 August 2006 - 06:29 PM.
#17
Posted 26 August 2006 - 07:14 PM
Tu vois, ma fillotte, même si j'avais pas compris les détails, j'avais saisi globalement le sens, et qu'une femme était le sujet un peu artificiel d'un spectacle... en contraste avec la vie, réelle.
Le cinéma est un thème qui revient souvent chez toi.
Il y a toujours quelque chose de décalé quand on voit quelqu'un poser pour une photo ou un film. Ainsi, ça me rappelle en juillet, à Provins, une fille qui posait... - à la voir comme ça, on se disait "mais qu'est-ce qu'elle se la joue" - et ensuite on a compris qu'ils tournaient un film amateur pour un mariage, façon X men...
Le vent comme un archet semble jouer de la contrebasse contre ses cheveux.
Tu vois, ce que tu pratiques, ça s'appelle la condensation : c'est de cette façon que les rêves condensent deux idées en un seul mot, une seule image... Voilà pourquoi en particulier tes écrits sont sans pareil...
#18
Posted 26 August 2006 - 07:18 PM
tsais que t'es un nice petit père quand même.
tu maitrises . good reader dude' well done give me five
#19
Posted 26 August 2006 - 07:23 PM
(...mais on n'a jamais les enfants qu'on voudrait ; déjà je voulais une fille, j'ai eu 3 garçons, t'as qu'à voir... C'est ça la vie : on doit apprendre à se contenter de ce qu'elle nous donne)
#20
Posted 28 August 2006 - 01:35 PM
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