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[El niño]

Le spectateur

Je ne peux, avec ma bouche
Donc, avec mes mains
Sur le papier je couche
Ces lignes devenant écrin

Tes lunes de cristal
Réveillent en moi
Cette impression fatale
De n’être ni sot, ni roi
Juste banal
Et si maladroit

Ta peau de rose
D’ange de nuit
Brille, et si j’ose
La regarder ainsi
Je sens, qui s’interpose
L’espace, cet inpuni

Ton odeur sucrée
M’enivre jusqu’à l’infini
Je voudrais y goûter
Mais les cartes de la vie
Ont mal été distribuées
Quelle triste ironie

Je ne devrais pas espérer
attendre le temps
Où je cesserais
De n’être qu’un frôlement
Enfin je pourrais
T’effleurer tendrement

Alors je reste
Un simple spectateur
Et je peste
Avec tant de rancoeur
De ne pas avoir la veste
Du beau parleur

[Eden]

bien ecrit en effet

je pourrais trouver cela tres mauvais
mais je trouve ca bien

bienvenue dans les courants variables el nino...

[Gaston Kwizera]

moi j'aime bien les 2 dernières strophes

voilà,
Kwiz'

[Victor-du-Coseille]

Non, j'aime pas. ça pue, je trouve.

[Eden]

je voulais juste souhaiter la bienvenue

ya bien pire

[El niño]

Merci merci.......................

[heloise]

Victor t'es le plus fort pour les encouragements !

Plus sérieusement niño, il y a de très bonnes idées mais certaines associations sont un peu trop convenues.
Dans l'ensemble je trouve ça plutôt bien mais il faudrait peut-être le retravailler dans un sens plus original et percutant.
Bienvenue à toi
Bizzzzzzzz