Une cosse ouverte
Douce
Contre les échardes
Le mail où s’adresse la pulpe
La plume était d'ongle et l’encre sentait le plomb
Les semelles grises balayaient la piste
Encore un médaillon qui mange la poussière
Pois de senteur,
Frisson de l’herbe
Le souffle d’une bombe invisible
Qui n’a jamais cessé de détonner
La Der
Started by Raoul, Oct 08 2006 09:20 AM
5 replies to this topic
#1
Posted 08 October 2006 - 09:20 AM
#2
Posted 08 October 2006 - 09:38 AM
Oh que c'est beau ça ! (Je l'ai reconnu et retrouvé, il m'a fait le même choc à l'instant que lorsque je l'avais lu pour la première fois...)
#3
Posted 08 October 2006 - 09:39 AM
Après exquis, c'est délicieux.
J'étais dans la lune ; j'ai songé à lla naissance, à la vie, au cirque, à la terre...
J'y reviens.
J'étais dans la lune ; j'ai songé à lla naissance, à la vie, au cirque, à la terre...
J'y reviens.
#4
Posted 09 October 2006 - 08:54 AM
merci! et puis merci!
(a.)
(a.)
#5
Posted 10 October 2006 - 10:51 AM
Aérien, volatil et profond en même temps. Alliant douceur et termes particulièrement forts, un de mes préférés...
#6
Posted 10 October 2006 - 02:01 PM
Merci, merci à toi Carla.
(a.)
(a.)
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