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Un, comme un point de départ,
Yak, ton tout premier regard.
La peur est une maladie, une fièvre,
Un homme pris par ses rêves.

Deux, le conflit d’un seul jour,
Réciprocité d’haine ou d’amour ?
L’ambivalence n’est qu’un chiffre,
Une réflexion féminine et tu triches.

Trois, un triangle pas si paisible.
Il suffit de trois tours sur soi même,
Pour trouver son chemin ou sa cible,
Avant que l’hésitation nous atteigne.

Quatre vents qui on emportés,
Tout ce qu’on a créé ou révélé.
Plus de saisons, de points cardinaux,
Pour l’âme sensible qui gît sur ces mots.

Cinq, milieu des premiers nombres.
Avoir pour sentiments l’inachevé.
Se sentir con de ne pas avoir deviné,
Dans tes pensées le beau ou le sombre.

Six, les sceaux de Salomon, les pêchés,
Ceux qui nous on si souvent éloignés.
L’homme sans son élément sauveur,
Entend le hibou qui lui hurle l’heure.

Sept, une ipséité et six autres côtés,
Fille à formes aux portes de la banalité.
Les clefs de l’apocalypse sont bloquées,
Dans la serrure qu’elle nous a montrée.

Huit pétales de lotus sur le sentier :
« Je t’aime, un peu, beaucoup, à la folie »
Mais est-ce un cercle ou un carré ?
Dans le Bayon d’Angkor, le Bouddha s’établit.

Neuf étages avant de t’embrasser,
Mais à bout de jambes on est au premier,
A bout de souffle, on a tout donné.
Tous ces efforts que tu n’as pas remarqués.

avis aux passionés de symbolisme