Bonjour à tous! Voici le début d'un poème que j'ai écrit, j'aimerais que vous écriviez la suite... je suis une débutante et donc pas trop sûre de moi, mais je publierai peut-être l'original sur l'un des salons un jour...
Tu me regardes et me touches avec tant de douceur
Que sous tes doigts je n'ai presque plus peur
Voilà, c'est court, mais c'est voulu... merci de me répondre bises à tous
4 replies to this topic
#1
Posted 08 June 2005 - 08:02 PM
#2
Posted 09 June 2005 - 09:28 AM
J'aurais aimé....
Qu'aurais-je aimé ?
Ne pas grandir peut-être...
Qu'aurais-je aimé ?
Ne pas grandir peut-être...
#3
Posted 09 June 2005 - 09:53 AM
Aurais-je aimé
Me languir à tes côtés
Sous ce ciel étoilé?
Me languir à tes côtés
Sous ce ciel étoilé?
#4
Posted 09 June 2005 - 10:00 AM
Non. Ce brutal rejet m'a laissée libre
Libre de me réaliser. Tout encore vibre.
J'en ai bavé, j'en ai souffert longtemps
Je sais qu'on ne possède que des moments.
Libre de me réaliser. Tout encore vibre.
J'en ai bavé, j'en ai souffert longtemps
Je sais qu'on ne possède que des moments.
#5
Posted 23 June 2005 - 07:05 PM
Tu me regardes et me touches avec tant de douceur
Que sous tes doigts je n'ai presque plus peur
Muette je tarde à prendre sans avis le meilleur
Et brûle entière de retenir mes pleurs
Avance mon ami mon adoré à l'instant
Poursuis le geste du vol éclair d'amour
Et qu'enfin libres nous suivions en plein jour
La course folle du poème des vingt ans
Tu me regardes et m'enlasse doux seigneur
Que de l'étreinte s'en vont cavaler nos coeurs
Mon souffle sombre dans un océan d'ardeur
Dont l'oeuvre efface la moindre des pudeurs
Avance mon ami mon adoré à l'instant
Poursuis le geste du vol éclair d'amour
Et qu'enfin libres nous suivions en plein jour
La course folle du poème des vingt ans
...
Que sous tes doigts je n'ai presque plus peur
Muette je tarde à prendre sans avis le meilleur
Et brûle entière de retenir mes pleurs
Avance mon ami mon adoré à l'instant
Poursuis le geste du vol éclair d'amour
Et qu'enfin libres nous suivions en plein jour
La course folle du poème des vingt ans
Tu me regardes et m'enlasse doux seigneur
Que de l'étreinte s'en vont cavaler nos coeurs
Mon souffle sombre dans un océan d'ardeur
Dont l'oeuvre efface la moindre des pudeurs
Avance mon ami mon adoré à l'instant
Poursuis le geste du vol éclair d'amour
Et qu'enfin libres nous suivions en plein jour
La course folle du poème des vingt ans
...
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