Café SANS caféine
Bière SANS alcool
Crème SANS matière grasse
Dessert SANS sucre
Jouissance SANS sexe
Croyances SANS foi
Chut…chut
Silence SANS PLUS de mots
juste
ce qu’il faut
de
Compassion AVEC distance
Comme tout le monde.
Nico's Content
There have been 53 items by Nico (Search limited from 30-April 23)
#335706 Sans Rimes
Posted by
on 19 July 2006 - 05:44 PM
in
Salon de publication principal
#335705 Poussière
Posted by
on 19 July 2006 - 05:43 PM
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Salon de publication principal
Le temps marque mon visage
Les excès changent mon regard vicié
Les conflits laissent des cicatrices
Sur ma peau brûlée par le soleil
puis ranimée par le vent
Je veux juste que la neige
garde une trace de mon passage
Qu’elle ne se perde pas
dans les mémoires
souvenirs poussière
Mes impressions ne peuvent rien contre la matière
La poussière n’a pas d’effet sur la poussière.
Les excès changent mon regard vicié
Les conflits laissent des cicatrices
Sur ma peau brûlée par le soleil
puis ranimée par le vent
Je veux juste que la neige
garde une trace de mon passage
Qu’elle ne se perde pas
dans les mémoires
souvenirs poussière
Mes impressions ne peuvent rien contre la matière
La poussière n’a pas d’effet sur la poussière.
#335356 Sans Fond
Posted by
on 17 July 2006 - 09:54 PM
in
Salon de publication principal
Un puit sans fond dans les tripes
toujours à sec
Trou béant sans fin
En forme de cul de poule
qui supplique
mange sans faim
et boit cul-sec
Le bec dans l’eau
Les corps baignent
dans l’encre chiné
d’un William Blake
dont les diables vermeilles
ne suffisent pas à réveiller
Les merveilles d’un vide abscons
Puit sans fond
dont la distance
dépasse le simple itinéraire
de la vie.
toujours à sec
Trou béant sans fin
En forme de cul de poule
qui supplique
mange sans faim
et boit cul-sec
Le bec dans l’eau
Les corps baignent
dans l’encre chiné
d’un William Blake
dont les diables vermeilles
ne suffisent pas à réveiller
Les merveilles d’un vide abscons
Puit sans fond
dont la distance
dépasse le simple itinéraire
de la vie.
#335354 Volutes
Posted by
on 17 July 2006 - 09:52 PM
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Salon de publication principal
Volutes glacées
dans un verre
pour rapprocher les individus
Grâce chaloupée d’une voix
Volutes galbées
sur ta peau en spirale
qui s’envolent comme les pensées
Démarche d’une musique jusqu’à moi
Volutes grandioses
de l’œil du cyclone
qui transportent les mots
au-delà des maux
et parviennent jusqu’à toi
La chair recouvre des os
Parfois un esprit
Une âme dans le meilleur des cas
Et la chair réclame plus que de la chair
Volutes
qui
s’
ép-
par-
pi-
ll-
ent.
dans un verre
pour rapprocher les individus
Grâce chaloupée d’une voix
Volutes galbées
sur ta peau en spirale
qui s’envolent comme les pensées
Démarche d’une musique jusqu’à moi
Volutes grandioses
de l’œil du cyclone
qui transportent les mots
au-delà des maux
et parviennent jusqu’à toi
La chair recouvre des os
Parfois un esprit
Une âme dans le meilleur des cas
Et la chair réclame plus que de la chair
Volutes
qui
s’
ép-
par-
pi-
ll-
ent.
#333132 Et Si Et Si ,and So...
Posted by
on 05 July 2006 - 03:16 PM
in
Salon de publication principal
J'aime tes histoires M'sieur Alain. Je voulais te le dire.
#333123 Moins Qu’un Chien
Posted by
on 05 July 2006 - 02:45 PM
in
Salon de publication principal
Je me suis réveillé un matin
Les oreilles en pointes
Les dents prêtes à déchirer
Les moindres failles
De mes contemporains
L’homme seul aux aboies
Hurle à la mort
De son propre isolement
Sous les yeux
De dieux silencieux
Moins qu’un chien
Quand la fidélité se fait rare
La truffe au vent
La queue entre les jambes
Et le territoire bien imprégné de pisse.
Les oreilles en pointes
Les dents prêtes à déchirer
Les moindres failles
De mes contemporains
L’homme seul aux aboies
Hurle à la mort
De son propre isolement
Sous les yeux
De dieux silencieux
Moins qu’un chien
Quand la fidélité se fait rare
La truffe au vent
La queue entre les jambes
Et le territoire bien imprégné de pisse.
#333122 Sans Titre
Posted by
on 05 July 2006 - 02:42 PM
in
Salon de publication principal
Colles-toi
à moi
que je sentes tes viscères
palpiter derrière
une chair en émoi
Sers-toi
de moi
comme un récif en colère
dont les frontières
foudroient mes nerfs à vifs.
à moi
que je sentes tes viscères
palpiter derrière
une chair en émoi
Sers-toi
de moi
comme un récif en colère
dont les frontières
foudroient mes nerfs à vifs.
#332714 Jouer Avec Ses Os
Posted by
on 03 July 2006 - 08:36 PM
in
Salon de publication principal
Van Gogh, Hemingway, Rilke, Cobain, Zweig, Roman Gary, Woolf, Mishima, Primo Levi…
Dans une ultime volonté
De combler les choses
Ce qu’on appelle lâcheté
Demande du courage :
Se jeter à l’arrivée du métro
Entouré de publicités
Prêchant la jeunesse
Les crédits à taux réduits
Le bonheur à portée de main
Illustrées par des culs, des seins
La vie use
L’amour est un long suicide
L’angoisse est un long suicide
La peur tue plus vite que le tabac ou l’alcool
Le risque ressuscite
Des echecs
De tout ce qui est proscrit
De La Morale moderne
Et des campagnes d’affichages
Portés par de jolis visages
Les resistances humaines
s’affaiblissent
le courage, la patience
l’espérance peuvent céder
La malédiction
peut l’emporter sur la bénédiction
et la culpabilité, la sottise de la colère
la honte
s'évanouissent
La Mort
Reste invisible
Derrière les murs
de maisons de retraite,
des asiles, des prisons devenues des bestiaires
ou camouflée sur le bitume gluant
de la ville lumière
Alors on joue au Loto sous anti-dépresseurs
On boit
Ou on baise sans capotes
Tout va très vite
Faut des tripes
Pour ne pas succomber aux faux-fuyants
Comme un dernier cri silencieux
Qui regarde les choses en face
Mais je ne sais pas parler
Cette vérité souffrante est plus importante
Que la véracité et la parole
La Raison n’est pas tout
Non
L’essentiel
L’essentiel reste le désir
L’essentiel reste l’amour
Dans une ultime volonté
De combler les choses
Ce qu’on appelle lâcheté
Demande du courage :
Se jeter à l’arrivée du métro
Entouré de publicités
Prêchant la jeunesse
Les crédits à taux réduits
Le bonheur à portée de main
Illustrées par des culs, des seins
La vie use
L’amour est un long suicide
L’angoisse est un long suicide
La peur tue plus vite que le tabac ou l’alcool
Le risque ressuscite
Des echecs
De tout ce qui est proscrit
De La Morale moderne
Et des campagnes d’affichages
Portés par de jolis visages
Les resistances humaines
s’affaiblissent
le courage, la patience
l’espérance peuvent céder
La malédiction
peut l’emporter sur la bénédiction
et la culpabilité, la sottise de la colère
la honte
s'évanouissent
La Mort
Reste invisible
Derrière les murs
de maisons de retraite,
des asiles, des prisons devenues des bestiaires
ou camouflée sur le bitume gluant
de la ville lumière
Alors on joue au Loto sous anti-dépresseurs
On boit
Ou on baise sans capotes
Tout va très vite
Faut des tripes
Pour ne pas succomber aux faux-fuyants
Comme un dernier cri silencieux
Qui regarde les choses en face
Mais je ne sais pas parler
Cette vérité souffrante est plus importante
Que la véracité et la parole
La Raison n’est pas tout
Non
L’essentiel
L’essentiel reste le désir
L’essentiel reste l’amour
#332621 Un Jour Au Zoo
Posted by
on 03 July 2006 - 11:41 AM
in
Salon de publication principal
D’habitude
il n’y a que dans un bureau, la semaine
où je me sens en cage.
Je suis comme tout le monde, j’attends mon chèque
chaque fin de mois pour me nourrir en protéines…
Mais voilà qu’un Homo Sapiens me regarde
l’air ahuri
de l’autre côté du grillage.
Puis en arrive un autre, et un nouveau
Eux aussi se déplacent en troupeau ?
Le premier devait être un éclaireur.
Cette foule a payé pour me voir moi ?
La chaînon manquant entre l’homme et l’animal
Je fais l’air de rien et
j’écoute ce qu’il se dit :
-« Cette animal doué de raison a conservé en captivité
ses instincts sexuels, territoriales et hiérarchiques… »
Ces mots me frappent et
Je me souviens
Je me souviens d’une arrivée par hasard sur Terre
Comme un rêve
qui vira vite au cauchemar
Je regarde les nouveaux hommes qui me jettent à manger
et je me dis en secret
qu’il devait y avoir une part de poisse
dans cette histoire.
On est souvent victimes de promesses non tenues
et d’une tricherie de l’existence.
Quand je vois des jambes fermes et sculptées par Rodin
Mon sang ne fait qu’un tour
et je commence à me caresser devant le groupe
qui prend tantôt un air moqueur ou
une mine de dégoût.
Je prends le soleil à témoin
Sa chaleur m’embrasse les joues.
Le bon temps de l’autodestruction est fini.
il n’y a que dans un bureau, la semaine
où je me sens en cage.
Je suis comme tout le monde, j’attends mon chèque
chaque fin de mois pour me nourrir en protéines…
Mais voilà qu’un Homo Sapiens me regarde
l’air ahuri
de l’autre côté du grillage.
Puis en arrive un autre, et un nouveau
Eux aussi se déplacent en troupeau ?
Le premier devait être un éclaireur.
Cette foule a payé pour me voir moi ?
La chaînon manquant entre l’homme et l’animal
Je fais l’air de rien et
j’écoute ce qu’il se dit :
-« Cette animal doué de raison a conservé en captivité
ses instincts sexuels, territoriales et hiérarchiques… »
Ces mots me frappent et
Je me souviens
Je me souviens d’une arrivée par hasard sur Terre
Comme un rêve
qui vira vite au cauchemar
Je regarde les nouveaux hommes qui me jettent à manger
et je me dis en secret
qu’il devait y avoir une part de poisse
dans cette histoire.
On est souvent victimes de promesses non tenues
et d’une tricherie de l’existence.
Quand je vois des jambes fermes et sculptées par Rodin
Mon sang ne fait qu’un tour
et je commence à me caresser devant le groupe
qui prend tantôt un air moqueur ou
une mine de dégoût.
Je prends le soleil à témoin
Sa chaleur m’embrasse les joues.
Le bon temps de l’autodestruction est fini.
#332620 Prière
Posted by
on 03 July 2006 - 11:40 AM
in
Salon de publication principal
Les pièces de monnaie passent la fente et
Sonnent au fond de l’urne
Assis, la tête baissé et prêt
A revivre ses péchés diurnes
L’homme regarde le visage serein
De cette sculpture faite femme à quelques mètres de lui
Prête à sauver l’humanité
Immobile et en hauteur
Qui semble regarder les hommes avec ferveur
Ebahi, au bord des larmes et de l’explosion
L’homme embrasse la Sainte femme sur le plexiglas
Dans la force de l’extase, il s’abandonne dans ses mains
Seul dans sa cabine
Il quitte le temple
L’esprit apaisé grâce à cette danse
Pour le moins exotique.
Sonnent au fond de l’urne
Assis, la tête baissé et prêt
A revivre ses péchés diurnes
L’homme regarde le visage serein
De cette sculpture faite femme à quelques mètres de lui
Prête à sauver l’humanité
Immobile et en hauteur
Qui semble regarder les hommes avec ferveur
Ebahi, au bord des larmes et de l’explosion
L’homme embrasse la Sainte femme sur le plexiglas
Dans la force de l’extase, il s’abandonne dans ses mains
Seul dans sa cabine
Il quitte le temple
L’esprit apaisé grâce à cette danse
Pour le moins exotique.
#332380 Rage Dedans
Posted by
on 01 July 2006 - 03:25 PM
in
Salon de publication principal
Oui je comprends. Pour ça il faut y avoir été trop fort sur les fêtes de fin d'année.
Je plaisante mais je te remercie de tes commentaires.
Je plaisante mais je te remercie de tes commentaires.
#332378 Coton Blanc
Posted by
on 01 July 2006 - 03:23 PM
in
Salon de publication principal
Trop en dire...ou pas assez. Grande question. Sur ce texte là j'ai fait mon choix...Pas toujours été comme ça.
#332376 Rage Dedans
Posted by
on 01 July 2006 - 03:17 PM
in
Salon de publication principal
Hassan, le type de la sécurité
Me tanne devant la machine à café :
- « Je l’a sens mal cette nouvelle année
2006. Depuis janvier j’ai une rage de dent,
et c’est dans l’air aussi…Ca sent le sapin. ».
Je me dit qu’il avait peut-être raison
J’ai des hémorroïdes depuis quelques temps.
Me tanne devant la machine à café :
- « Je l’a sens mal cette nouvelle année
2006. Depuis janvier j’ai une rage de dent,
et c’est dans l’air aussi…Ca sent le sapin. ».
Je me dit qu’il avait peut-être raison
J’ai des hémorroïdes depuis quelques temps.
#332374 Coton Blanc
Posted by
on 01 July 2006 - 03:12 PM
in
Salon de publication principal
La chaleur
enveloppe
dans
ses bras
réconfortants
et
les trottoirs
suintent
sa
morosité
insistante
Il attend aux clous
pas un souffle
brise
le feu
passe
au vert
le temps d’un demi
pas
quand elle manque
de le renverser
en vélo
un rapide
tissu de coton blanc
sous
la
selle
lui fait dire
qu’
il
a
perdu
beaucoup plus
que la brièveté
tenace
de l’existence.
enveloppe
dans
ses bras
réconfortants
et
les trottoirs
suintent
sa
morosité
insistante
Il attend aux clous
pas un souffle
brise
le feu
passe
au vert
le temps d’un demi
pas
quand elle manque
de le renverser
en vélo
un rapide
tissu de coton blanc
sous
la
selle
lui fait dire
qu’
il
a
perdu
beaucoup plus
que la brièveté
tenace
de l’existence.
#329682 Une Silhouette
Posted by
on 18 June 2006 - 02:04 PM
in
Salon de publication principal
Les bureaucrates collés
aux fenêtres comme à la télé
regardent une silhouette
allongée
déshabillée
une marionnette désarticulée
dont les fils auraient été sectionnés
Boulevard St Martin
Etrange de constater
à quel point
la chair reste vulnérable de loin
Qui est-elle ?
Qui était-elle ?
Maintenant
La silohouete n'est qu'une ombre
sans vie, sans envies
Pourquoi est-elle tombée ?
Avait-elle des enfants?
Avait-elle encore un but?
Quand ? Comment ??
A-t-elle été heureuse ?
Elle ne répondra pas
Le profil bâché
et le sang foudroyé par accident.
aux fenêtres comme à la télé
regardent une silhouette
allongée
déshabillée
une marionnette désarticulée
dont les fils auraient été sectionnés
Boulevard St Martin
Etrange de constater
à quel point
la chair reste vulnérable de loin
Qui est-elle ?
Qui était-elle ?
Maintenant
La silohouete n'est qu'une ombre
sans vie, sans envies
Pourquoi est-elle tombée ?
Avait-elle des enfants?
Avait-elle encore un but?
Quand ? Comment ??
A-t-elle été heureuse ?
Elle ne répondra pas
Le profil bâché
et le sang foudroyé par accident.
#329502 Dieu Joue Avec Les Dés
Posted by
on 17 June 2006 - 07:45 AM
in
Salon de publication principal
ben non, en fait ce sont eux qui nous manipulent...Tu le saurais si tu lisais et jouais un peu.
#329496 Dieu Joue Avec Les Dés
Posted by
on 17 June 2006 - 07:02 AM
in
Salon de publication principal
Mes mains parlent toutes seules
Dans la nuit inhumaine
Les fantômes exquis
Du hasard
Et sa maîtresse la coïncidence
Jouent avec
La bonne volonté
Des dés
J’aimerais que Dieu vive
Pour le détester
Je laisse
Entre extase et blasphème
Tous mes désirs
Sur les 6 faces d’un dé
Laquelle va l’emporter ?
Le cube
roule
et
échoue
sur le sol
Réveillant le chat
Qui me regarde sceptique
Il a compris
Le verdict vient de tomber
Mes mains tremblent toutes seules
A l’idée que Dieu vient d’être remplacé.
Dans la nuit inhumaine
Les fantômes exquis
Du hasard
Et sa maîtresse la coïncidence
Jouent avec
La bonne volonté
Des dés
J’aimerais que Dieu vive
Pour le détester
Je laisse
Entre extase et blasphème
Tous mes désirs
Sur les 6 faces d’un dé
Laquelle va l’emporter ?
Le cube
roule
et
échoue
sur le sol
Réveillant le chat
Qui me regarde sceptique
Il a compris
Le verdict vient de tomber
Mes mains tremblent toutes seules
A l’idée que Dieu vient d’être remplacé.
#329495 Cézanne
Posted by
on 17 June 2006 - 06:56 AM
in
Salon de publication principal
"Tournez la tête et tout devient frais"
Penses-y quand
tu crois tout savoir
quand tu fais face au soleil le matin
ou quand
tu crois voir ton propre reflet dans la glace.
Penses-y quand
tu crois tout savoir
quand tu fais face au soleil le matin
ou quand
tu crois voir ton propre reflet dans la glace.
#329308 Sans Titre
Posted by
on 16 June 2006 - 09:59 AM
in
Salon de publication principal
Elle s’élargit sans fin
dans la pénombre moite
d’une chambre nue où
des corps sanctifiés
d’un désir consumé
font écho à la rue
Et je me surprend
à me dire qu’elle n’est
qu’une enfant.
dans la pénombre moite
d’une chambre nue où
des corps sanctifiés
d’un désir consumé
font écho à la rue
Et je me surprend
à me dire qu’elle n’est
qu’une enfant.
#329245 Souriez
Posted by
on 15 June 2006 - 10:36 PM
in
Salon de publication principal
Cruelty loveless love...Oui, il y a du Carson McCullers dans ce texte Félice. J'attends les centaines de pages qui suivent et le futur roman qui les contient.
#329241 Poèsie (sous Influence)...pour Les Courageux
Posted by
on 15 June 2006 - 10:04 PM
in
Salon de publication principal
Merci. "La bagarre tout griffu", c'est joli ça.
Non, pas tant que ça je crois.
Mais c'est vrai je suis jeune, alors j'en profite...un peu
Non, pas tant que ça je crois.
Mais c'est vrai je suis jeune, alors j'en profite...un peu
#329237 Poèsie (sous Influence)...pour Les Courageux
Posted by
on 15 June 2006 - 09:44 PM
in
Salon de publication principal
Pas de monsieur avec moi s'il te plait...
L'Univers ... Disons que chacun construit sa propre représentation de l'univers via ses propres structures internes et des structures externes environnantes. J'ai pas appris ça avec Faust mais avec Philip K. Dick, comme quoi...
L'Univers ... Disons que chacun construit sa propre représentation de l'univers via ses propres structures internes et des structures externes environnantes. J'ai pas appris ça avec Faust mais avec Philip K. Dick, comme quoi...
#329232 Prévert N’est Pas Mort
Posted by
on 15 June 2006 - 09:25 PM
in
Salon de publication principal
Les villes
Aires de jeux préférées
De tous les fléaux
Dont le plus dangereux
Le citadin
Ou plutôt
Sa misère affective
Font du bitume
Leur champs de bataille
Aires de jeux préférées
De tous les fléaux
Dont le plus dangereux
Le citadin
Ou plutôt
Sa misère affective
Font du bitume
Leur champs de bataille
#329230 Foule
Posted by
on 15 June 2006 - 09:18 PM
in
Salon de publication principal
ouais Joséphine, sacrée faune...on se croirait dans le livre de la jungle
#329224 Poèsie (sous Influence)...pour Les Courageux
Posted by
on 15 June 2006 - 09:08 PM
in
Salon de publication principal
Serais-je en train de me contredire d'un texte à l'autre ?
Ici la création se raconte elle-même, se met en scène. Je crois que tout doit rester témoignage (poésie ou prose, abusifs ou non). Le reste n'est que rythme et musique. Autrement dit le fond d'abord, la forme ensuite. Souvent, je lis des mots qui s'assemblent joliement pour parler de l'Univers (definition selon Goethe) mais qui se perdent en route dans l'abstraction un peu factice. Je ne dis pas que je fais mieux, au contraire, mais j'essaye de partir de la surface. Elle s'envolera toute seule si j'ai touché une part de vérité.
Mes cordiales amitiés chère Félice
Ici la création se raconte elle-même, se met en scène. Je crois que tout doit rester témoignage (poésie ou prose, abusifs ou non). Le reste n'est que rythme et musique. Autrement dit le fond d'abord, la forme ensuite. Souvent, je lis des mots qui s'assemblent joliement pour parler de l'Univers (definition selon Goethe) mais qui se perdent en route dans l'abstraction un peu factice. Je ne dis pas que je fais mieux, au contraire, mais j'essaye de partir de la surface. Elle s'envolera toute seule si j'ai touché une part de vérité.
Mes cordiales amitiés chère Félice
