Le sourcil noir
Au circonflexe de l ’œil silex
La lumière du Styx
La fossette de son sourire email diamant
Aux larmes complexes du polyptère
D’éclats aux sources cristallines
Moirée en robe de lune au soir
Au creux de l’anneau chenillé au corps
Comme chevillé au ressort
Puis s’endort. dans la gueule sidérale..
Le sourcil noir
Au l’accent circonflexe de l’œil silex
Aux rêves de vélin perplexes.
bohemia's Content
There have been 1000 items by bohemia (Search limited from 28-April 23)
#317804 L’œil Silex
Posted by
on 25 April 2006 - 07:39 PM
in
Salon de publication principal
#317769 Sourire Retors
Posted by
on 25 April 2006 - 04:28 PM
in
Salon de publication principal
merci Félice, Elysa et Maud.
oui, il ne lira sûrement jamais aucun de mes textes, mais j'ai au mois trois grandes lectrices qui appécient...
Et puis cette part caché qui reste en nous derrière ces mots, ces instants de vie, c'est une part de mystère nécessaire et salutaire.
Amitiés à vous trois
Bohémia
oui, il ne lira sûrement jamais aucun de mes textes, mais j'ai au mois trois grandes lectrices qui appécient...
Et puis cette part caché qui reste en nous derrière ces mots, ces instants de vie, c'est une part de mystère nécessaire et salutaire.
Amitiés à vous trois
Bohémia
#317619 Achille Posé
Posted by
on 25 April 2006 - 01:12 AM
in
Salon de publication principal
c'est une épique épopée...joli texte
#317617 Le Bord Du Lac
Posted by
on 25 April 2006 - 01:00 AM
in
Salon de publication principal
p'tite coquille: je peux avec un X
Voudrais pas faire les maîtresse d'école
Dis donc ça devient dangereux les borsd du lac...
Voudrais pas faire les maîtresse d'école
Dis donc ça devient dangereux les borsd du lac...
#317614 Sourire Retors
Posted by
on 25 April 2006 - 12:32 AM
in
Salon de publication principal
Si loin du métissage
Des perles d’antan
Dans les mots ensommeillés
J’ai oublié
Il pleut encore dans les cités
Comme un veule râle vaporisé
Un châle sur les épaules bleutées
Dans la vielle Cadillac rosée…
Il pleut mille mots de silences
Des mots pauses sur les stances
Ce sourire…
Ce jour de vie, ce jour de nos morts
Le retors
L’axe de nos ressorts
Il sort dans la rue blême et seul
Les pas perdus sur une boussole
Le temps s’accroche à des éphémères
Et la loge devient vide
Et la vague amère nous prend de travers
Quel sourire, t’en souviens-tu ?
Il à temps plu !
Ton œil dans mon œil pour loi…
Seulement pour toi
Et tu ne liras jamais rien de moi…
Des perles d’antan
Dans les mots ensommeillés
J’ai oublié
Il pleut encore dans les cités
Comme un veule râle vaporisé
Un châle sur les épaules bleutées
Dans la vielle Cadillac rosée…
Il pleut mille mots de silences
Des mots pauses sur les stances
Ce sourire…
Ce jour de vie, ce jour de nos morts
Le retors
L’axe de nos ressorts
Il sort dans la rue blême et seul
Les pas perdus sur une boussole
Le temps s’accroche à des éphémères
Et la loge devient vide
Et la vague amère nous prend de travers
Quel sourire, t’en souviens-tu ?
Il à temps plu !
Ton œil dans mon œil pour loi…
Seulement pour toi
Et tu ne liras jamais rien de moi…
#317587 Cruelle
Posted by
on 24 April 2006 - 09:57 PM
in
Salon de publication principal
heureuse
#317570 Doisneau
Posted by
on 24 April 2006 - 09:18 PM
in
Salon de publication principal
bel hommage aux amoureux de Doisneau!
en ce qui concerne la Bohéme je reste dubitative!
en ce qui concerne la Bohéme je reste dubitative!
#317565 Nécrologie(s) D'une Jardin
Posted by
on 24 April 2006 - 09:08 PM
in
Salon de publication principal
parle plus fort j'ai une banane dans l'oreille
#317446 Snapshot Printannier
Posted by
on 24 April 2006 - 01:02 PM
in
Salon de publication principal
Citation (GUILLAUME Alain @ Apr 24 2006, 01:49 PM) <{POST_SNAPBACK}>
merci bohemia
mais j'étais un peu dans la caricature
au second degré
mais j'étais un peu dans la caricature
au second degré
ce texte peut être interprété de différentes façons, il me semble. tu parlais de ces personnages qui ont oublié d'être des humains non? l'alzeimer de l'humanité en quelque sorte.
Mais ce texte me touche de près quand même. parce qu'il fait allusion au coeur conscient, même si il est cynique.
Bien à toi
Bohémia
#317437 Snapshot Printannier
Posted by
on 24 April 2006 - 12:43 PM
in
Salon de publication principal
ce texte me touche particulièerement. un être proche de moi souffre de cette terrible maladie d'Alzeimer. tu as su écrire la déroute et une certaine similitude avec l'autisme.
amitiés
Bohémia
amitiés
Bohémia
#317434 Si Tu Pars Ailleurs (iii)
Posted by
on 24 April 2006 - 12:33 PM
in
Salon de publication principal
un vers de plus.
#317422 A L'étroit
Posted by
on 24 April 2006 - 11:57 AM
in
Salon de publication principal
je t'imaginais comme ça moi..."en chat botté" 
Bisous
Bisous
Attached Thumbnails
#317266 Po Comp Int
Posted by
on 23 April 2006 - 06:23 PM
in
Le petit salon...
up
#316997 Adieu
Posted by
on 22 April 2006 - 10:24 AM
in
Salon de publication principal
toujours d'une belle plume élégante...
Amitiés
bohémia
Amitiés
bohémia
#316996 Tiens, Vivante...
Posted by
on 22 April 2006 - 10:21 AM
in
Salon de publication principal
cru
#316995 Memory
Posted by
on 22 April 2006 - 10:19 AM
in
Salon de publication principal
Très Elégant DS...
Amitiés
Bohémia
Amitiés
Bohémia
#316994 Sclérose
Posted by
on 22 April 2006 - 10:17 AM
in
Salon de publication principal
joli texte. Un peu désabusé, sclérosé.
Comme un cri.
Bien à toi
Bohémia
Comme un cri.
Bien à toi
Bohémia
#316932 Arpenter Ses Désirs ?
Posted by
on 21 April 2006 - 09:45 PM
in
Salon de publication principal
je l'ai travaillé et trituré un peu oui, mais tout en essayant de respecter le sens et la forme sans trop m'éloigner de ton texte.
Tant mieux si tu as aimé ma version très inspirée de la tienne.
Comme un quatre mains alors le résultat.
Amitiés
Bohémia
Tant mieux si tu as aimé ma version très inspirée de la tienne.
Comme un quatre mains alors le résultat. Amitiés
Bohémia
#316931 ô...
Posted by
on 21 April 2006 - 09:26 PM
in
Salon de publication principal
ô le bonheur. pas si simple, bien vu pascale.
Amitiés
Bohémia
Amitiés
Bohémia
#316927 Si Tu Pars Ailleurs (iii)
Posted by
on 21 April 2006 - 09:19 PM
in
Salon de publication principal
Citation (balila @ Apr 21 2006, 10:07 PM) <{POST_SNAPBACK}>
J'aime toujours autant ton imaginaire Bohémia, les images sont hors du réel et j'adore ça !
En revanche, je ne comprends pas ce vers "Le pavillon ferme en nos coeurs", est-ce "enferme/ferme nos coeurs" ?
balila
En revanche, je ne comprends pas ce vers "Le pavillon ferme en nos coeurs", est-ce "enferme/ferme nos coeurs" ?
balila
Je ne suis plus certaine, mais il me semble que le pavillon est une partie du muscle du coeur. j'ai essayé de vérifier, mais pas trouvé. poétiquement parlant c'était plutot dans l'idée "que nos coeurs se ferment."
Mais je pourrais chercher à l'exprimer autrement poétiquement.
Merci en tout cas d'aimer mes images hors du réel. Je ne suis pas souvent sûre de l'effet sur le lecteur de mes écrits. Alors merci.
Amitiés
Bohémia
#316920 Si Tu Pars Ailleurs (iii)
Posted by
on 21 April 2006 - 08:52 PM
in
Salon de publication principal
réécrit
#316883 Si Tu Pars Ailleurs (iii)
Posted by
on 21 April 2006 - 05:26 PM
in
Salon de publication principal
Si tu pars ailleurs
Si tu pars ailleurs
Des notes sur mes chaussures
Des trous de rimailleurs
Ta peau sur nos ratures
Sans ailleurs
Sans valeur
Juste le bagage d’une lueur
A serrer ma clef de papillon
Des rêves sous nos illusions
A ouvrir des porte d’alluvions
De la boue sous nos semelles
Comme un sillon de vermicelles
Si je pars ailleurs
Le pavillon ferme en nos cœurs
Si tu pars ailleurs
Je meurs
Si je pars ailleurs comme un leurre
Une fleur…
Ouvre la fenêtre vers l’ailleurs
Soulève le paillasson d’heures
Des notes sous nos chaussures
Des trous de rimailleurs
Des trêves sur nos illusions
A ouvrir la porte en évasion
- Il sonne à mon paillasson.
De la boue sans raison.
Si tu pars ailleurs
Des notes sur mes chaussures
Des trous de rimailleurs
Ta peau sur nos ratures
Sans ailleurs
Sans valeur
Juste le bagage d’une lueur
A serrer ma clef de papillon
Des rêves sous nos illusions
A ouvrir des porte d’alluvions
De la boue sous nos semelles
Comme un sillon de vermicelles
Si je pars ailleurs
Le pavillon ferme en nos cœurs
Si tu pars ailleurs
Je meurs
Si je pars ailleurs comme un leurre
Une fleur…
Ouvre la fenêtre vers l’ailleurs
Soulève le paillasson d’heures
Des notes sous nos chaussures
Des trous de rimailleurs
Des trêves sur nos illusions
A ouvrir la porte en évasion
- Il sonne à mon paillasson.
De la boue sans raison.
#316863 Fondrière
Posted by
on 21 April 2006 - 12:40 PM
in
Salon de publication principal
Citation (pallio @ Apr 21 2006, 12:43 PM) <{POST_SNAPBACK}>
c'est bien fait...mais alors l'effet de serre...?
l'effet de griffe...
Citation (smoke @ Apr 21 2006, 01:01 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Jooooliiiiiii !
merci smoke
#316858 Arpenter Ses Désirs ?
Posted by
on 21 April 2006 - 12:24 PM
in
Salon de publication principal
Je l'ai lu plusieures fois, quelques passages me chagrinaient. J'avais envie d'apporter une version modifée de ce texte sur le premier amour. Je ne voudrais pas trahir ton texte. C'était juste une contribution féminine...
J’arpente mes désirs, à d’autres les loisirs.
J’écoute les voix qui se fondent en moi
Tous ses gémissements en source parfois
Pour me croire aux fentes de son plaisir.
Je sens ses ongles longs signifier son désir
Et mes mains parviennent à dépasser la peur
De lourds codes gravés dans l'esprit mineur,
Avant d'être femme et n’affronte « le pire »
A l’abri aux yeux clos, ses lèvres entrouvertes
Trahissent la saveur des temps éperdus
A ne pas défoncer l’enclôt d'une vertue
A lui voler avant qu’elle ne soit recouverte.
Acceptant les ordres dictés de mes doigts,
Des nuages-soupirs ont envahi son corps.
Féminité, d’harmonieux accords,
Il a désormais désobéi aux lois.
Chute dans les plaisirs sans fond
Aux endroits oubliés, il fait front.
J’arpente mes désirs, à d’autres les loisirs.
J’écoute les voix qui se fondent en moi
Tous ses gémissements en source parfois
Pour me croire aux fentes de son plaisir.
Je sens ses ongles longs signifier son désir
Et mes mains parviennent à dépasser la peur
De lourds codes gravés dans l'esprit mineur,
Avant d'être femme et n’affronte « le pire »
A l’abri aux yeux clos, ses lèvres entrouvertes
Trahissent la saveur des temps éperdus
A ne pas défoncer l’enclôt d'une vertue
A lui voler avant qu’elle ne soit recouverte.
Acceptant les ordres dictés de mes doigts,
Des nuages-soupirs ont envahi son corps.
Féminité, d’harmonieux accords,
Il a désormais désobéi aux lois.
Chute dans les plaisirs sans fond
Aux endroits oubliés, il fait front.
#316820 Fondrière
Posted by
on 21 April 2006 - 10:58 AM
in
Salon de publication principal
Merci Maud.
tu es aussi une belle pianiste, à ce que j'ai pu entendre en MP3.
Amitiés
Bohémia
tu es aussi une belle pianiste, à ce que j'ai pu entendre en MP3.
Amitiés
Bohémia
