- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
- → bohemia's Content
bohemia's Content
There have been 1000 items by bohemia (Search limited from 29-April 23)
#364073 Via Dei Riari
Posted by bohemia on 22 December 2006 - 08:16 PM in Nouvelles
Je te souhaite une bonne Année
Amitiés
Bohémia
#363977 Nutcracker
Posted by bohemia on 22 December 2006 - 11:23 AM in Slam
Comment dire ma chère Bohemia ... on voit bien que la beauté engendre la beauté!
Voyageur
Merci voyageur d'avoir déposé cet agréable commentaire sur mon texte.
#362503 Nutcracker
Posted by bohemia on 11 December 2006 - 12:20 PM in Slam
Le temps perdu passe
Des siècles
Et ma belle rose noire se fane
En pas perdus
Fractale de panthère, au croisement d’une rue
Aux reflets moiré des cités vitrines
Et la rose d’ecchymose au bord de l’avenue
En pas perdus
A son ombre, reflet en cage de verre
Et le jour se lève à l’aurore
A corolle bandée à ses yeux d’étamines
Et s’enroule comme un ruban de parme
En pas perdus, au coin du désert d’une rue
Et le jour s’élève au jardin des poussières
En haillons
Grains d’asphalte, coquillages sous les semelles…
La plage de sable noir s’essaime
Fuse le volcan aux pois sombres des coccinelles
Un vol de fées
A ses pas perdus sur l’asphalte d’un soir
Danse sa robe grenat fendue sur le bas haut perché
A minuit, Déshabillée sur le fauteuil
Nutcraker
Et Dante, l’eccho des chants des cigales endormies….
Et le jour s’est levé sur une rose thé de noël…
Ma féline à pâtes de velours…
#344102 J'ai vu Dieu...
Posted by bohemia on 14 September 2006 - 06:43 PM in Salon de publication principal
#344100 J'ai vu Dieu...
Posted by bohemia on 14 September 2006 - 06:38 PM in Salon de publication principal
#344106 J'ai vu Dieu...
Posted by bohemia on 14 September 2006 - 07:16 PM in Salon de publication principal
ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
#344097 J'ai vu Dieu...
Posted by bohemia on 14 September 2006 - 06:03 PM in Salon de publication principal
NON, rien rien rien
#341204 J'ai vu Dieu...
Posted by bohemia on 29 August 2006 - 02:25 PM in Salon de publication principal
#344092 J'ai vu Dieu...
Posted by bohemia on 14 September 2006 - 05:36 PM in Salon de publication principal
Jim Carrey
#286909 COMPLAINTE DU GRAND INQUISITEUR
Posted by bohemia on 13 January 2006 - 07:38 PM in Salon de publication principal
Chapeau pour ce texte
Amitiés
Bohémia
#363899 Jk
Posted by bohemia on 21 December 2006 - 10:12 PM in Salon de publication principal
#358922 L'effet Miroir
Posted by bohemia on 23 November 2006 - 04:05 PM in Le petit salon...
#358924 L'effet Miroir
Posted by bohemia on 23 November 2006 - 04:08 PM in Le petit salon...
elles s'évaporent de bas en haut . "
Elles s'évaporent vraiment ?!!
ça me troue le cul!
Belvis, t'es trop terre à terre...
#364056 L'effet Miroir
Posted by bohemia on 22 December 2006 - 07:21 PM in Le petit salon...
#360588 Mésange
Posted by bohemia on 30 November 2006 - 04:44 PM in de rien
stop
Les agressions commencent par fatiguer.
#360708 Mésange
Posted by bohemia on 01 December 2006 - 08:58 AM in de rien
Bohémia
#360583 Mésange
Posted by bohemia on 30 November 2006 - 04:36 PM in de rien
je réponds aux attaques. c'est un crime?
#358452 Mésange
Posted by bohemia on 21 November 2006 - 02:29 PM in de rien
Un exil,
Une forêt des réverbères
Au tapis de fleurs pâles
L’asile
Au banc de mousse légère
A sa main de lierre
Une poutre du grenier dans l’œil
Naîtrait de cette terre
L’exil,
Une lumière implosée, éteinte…
Une mésange bleue déchue
#360522 Mésange
Posted by bohemia on 30 November 2006 - 12:32 PM in de rien
heureux idiot que je suis.
ciao
oui, heureux idiot que tu es. tu es comme un perroquet à répéter des clichés que tu ne comprends pas. ça va pas m'empêcher de dormir.
#358503 Mésange
Posted by bohemia on 21 November 2006 - 07:59 PM in de rien
pourquoi pas?
#358506 Mésange
Posted by bohemia on 21 November 2006 - 08:04 PM in de rien
non je sais pas.
#332116 Orpheo Luminosa
Posted by bohemia on 29 June 2006 - 05:45 PM in Salon de publication principal
#333547 Orpheo Luminosa
Posted by bohemia on 06 July 2006 - 05:03 PM in Salon de publication principal
De là, Hyménée, couvert de son manteau couleur de safran, s'éloigne à travers l'immensité des airs; il se dirige vers la contrée des Ciconiens où l'appelle vainement la voix d'Orphée. Il vient, il est vrai, mais il n'apporte ni paroles solennelles, ni visage riant, ni heureux présage. La torche même qu'il tient ne cesse de siffler en répandant une fumée qui provoque les larmes; il a beau l'agiter, il n'en peut faire jaillir la flamme. La suite fut encore plus triste que le présage; car, tandis que la nouvelle épouse, accompagnée d'une troupe de Naïades, se promenait au milieu des herbages, elle périt, blessée au talon par la dent d'un serpent. Lorsque le chantre du Rhodope l'eut assez pleurée à la surface de la terre, il voulut explorer même le séjour des ombres; il osa descendre par la porte du Ténare jusqu'au Styx; passant au milieu des peuples légers et des fantômes qui ont reçu les honneurs de la sépulture, il aborda Perséphone et le maître du lugubre royaume, le souverain des ombres ; après avoir préludé en frappant les cordes de sa lyre il chanta ainsi. " O divinités de ce monde souterrain où retombent toutes les créatures. mortelles de notre espèce, s'il est possible, si vous permettez que, laissant' là les détours d'un langage artificieux, je dise la vérité, je ne suis pas descendu en ces lieux pour voir le ténébreux Tartare, ni pour enchaîner par ses trois gorges, hérissées de serpents, le monstre qu'enfanta Méduse; je suis venu chercher ici mon épouse; une vipère, qu'elle avait foulée du pied, lui a injecté son venin et l'a fait périr à la fleur de l'âge. J'ai voulu pouvoir supporter mon malheur et je l'ai tenté, je ne le nierai pas; l'Amour a triomphé. C'est un dieu bien connu dans les régions supérieures, l'est-il de même ici? Je ne sais; pourtant je suppose qu'ici aussi il a sa place et, si l'antique enlèvement dont on parle n'est pas une fable, vous aussi vous avez été unis par l'Amour. Par ces lieux pleins d'épouvante, par cet immense Chaos, par ce vaste et silencieux royaume, je vous en conjure, défaites la trame, trop tôt terminée, du destin d'Eurydice. Il n'est rien qui ne vous soit dû ; après une courte halte, un peu plus tard, un peu plus tôt, nous nous hâtons vers le même séjour. C'est ici que nous tendons tous; ici est notre dernière demeure; c'est vous qui régnez le plus longtemps sur le genre humain. Elle aussi, quand, mûre pour la tombe, elle aura accompli une existence d'une juste mesure, elle sera soumise à vos lois; je ne demande pas un don, mais un usufruit. Si les destins me refusent cette faveur pour mon épouse, je suis résolu à ne point revenir sur mes pas; réjouissez-vous de nous voir succomber tous les deux. "
Ovide
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
- → bohemia's Content
- Privacy Policy
- Poésie française ·