TROIS PETITS TOURS . . .
#1
Posted 27 November 2005 - 04:37 PM
J'ai fait seul ce chemin , dans ce couloir trop droit
Où des chiffres trop blancs me dirigent vers toi
Sur des portes trop larges qui toutes se ressemblent.
Nous avions si souvent additionné nos rires ,
Tant croisé nos regards et tes yeux sont fermés ,
Echangé tant de mots et me voilà muet
Devant ce lit trop haut d'où ta vie se retire .
Je n'ai pas résussi à te prendre la main
Mais parce que nos chemins se séparent déjà ,
Impuissant , inutile , j'ai voulu être là ,
J'ai voulu ,prés de toi , te voir finir le tien .
(Au plus que frère)
#2
Posted 27 November 2005 - 06:27 PM
Merci.
PS: Pense à cliquer sur "Mon espace" puis sur "Changer le nom d'affichage", c'est nécessaire depuis que ce forum à changé, vers le 11 nov 2005
#3
Posted 27 November 2005 - 08:11 PM
tu étais là, et ce n'est pas rien.
J'espère qu'une figure amie sera près de moi au dernier jour.
#4
Posted 28 November 2005 - 01:45 PM
et j'en suis bien honteux.
#5
Posted 28 November 2005 - 05:05 PM
"Connecté en tant que : Mon espace · Voir les nouveaux messages · Mon assistant · 0 message(s)"
Alain
#6
Posted 28 November 2005 - 08:06 PM
A la lecture de tes lignes je me suis rendue compte de ce qu'est le réel talent.
Amitiés
Martine
#7
Posted 29 November 2005 - 02:44 PM
A la lecture de tes lignes je me suis rendue compte de ce qu'est le réel talent.
Amitiés
Martine
J'aimerais lire ce texte si vous en disposez encore
Amitiés
#8
Posted 29 November 2005 - 02:49 PM
L'humain se régénère sans cesse dans l'amitié et la compassion.
Merci kékun !
Voyageur
#9
Posted 30 November 2005 - 09:59 AM
Merci
#10
Posted 30 November 2005 - 10:10 AM
trés émouvant,
amitié
#11
Posted 30 November 2005 - 11:24 AM
#12
Posted 30 November 2005 - 11:46 AM
Amitiés
Amitiés
Nos derniers pas
Sur le chemin de peine
Qui a été le tien
Il y a quelques jours
Tes pas se sont posés
Tu avais tant marché, tant cherché à comprendre
Dans un monde ou personne n'y comprenait plus rien.
Ils t'ont accompagné
En ce matin d'avril
Pour que tu te reposes
Dans ce grand lit de bois,
Moi je serrais les poings, je te revoyais vivre
Si j'étais sûre au moins que t'avais voulu ça!
Ces roses sur ton corps
Ces remords, ce chagrin,
A présent que tu dors
Ne servent plus à rien
Des tonnes de cafard, font avancer mes pas
On arrive trop tard, pour marcher près de toi.
C'était mon modeste poème.
Amitiés
Martine
je crois qu'il va être posté 2 fois ; j'ai voulu corriger des fautes de frappe mais j'ai un peu de mal avec les ordis et sutout avec le nouveau site.
#13
Posted 30 November 2005 - 02:37 PM
Trés amicalement
#14
Posted 30 November 2005 - 02:47 PM
#15
Posted 30 November 2005 - 02:59 PM
Bises
#16
Posted 11 February 2006 - 11:35 AM
Moi aussi j'ai une faiblesse informatique (!)
mais deux fois ce texte c'est deux fois l'émotion
Amicalement
#17
Posted 11 February 2006 - 12:25 PM
Martine
#18
Posted 11 February 2006 - 10:52 PM
J'ai fait seul ce chemin , dans ce couloir trop droit
Où des chiffres trop blancs me dirigent vers toi
Sur des portes trop larges qui toutes se ressemblent.
Nous avions si souvent additionné nos rires ,
Tant croisé nos regards et tes yeux sont fermés ,
Echangé tant de mots et me voilà muet
Devant ce lit trop haut d'où ta vie se retire .
Je n'ai pas résussi à te prendre la main
Mais parce que nos chemins se séparent déjà ,
Impuissant , inutile , j'ai voulu être là ,
J'ai voulu ,prés de toi , te voir finir le tien .
(Au plus que frère)
Il est des couloirs que l'on suit sans même les voir, parce que l'émotion nous guide. J'ai suivi tes mots avec cette émotion Kékun.
balila
Sur le chemin de peine
Qui a été le tien
Il y a quelques jours
Tes pas se sont posés
Tu avais tant marché, tant cherché à comprendre
Dans un monde ou personne n'y comprenait plus rien.
Ils t'ont accompagné
En ce matin d'avril
Pour que tu te reposes
Dans ce grand lit de bois,
Moi je serrais les poings, je te revoyais vivre
Si j'étais sûre au moins que t'avais voulu ça!
Ces roses sur ton corps
Ces remords, ce chagrin,
A présent que tu dors
Ne servent plus à rien
Des tonnes de cafard, font avancer mes pas
On arrive trop tard, pour marcher près de toi.
C'était mon modeste poème.
Amitiés
Martine
je crois qu'il va être posté 2 fois ; j'ai voulu corriger des fautes de frappe mais j'ai un peu de mal avec les ordis et sutout avec le nouveau site.
Et une vive émotion Martine en te lisant... Ton texte est vraiment puissant, pour moi...
balila
#19
Posted 11 February 2006 - 11:46 PM
Qui me ramène en mémoire celui que j'ai écrit...pour un disparu...
Tu as les émotions
À grand cœur tourmenté
De survivre à fond d'éclats
En pression de l'existence
Tu as les blues passions
Des amours plein le corps
De tendresse à s'arracher
La douceur au creux des vagues
Tu as les yeux perdus
D'un chagrin sur la vie
À faire pleurer les mots
Au matin du dernier regard
Tu as ton air de l'âme
De questions sans réponse
Au léger… du sans retour
#20
Posted 14 February 2006 - 06:59 PM
Je n'avais rien lu de vous , encore .
Merci de m'avoir permis cette prise de connaissance par ce trés trés beau texte.
Je vais vous rechercher dans les listes trop éphémères de ce salon
Amicalement
#21
Posted 15 February 2006 - 12:21 AM
Bonne soirée
Amitiés
#22
Posted 20 February 2006 - 06:34 PM
Je vous ai trouvé
je vous ai lu(e)
je suis conquis
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