J’aimerais bien en dérober de ta rougeur l’ire
Du jour assoupissant pour en accorder ma lyre
À l'assonance du ton illuminant le perchoir.
Amblyope nuit sous le toit du temps blafard !
La dernière lueur que tu chasseras du nadir,
Je la rallumerai mélodieusement pour relire
L’épigramme de l’abscons s’étirant au juchoir :
Les cierges fondent sous les larmes de mon amati
Qui tangue l’art des quiétudes de quelques ouïes
Lorsque son harmonie réveille les longs silences,
Les moments ronflants aux tréfonds des plaisirs
S’étirent quand il promène toute sa clémence
Sur sa distance, mais jamais sous l’épar d’hiver.
hamid khenat et non noël et compagnie.
Edited by vent, 03 December 2006 - 08:24 PM.