30 replies to this topic

[Victor-du-Coseille]

Il n’y avait même plus un point…






Passent pitances
jusqu’aux silences des monocles.
Des rires
aux lumières. Lames sans fond
sans feu.

Opales pitances.
par delà le cri,
le dépassement. Que le vide couve
les landes. Incertain
qu’il vous soit.

Passons. Les morts
broient nos sexes en sable.
Et les fleurs noircissent
aux touchés
de nos doigts.

Puis tasse. Les vents
respirent
de ces instants sans mécanisme;
sans fins,
perdus et libres dans l’air / où flottent les cils.

Edited by Victor-du-Coseille, 24 January 2006 - 11:45 PM.

[Gaston Kwizera]

une tuerie...

[Victor-du-Coseille]

ba merci.

[Cueldalie]

"Puis tasse".

tu peux expliquer stp?

[Cueldalie]

ainsi que ça "où flotte les cils." stp.

[Eden]

destructuré comme j'aime

sinon comme un prémice de poésie dans ce poème pourrait m'inciter à dire tuerie

[Victor-du-Coseille]

si tu veux
j'peux expliquer ta mère
ou éventuellement
la vendre nue sur la marché.

pé tasse. du verbe tasser à l'impératif; c'est un mode, ou ché pas trop quoi, pour donner des ordres au cas ou tu ne le savais pas.

après, sa conjuguaison... ché pas.....................

tu vois, là, j'aurais pu mettre encore pas mal de points, mais je ne les ai pas mit. et tu sais pourquoi? bé parce que, carrotte. et lessive.

non sérieux, ché pas conjuger à l'impératif, j'ai du mal avec le tu. ET les soupes solex. Comme des FRANges.


Allez prostates. Aux devants de la course.



j'avoue que "la lande", c'est vachement bien. J'y réfléchirai. Merci à toi. Et cimer Jardin. à méditer.

Peace.



et pour l'autre chienne ( c'est un sonnet ):



Ex Renan des folies londoniennes
Louves couvent Londres et des pots de pattes
C’est la mienne pas la tienne
L’assiette qui tombe plate

PlATE. Tchou Tchou Tchou
Et les yeux parurent d’une parure
Où fouines de l’extrême
Parvenaient. Tchou Tchou Tchou

Coca-cola coule
Devant les litres de poules
Et mixe d’un uranium de piètre pneus

Ombres et shadows
Mirent le pied sur la poupe
Et le bateau partait GOLOSTONO ô ô Ô petit chaud. Maux.








ha ha ha ha !!!!! Rrrrhahhhha .... SUicide. Ahhhhh bélzébuth. Astaroth.

[Cueldalie]

ah oki

en fait quand je lis quelque chose qui ressemble à du bon, je me demande si quelque chose m'a échappé dans la compréhension du texte. en gros, je me dis pas que ce que lis est une faute.
ben donc là c'est dommage parce que ça altère le sens ou du moins la lecture. ça vaudrait peut-être le coup de se prendre la tête deux minutes avec un bescherelle nan?
ça coûte pas plus cher et ça augmente le plaisir =)

[Cueldalie]

comment ça "à poil?"

[Victor-du-Coseille]

c'est rien.

[socque]

Eh ben ce poème, c'est la classe !!

Les deux derniers paragraphes sont à tomber béat.
J'adore "opales pitances" et
"Que le vide couve
les landes."

Un bémol pour moi sur
"Lames sans fond
sans feu", que je trouve un peu facile, en-dessous du reste qui est époustouflant.
Idem pour
"par delà le cri,
le dépassement."

Monsieur Victor-du-Coseille, vous êtes un monsieur. Un meussieu.

[Cueldalie]

arrête, après i' va l'croire

[Victor-du-Coseille]

Merci sonia.


Et l'autre c'est une chambreuse.

[heloise]

Il est doué
Il mérite de faire partie du Peuple des Clowns

[Victor-du-Coseille]

là, c'est vraiment trop d'honneurs. mais j'apprécie. à bientôt héloise.

[srio]

c'est rien.

Oui, oui : il est très fort.
Les landes, ce peut être plusieurs landes, non ?

[Victor-du-Coseille]

Oui, je ne connais pas Dax, Bazas, Captieux. Dsl. Je t'aime. Déjà.

[Salam]

Je prends tout
C'est pas des phrases c'est des sensations
Tout un film sans le son
Surement pas muet...

[Loco]

Pas mal. C'est-à-dire que maintenant, M. Victor, je suis devenu exigent quand je te lis. Alors forcément, je ne vais pas chanter de très hautes louanges, mais quand même, cette lecture, chez moi, ce soir, est bien passée par là où ça fait du bien quand ça passe. Ni plus ni moins.

@+
NH

[Victor-du-Coseille]

bé alors c'est cool. content de te procurer de la joie.

[Victor-du-Coseille]

voilà

[ATYA.SYRS]

suprasegmental

[vallée]

bon je vais essayer un avis
impartial
et inhabituel
parce que je connais victor
de puis épictète
et qu'alors
j'étais bien seul à le défendre
(1er bannissement de début mars 2005
contre quercus et la bande)

là je trouve que cela sonne bien
que cela va tout seul
que les mots glissent
comme des oiseaux
mais que justement
les oiseaux tu ne les massacres plus

tu écris du victor
et cela devient à la mode

tu as perdu cette rage
ce flot dévastateur et serein
qui me faisait trembler
tu t'embourgeoises
en somme

prend bien garde aux pantoufles

salut & fraternité

[Victor-du-Coseille]

T'as franchement raison Vallée, il n'y a plus de révolte, car l'oisiveté a pris le dessus.


Je l'écrirai sur un mur de Panam durant le mois de juin. Juré la Tange.

Peace.

[Victor-du-Coseille]

T'inkiètes. La suce ce mérite ici. Du moins, je le pense.

[Gaston Kwizera]

up pour Ao

[vallée]

et c'est peu de le dire

[uiox]

Bof

[Voyageur]

La révolte est immense, le rêve malsain.

Amicalement

Voyageur

[belvis]

La poésie, c'est de la musique,
Et cette poésie-là est une musique...