10 replies to this topic

[KERFON]

Lettre à Victor… !




Pauvre Victor Hugo,
Mon ami de la rime,
Du fond de ton caveau
Vois-tu cette déprime,
Toutes tes espérances
S’envolent en fumée
Et ce qui fut ta France
Tente de surnager !

Toi, l’immense écrivain
Qui croyait fort en l’homme,
Je lis tes parchemins
Et une idée m’assomme :
« Construisez des écoles
Pour fermer des prisons »
L’idée n’était pas folle
Mais remise en question !

Les écoles sont en feu,
Les prisons se remplissent,
Le moindre des merdeux
S’oppose à la police,
En France, cher Victor,
Tout s’en va à vau-l’eau
Pendant ce temps tu dors
Bien à l'abris des maux…

KERFON LE CELTE

[Nobody's perfect]

Oula Kerfon, sacré hommage que tu lui fais, je n'ai fait que te lire, je ne dirai rien d'autre que c'est bien écrit.

[Remo]

c'est limite à gerber ... déjà parce que c'est assez mal écrit (pauvreté du contenu et de la technique bla bla bla) et qu'en plus le discours est d'une platitude et d'une fatuité déconcertante. Bon, c'est un avis personnel mais comme c'est le mien, je suis pour.

[sangreal]

De tout coeur avec toi. Où va ma seconde patrie? Amitiés JP

[Remo]

merci, je le savais (eheh, c'est amusant les posts qui se télescopent ...)

[KERFON]

c'est limite à gerber ... déjà parce que c'est assez mal écrit (pauvreté du contenu et de la technique bla bla bla) et qu'en plus le discours est d'une platitude et d'une fatuité déconcertante. Bon, c'est un avis personnel mais comme c'est le mien, je suis pour.

Alors gerbe...!

KLC

[Remo]

Alors gerbe...!

KLC

ah non, là c'est limite (si en plus t'as des problèmes de compréhension), gerber, je garde ça pour ton prochain.

[DIVA]

j'aime aussi bien le texte que son thème..
bien dit KERFON
Amitiés
Houda

[vallée]

moi j'ai pas de remontées
parce que j'ai l'estomac bien accroché
mais
ça vaut pas le temps
qu'il faut pour le lire

invoquer hugo
maintenant qu'il est mort
ça n'a pas de nom

[Alain31]

"Pauvre Victor Hugo,
Mon ami de la rime ..." ?????

Non, Victor Hugo était l'ami de la Poésie ... pas de la rime !

Il n'aurait jamais été l'ami d'un ennemi du Peuple, si frêle soit ce peuple.

En d'autres temps, les Poètes savaient voir la misère derrière le rideau de fumée.
Ils ne lui portaient pas le coup de grâce, surtout quand elle est à terre.

Alain

[Michel]

salut cher kerfon

absent un mois je fouille
le site
je ne manque pas tes textes
celui-là me semble bien à propos
et basé sur une une excellente référence poètique
bien tourné et construit
avec ce petit clin d'oeil à la chute
à une banalité
bravo
bonne continuation

Amicalement
Michel