Quand la peur de la mort amorce la nausée,
Que dire ?
Quand le poids de la vie pèse jusqu'au délire,
Musée
Moisi des terreurs baguenaudant dans nos têtes
Rétives,
Il est temps de chercher des compagnies hâtives,
En fête.
Quoi d'autre à faire quand ses grands crocs nous dévorent
Le foie,
Quand la Dame hilare a planté en nous l'effroi
Si fort ?
Quand
Started by socque, Oct 30 2006 10:41 PM
6 replies to this topic
#2
(cloud)
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- TLPsien
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- Publications:Aucune
- Parcours poétique:?
Posted 30 October 2006 - 10:54 PM
non désolé vraiment pas ce poeme là. je suis même étonné.
amicalement cloud.
amicalement cloud.
#3
socque
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Posted 31 October 2006 - 12:11 AM
No problem cloud ! Salut amical à toi.
#4
Tyi
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Posted 31 October 2006 - 05:58 PM
J'aime beaucoup et les sonorités et l'agencement visuel de ton texte.
#5
socque
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Posted 31 October 2006 - 07:40 PM
Merci Tyi, c'est gentil. Tu es indulgente, je crois qu'il y aurait mieux à faire (j'ai voulu expérimenter une métrique 12 / 2, ce n'est pas facile à maîtriser)...
#6
Condor
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- TLPsien
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condor
- Location:France
Posted 31 October 2006 - 08:13 PM
Le 12 ne doit pas être du 12 mais du 6/6 (ou du 4/4/4, mais même dans ce dernier cas, il faut faire du 4//2/2//4).
Or ce n'est pas le cas de "Moisi des terreurs baguenaudant dans nos têtes" ni de "Quoi d'autre à faire quand ses grands crocs nous dévorent" ni de "Quand la Dame hilare a planté en nous l'effroi
"
Pour le reste, c'est génial. Continue à expérimenter, je te lis ;-)
Allez ! Je ne peux pas m'empêcher de te proposer une correction :
Quand la peur de la mort amorce la nausée,
Que dire ?
Quand le poids de la vie pèse jusqu'au délire,
Musée
Moisi des ces terreurs qui branlent dans nos têtes
Rétives,
Il est temps de chercher des compagnies hâtives,
En fête.
Quoi faire quand ses crocs immenses nous dévorent
Le foie,
Quand la Dame a planté hilare en nous l'effroi
Si fort ?
Or ce n'est pas le cas de "Moisi des terreurs baguenaudant dans nos têtes" ni de "Quoi d'autre à faire quand ses grands crocs nous dévorent" ni de "Quand la Dame hilare a planté en nous l'effroi
"
Pour le reste, c'est génial. Continue à expérimenter, je te lis ;-)
Allez ! Je ne peux pas m'empêcher de te proposer une correction :
Quand la peur de la mort amorce la nausée,
Que dire ?
Quand le poids de la vie pèse jusqu'au délire,
Musée
Moisi des ces terreurs qui branlent dans nos têtes
Rétives,
Il est temps de chercher des compagnies hâtives,
En fête.
Quoi faire quand ses crocs immenses nous dévorent
Le foie,
Quand la Dame a planté hilare en nous l'effroi
Si fort ?
#7
socque
-
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Posted 31 October 2006 - 08:22 PM
Je suis d'accord, rapace, que ta proposition rend les alexandrins balancés, ce qu'ils n'étaient pas à l'origine. D'un autre côté, j'ai fait à moitié exprès de poser des alexandrins informes, qui illustrent le désarroi général dans la tête (et je tiens à avoir "Dame hilare" d'un bloc, ce qui ne simplifie pas)... Bon, ça se discute, je reprendrai plus tard (ou pas, j'écrirai peut-être tout autre chose) !
Merci de ta lecture fidèle en tout cas, ô fier oiseau !
Merci de ta lecture fidèle en tout cas, ô fier oiseau !
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