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[Silences...]

Pourquoi ?

Pourquoi faut-il lorsque je parle de dieu !
Que vous sortiez votre calculette à illusions !
Et votre machine à débiter des sarcasmes
Votre blasphème est aussi inutile

Que les preuves de son existence !
Vous ne savez rien, moi aussi
Mais ayez donc du respect
Pour ceux qu’il aide à survivre dans un monde cynique

Apprenez aussi que je vous respecte
Vous, votre scepticisme et vos blasphèmes
Qui ne sont que les fondements de votre propre liberté !
Mais ceux qui croient ont aussi ce droit

De vivre, en priant «le Dieu»
Vous méprisez ce que vous ne comprenez pas
Vous êtes très intelligents avec vos lois de physique
De mathématiques et la science de Darwin

Vous croyez avoir tout compris
Je vous dis : Vous ne comprenez rien
De ce monde que vous manipuler comme un jouet désirable
Une poupée, un mécano ou un jeu vidéo

Car votre monde n’est qu’une mécanique
Vous ne saurez jamais si ce monde à une âme
Cela vous échappe peut être
Mais ce monde est plus que ses parties

Ce monde est plus que ses constituants
Je ne saurais, ni ne pourrais vous le démontrer
Car on ne prouve rien en expliquant
Je vous le dis : il vous manque ce petit rien

Ce petit rien, un éclair irrationnel
Et malgré tout votre savoir
Il n’y a rien sous le microscope de vos analyses
Et tout est dans un presque rien

Qui vous échappera toujours !
L’âme du monde existe
Comme existe le néant !
Son miroir inverse parfait…