Ai-je connu des averses un jour,
qui lapident l'âme dans la rue assombrie?
Le bonheur hystérique
d'avaler les coups en solitaire.
passage
Started by peltador, Sep 26 2005 05:22 PM
7 replies to this topic
#1
Posted 26 September 2005 - 05:22 PM
#2
Posted 26 September 2005 - 06:42 PM
Le ciel est d'une blancheur absolue
Si improbables, ces caresses blanches,
ces ruisseaux de lumières, ces calmes
inhumains.
Et la pupille
d'un nuage disparaît.
Si improbables, ces caresses blanches,
ces ruisseaux de lumières, ces calmes
inhumains.
Et la pupille
d'un nuage disparaît.
#3
Posted 26 September 2005 - 06:53 PM
mais je me disais : si elle belle autant qu'elle prenne de la place.
et place fut faite...
et place fut faite...
#4
Posted 26 September 2005 - 07:01 PM
Je voudrais écrire
Mais la nuit - ce soir - prend beaucoup trop de place
A mes cotés
Et écrire dans le noir
C'est toujours risquer de perdre le fil de son discours...
Très joli comme d'hab !
ah enfin ! de retour... tu as msn ? moi j'y suis ... emmasini@hotmail.com
Bise
Mais la nuit - ce soir - prend beaucoup trop de place
A mes cotés
Et écrire dans le noir
C'est toujours risquer de perdre le fil de son discours...
Très joli comme d'hab !
ah enfin ! de retour... tu as msn ? moi j'y suis ... emmasini@hotmail.com
Bise
#5
Posted 26 September 2005 - 07:05 PM
simple murmure arraché
au mirage de fond,
déploie tes rêves à la gorge des ténèbres.
au mirage de fond,
déploie tes rêves à la gorge des ténèbres.
#6
Posted 26 September 2005 - 07:45 PM
Tenez ma chère Cyprine, spécialement concue pour vous alors
#7
Posted 26 September 2005 - 07:51 PM
arf, je crois que je sais pas comment on fait
#8
Posted 27 September 2005 - 01:27 PM
J'aime beaucoup ces deux textes et les autres de toi que j'ai pu lire.
une remontée pour ta poésie...
Bohémia
une remontée pour ta poésie...
Bohémia
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