De loin
On le reconnaissait
A sa soutane rapiécée
Qui traînait par terre
Comme pour répandre sa misère
Cet homme toujours triste
A soif
soif comme l'oiseau qui vole
On le croirait éternellement inquiet ...
Depuis qu'il sait marcher
Sans craindre le froid de la nuit
La cuillère de la pluie
Toujours dans sa poche
A-t-il jamais dormi ?
NB:il y a lesderniers vers qui ne plaisent pas..y a t il une proposition^pour les changer
Edited by zinho, 20 December 2006 - 08:06 PM.