Confidences à Une Rose!
Started by thalla, Dec 04 2006 01:06 PM
4 replies to this topic
#1
Posted 04 December 2006 - 01:06 PM
Confidences à une rose, confidence intime à ma rose
Rose, reine des fleurs, ta voix me parle du secret de la rose.
Rose, de la rose tu conserves le mystère des senteurs envoûtantes de la rose,
Rose, de la rose tu gardes le souvenir de la grâce, des fragrances et la subtilité des nuances.
Rose, tu es la rose qui pare le cœur des amants au moment de l’embrasement des sens par l’amour.
Rose, tu ornes le sourire suave qui illumine le regard des amants.
Rose, tu me contes le souvenir mystérieux du monde des roses
Rose, tu es ma rose, amie intime du jasmin et compagne fidèle de la tulipe.
Rose, de la rose tu as le parfum qui donne vie aux rêves d’extase.
Rose, de la rose tu gardes la sagesse du monde des fleurs qui apaise les angoisses et apaise les cœurs.
Rose, reine des roses, ma reine, tu fais chavirer mon âme et troubler mes regards.
Rose, somptueux décor des matins flamboyants et des crépuscules incendiés par le jour qui fuit et la nuit qui s’avance.
Rose, intime complice de mes nuits sans sommeil, tu habites le cœur de mes mémoires nostalgiques.
Rose, reine de mes aubes naissantes, tu veilles sur mes rêves et tu berces mes illusions.
Rose rouge de la passion, tu luttes contre les insouciances, les indifférences, les stérilisantes routines qui se vident de l’amour, tu es source de vie et de délices.
Rose rouge, tu donnes vie à la passion qui combat les absences et réveille la vigilance des cœurs meurtris dont la mémoire se vide des mots, des gestes, des caresses et des regards qui constituent la substance, l’origine et la source de la vie.
Rose rouge, tu attises les passions, origine de turbulence des sens, tu bouleverses les existences, tu sèmes la discordance, tu sonnes la rébellion et la désobéissance.
Rose rouge, tu déclenches des tempêtes dans les consciences, tu désarticules les présents, tu modèles les possibles lendemains et tu réaménages les hiers non assumés.
Rose rouge, essences des passions, tu déranges les équilibres précaires des vies désertées par l’amour, tu remets en cause les convictions qui stérilisent le frémissement des cœurs, tu consumes les incertitudes des amants impatients et avides de présence, tu embrases les nuits électrisées des corps ivres de plaisir et de désir.
Rose rouge, tu allumes le feu de la passion amoureuse dans les cœurs qui s’apprêtent à s’abandonner aux délices des sens.
Rose bleue, tu es la force de l’amant qui brave l’inconstance et l’adversité des néants pour rejoindre la source de sa vérité, l’origine de son existence.
Rose bleue, tu es le viatique de l’amoureux qui s’acharne à s’approprier le cœur, l’âme et le corps de son étoile qui brille aux quatre horizons
Rose, tu embaumes de tes étranges effluves les contrées mystérieuses des serments d’amour pour faire frémir les souvenirs et faire ressurgir le goût d’aimer et de chérir.
Rose, souvenir vivace de la rose et des couleurs de la rose, tu berces la mémoire de mes tendres émois, chantes la douceur de vivre, psalmodies l’hymne de l’amour, réinventes les possibles aléatoires et fais taire les improbables contingences des instants désertés par l’ombre des fleurs et de la présence de la reine des fleurs.
Fleur du premier matin du monde, tu réveilles délicatement la vigilance des cœurs, tu donnes sens et conscience à leurs exigences d’immortalité, tu sublimes leur contemplation des espaces infinis où les matins sont radieux et où les êtres et les choses resplendissent de l’éclat de la vérité.
La subtile énergie des tes fragrances bouscule les inconsistances des non-sens et la virtualité des espérances, ébranle les inerties coupables, investit les coeurs dévorés par l’amertume du souvenir des déroutes non assumées, laboure les mémoires endolories et endurcies pour y faire germer les graines des lendemains imprévus.
Rose, ton arôme éblouit mes yeux, tes pétales sont des promesses de plaisirs plantés dans les parcelles des espérances, arrosées par l’onde bénéfique de nos complices attentes.
Reine des fleurs, tu es ma rose dont la quintessence des parfum, puisés au cœur des mystères de la grâce et de la féminité comble les espoirs de bonheur et de sérénité des amoureux.
Tu es la rose qui se baigne timidement dans la rosée des aubes naissantes, réminiscences nées dans les profondeurs des corps en extase qui arrosent les heures brûlantes des nuits auréolées par la clarté laiteuse de la lune.
Rose blanche, innocence virginale, candeur immaculée, tu réconcilies les femmes et les hommes avec leur essence primordiale, tu les incites à retrouver, au fond de leurs mystères, le chemin de la mémoire des origines et la nostalgie de la grâce et de la beauté.
Rose de lumière, baignée de rosée lumineuse et irisée, tu bisses les souvenances des sourires innocents et nacrés de tous les fragments de bonheur que mon cœur a tant espérés et attendus.
#2
Posted 04 December 2006 - 02:15 PM
Putain c vraiment nul, en plus c long:
"Rose, reine des fleurs, ta voix me parle du secret de la rose."
"Rose, reine des roses, ma reine, tu fais chavirer mon âme et troubler mes regards."
"La subtile énergie des tes fragrances bouscule les inconsistances des non-sens et la virtualité des espérances, ébranle les inerties coupables, investit les coeurs dévorés par l’amertume du souvenir des déroutes non assumées, laboure les mémoires endolories et endurcies pour y faire germer les graines des lendemains imprévus."
laisse moi rigloler quand meme.
Voila, j'espere que c'etait constructif.
"Rose, reine des fleurs, ta voix me parle du secret de la rose."
"Rose, reine des roses, ma reine, tu fais chavirer mon âme et troubler mes regards."
"La subtile énergie des tes fragrances bouscule les inconsistances des non-sens et la virtualité des espérances, ébranle les inerties coupables, investit les coeurs dévorés par l’amertume du souvenir des déroutes non assumées, laboure les mémoires endolories et endurcies pour y faire germer les graines des lendemains imprévus."
laisse moi rigloler quand meme.
Voila, j'espere que c'etait constructif.
#3
Posted 04 December 2006 - 09:59 PM
Le thème me touche, et c'est pourquoi je vais essayer de faire une critique constructive.
Premièrement il y a beaucoup trop de répétitions dans ton poème, ce qui lui donne une lourdeur certaine.
Pour commencer ne répète pas à chaque vers le mot "rose", ça finit carrément par faire un martèlement sonore et on ne retient plus que ce mot (et donc, on n'entend plus rien du reste du poème...)
Ensuite, c'est vrai que ce poème est beaucoup trop long (en faisant des répétitions lassantes, comme le mot "source", "source de vie", "passion","amants", "amour", "coeur", "fragrance", "mémoire", "nostalgie" : ces mots sont répétés 3 à 4 fois chacun ) : on gagne toujours en concision. ; moralité : travaille tes idées et n'exprime chaque idée qu'une seule fois.
On sent que tu es plein d'enthousiasme mais il faut plutôt se "concentrer" en poésie, plutôt que "s'étaler".
Tu déclines la fin de ton poème avec chaque couleur de la rose ; c'est une bonne idée, mais alors suis-la d'un bout à l'autre ou pas du tout (tu peux écrire plusieurs poèmes sur la rose, tu as le droit, tu as toute la vie devant toi...)
Enfin, quand tu auras travaillé tes "idées" tu pourras toujours choisir d'écrire ou en prose, ou, en vers, ou en vers libre, et de choisir un rythme.
Un dernier conseil : si ton poème te plait trop à cause de l'émotion qui l'a fait naître, laisse de côté plusieurs mois ou années, et tu le retravailleras quand il sera un peu plus "refroidi"
Amicalement
Christophe
Premièrement il y a beaucoup trop de répétitions dans ton poème, ce qui lui donne une lourdeur certaine.
Pour commencer ne répète pas à chaque vers le mot "rose", ça finit carrément par faire un martèlement sonore et on ne retient plus que ce mot (et donc, on n'entend plus rien du reste du poème...)
Ensuite, c'est vrai que ce poème est beaucoup trop long (en faisant des répétitions lassantes, comme le mot "source", "source de vie", "passion","amants", "amour", "coeur", "fragrance", "mémoire", "nostalgie" : ces mots sont répétés 3 à 4 fois chacun ) : on gagne toujours en concision. ; moralité : travaille tes idées et n'exprime chaque idée qu'une seule fois.
On sent que tu es plein d'enthousiasme mais il faut plutôt se "concentrer" en poésie, plutôt que "s'étaler".
Tu déclines la fin de ton poème avec chaque couleur de la rose ; c'est une bonne idée, mais alors suis-la d'un bout à l'autre ou pas du tout (tu peux écrire plusieurs poèmes sur la rose, tu as le droit, tu as toute la vie devant toi...)
Enfin, quand tu auras travaillé tes "idées" tu pourras toujours choisir d'écrire ou en prose, ou, en vers, ou en vers libre, et de choisir un rythme.
Un dernier conseil : si ton poème te plait trop à cause de l'émotion qui l'a fait naître, laisse de côté plusieurs mois ou années, et tu le retravailleras quand il sera un peu plus "refroidi"
Amicalement
Christophe
Citation
Confidences à une rose, confidence intime à ma rose
Rose, reine des fleurs, ta voix me parle du secret de la rose.
Rose, de la rose tu conserves le mystère des senteurs envoûtantes de la rose,
Rose, de la rose tu gardes le souvenir de la grâce, des fragrances et la subtilité des nuances.
Rose, tu es la rose qui pare le cœur des amants au moment de l’embrasement des sens par l’amour.
Rose, tu ornes le sourire suave qui illumine le regard des amants.
Rose, tu me contes le souvenir mystérieux du monde des roses
Rose, tu es ma rose, amie intime du jasmin et compagne fidèle de la tulipe.
Rose, de la rose tu as le parfum qui donne vie aux rêves d’extase.
Rose, de la rose tu gardes la sagesse du monde des fleurs qui apaise les angoisses et apaise les cœurs.
Rose, reine des roses, ma reine, tu fais chavirer mon âme et troubler mes regards.
Rose, somptueux décor des matins flamboyants et des crépuscules incendiés par le jour qui fuit et la nuit qui s’avance.
Rose, intime complice de mes nuits sans sommeil, tu habites le cœur de mes mémoires nostalgiques.
Rose, reine de mes aubes naissantes, tu veilles sur mes rêves et tu berces mes illusions.
Rose rouge de la passion, tu luttes contre les insouciances, les indifférences, les stérilisantes routines qui se vident de l’amour, tu es source de vie et de délices.
Rose rouge, tu donnes vie à la passion qui combat les absences et réveille la vigilance des cœurs meurtris dont la mémoire se vide des mots, des gestes, des caresses et des regards qui constituent la substance, l’origine et la source de la vie.
Rose rouge, tu attises les passions, origine de turbulence des sens, tu bouleverses les existences, tu sèmes la discordance, tu sonnes la rébellion et la désobéissance.
Rose rouge, tu déclenches des tempêtes dans les consciences, tu désarticules les présents, tu modèles les possibles lendemains et tu réaménages les hiers non assumés.
Rose rouge, essences des passions, tu déranges les équilibres précaires des vies désertées par l’amour, tu remets en cause les convictions qui stérilisent le frémissement des cœurs, tu consumes les incertitudes des amants impatients et avides de présence, tu embrases les nuits électrisées des corps ivres de plaisir et de désir.
Rose rouge, tu allumes le feu de la passion amoureuse dans les cœurs qui s’apprêtent à s’abandonner aux délices des sens.
Rose bleue, tu es la force de l’amant qui brave l’inconstance et l’adversité des néants pour rejoindre la source de sa vérité, l’origine de son existence.
Rose bleue, tu es le viatique de l’amoureux qui s’acharne à s’approprier le cœur, l’âme et le corps de son étoile qui brille aux quatre horizons
Rose, tu embaumes de tes étranges effluves les contrées mystérieuses des serments d’amour pour faire frémir les souvenirs et faire ressurgir le goût d’aimer et de chérir.
Rose, souvenir vivace de la rose et des couleurs de la rose, tu berces la mémoire de mes tendres émois, chantes la douceur de vivre, psalmodies l’hymne de l’amour, réinventes les possibles aléatoires et fais taire les improbables contingences des instants désertés par l’ombre des fleurs et de la présence de la reine des fleurs.
Fleur du premier matin du monde, tu réveilles délicatement la vigilance des cœurs, tu donnes sens et conscience à leurs exigences d’immortalité, tu sublimes leur contemplation des espaces infinis où les matins sont radieux et où les êtres et les choses resplendissent de l’éclat de la vérité.
La subtile énergie des tes fragrances bouscule les inconsistances des non-sens et la virtualité des espérances, ébranle les inerties coupables, investit les coeurs dévorés par l’amertume du souvenir des déroutes non assumées, laboure les mémoires endolories et endurcies pour y faire germer les graines des lendemains imprévus.
Rose, ton arôme éblouit mes yeux, tes pétales sont des promesses de plaisirs plantés dans les parcelles des espérances, arrosées par l’onde bénéfique de nos complices attentes.
Reine des fleurs, tu es ma rose dont la quintessence des parfum, puisés au cœur des mystères de la grâce et de la féminité comble les espoirs de bonheur et de sérénité des amoureux.
Tu es la rose qui se baigne timidement dans la rosée des aubes naissantes, réminiscences nées dans les profondeurs des corps en extase qui arrosent les heures brûlantes des nuits auréolées par la clarté laiteuse de la lune.
Rose blanche, innocence virginale, candeur immaculée, tu réconcilies les femmes et les hommes avec leur essence primordiale, tu les incites à retrouver, au fond de leurs mystères, le chemin de la mémoire des origines et la nostalgie de la grâce et de la beauté.
Rose de lumière, baignée de rosée lumineuse et irisée, tu bisses les souvenances des sourires innocents et nacrés de tous les fragments de bonheur que mon cœur a tant espérés et attendus.
Rose, reine des fleurs, ta voix me parle du secret de la rose.
Rose, de la rose tu conserves le mystère des senteurs envoûtantes de la rose,
Rose, de la rose tu gardes le souvenir de la grâce, des fragrances et la subtilité des nuances.
Rose, tu es la rose qui pare le cœur des amants au moment de l’embrasement des sens par l’amour.
Rose, tu ornes le sourire suave qui illumine le regard des amants.
Rose, tu me contes le souvenir mystérieux du monde des roses
Rose, tu es ma rose, amie intime du jasmin et compagne fidèle de la tulipe.
Rose, de la rose tu as le parfum qui donne vie aux rêves d’extase.
Rose, de la rose tu gardes la sagesse du monde des fleurs qui apaise les angoisses et apaise les cœurs.
Rose, reine des roses, ma reine, tu fais chavirer mon âme et troubler mes regards.
Rose, somptueux décor des matins flamboyants et des crépuscules incendiés par le jour qui fuit et la nuit qui s’avance.
Rose, intime complice de mes nuits sans sommeil, tu habites le cœur de mes mémoires nostalgiques.
Rose, reine de mes aubes naissantes, tu veilles sur mes rêves et tu berces mes illusions.
Rose rouge de la passion, tu luttes contre les insouciances, les indifférences, les stérilisantes routines qui se vident de l’amour, tu es source de vie et de délices.
Rose rouge, tu donnes vie à la passion qui combat les absences et réveille la vigilance des cœurs meurtris dont la mémoire se vide des mots, des gestes, des caresses et des regards qui constituent la substance, l’origine et la source de la vie.
Rose rouge, tu attises les passions, origine de turbulence des sens, tu bouleverses les existences, tu sèmes la discordance, tu sonnes la rébellion et la désobéissance.
Rose rouge, tu déclenches des tempêtes dans les consciences, tu désarticules les présents, tu modèles les possibles lendemains et tu réaménages les hiers non assumés.
Rose rouge, essences des passions, tu déranges les équilibres précaires des vies désertées par l’amour, tu remets en cause les convictions qui stérilisent le frémissement des cœurs, tu consumes les incertitudes des amants impatients et avides de présence, tu embrases les nuits électrisées des corps ivres de plaisir et de désir.
Rose rouge, tu allumes le feu de la passion amoureuse dans les cœurs qui s’apprêtent à s’abandonner aux délices des sens.
Rose bleue, tu es la force de l’amant qui brave l’inconstance et l’adversité des néants pour rejoindre la source de sa vérité, l’origine de son existence.
Rose bleue, tu es le viatique de l’amoureux qui s’acharne à s’approprier le cœur, l’âme et le corps de son étoile qui brille aux quatre horizons
Rose, tu embaumes de tes étranges effluves les contrées mystérieuses des serments d’amour pour faire frémir les souvenirs et faire ressurgir le goût d’aimer et de chérir.
Rose, souvenir vivace de la rose et des couleurs de la rose, tu berces la mémoire de mes tendres émois, chantes la douceur de vivre, psalmodies l’hymne de l’amour, réinventes les possibles aléatoires et fais taire les improbables contingences des instants désertés par l’ombre des fleurs et de la présence de la reine des fleurs.
Fleur du premier matin du monde, tu réveilles délicatement la vigilance des cœurs, tu donnes sens et conscience à leurs exigences d’immortalité, tu sublimes leur contemplation des espaces infinis où les matins sont radieux et où les êtres et les choses resplendissent de l’éclat de la vérité.
La subtile énergie des tes fragrances bouscule les inconsistances des non-sens et la virtualité des espérances, ébranle les inerties coupables, investit les coeurs dévorés par l’amertume du souvenir des déroutes non assumées, laboure les mémoires endolories et endurcies pour y faire germer les graines des lendemains imprévus.
Rose, ton arôme éblouit mes yeux, tes pétales sont des promesses de plaisirs plantés dans les parcelles des espérances, arrosées par l’onde bénéfique de nos complices attentes.
Reine des fleurs, tu es ma rose dont la quintessence des parfum, puisés au cœur des mystères de la grâce et de la féminité comble les espoirs de bonheur et de sérénité des amoureux.
Tu es la rose qui se baigne timidement dans la rosée des aubes naissantes, réminiscences nées dans les profondeurs des corps en extase qui arrosent les heures brûlantes des nuits auréolées par la clarté laiteuse de la lune.
Rose blanche, innocence virginale, candeur immaculée, tu réconcilies les femmes et les hommes avec leur essence primordiale, tu les incites à retrouver, au fond de leurs mystères, le chemin de la mémoire des origines et la nostalgie de la grâce et de la beauté.
Rose de lumière, baignée de rosée lumineuse et irisée, tu bisses les souvenances des sourires innocents et nacrés de tous les fragments de bonheur que mon cœur a tant espérés et attendus.
#4
Posted 05 December 2006 - 05:22 PM
Votre avalanche de mots nous ensevelit !
On ne peut plus respirer...
J'ai cru mourir cent fois avant que d'être sauvé in extremis...
J'ai souvent fait les mêmes erreurs : vouloir tout dire, et sous toutes les formes !
...sans voir que les redites, jusqu'à satiété, lassent plus qu'elles n'émeuvent.
Et je suis gentil !
Or le sujet vous tient à coeur et vous avez raison !
Alors faites-le vivre, au lieu de l'étouffer (et nous avec) et élaguez, élaguez, élaguez !!!
On ne peut plus respirer...
J'ai cru mourir cent fois avant que d'être sauvé in extremis...
J'ai souvent fait les mêmes erreurs : vouloir tout dire, et sous toutes les formes !
...sans voir que les redites, jusqu'à satiété, lassent plus qu'elles n'émeuvent.
Et je suis gentil !
Or le sujet vous tient à coeur et vous avez raison !
Alors faites-le vivre, au lieu de l'étouffer (et nous avec) et élaguez, élaguez, élaguez !!!
#5
Posted 05 December 2006 - 05:33 PM
étant éprise de "nature",
je viens subtiliser les bons conseils du sage et savant Hamster
où j'ai entrevue une noble patience.
Merci,
sans oublier bon courage Thalla
je viens subtiliser les bons conseils du sage et savant Hamster
où j'ai entrevue une noble patience.
Merci,
sans oublier bon courage Thalla
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