3 replies to this topic

Le prince des chirurgiens.

J’ai serrer la pince
Au prince des chirurgiens.
Il était si mince,
Que dis-je?… Si saint.
Un problème?
Mes pieds devenaient des tètes de lapins.
J’ai fumé du haschich
En quantité importante et
Bu de la bière et du vin.
Pour oublier.

Ô dieu divin,
Que mes pieds étaient vilain,
Que mes pieds étaient vilain.

Le téton de ses seins,
Me frottait les mains,

Sensations mystérieuse au creux de mes reins.
Chiens. Trains. Champignons vain par mon
Dédain de demain.

Baldaquins, bouquins, chignons
Un chauvin, une faim torride
Au fond de mon fion.

Les blés pleins de lin
De lignes à Berlin

Que mes pieds étaient vilain,
Que mes pieds étaient vilain.

J’étais un frein

O pute. Pute. Pute. Pute.
O les caractères étaient gras,
Aigris et gros et grands,
Apache et moche et lâche
Et farouche.

Pute. Pute. Pute
Hutte. Hutte. Hutte.
Lutte. Lutte. Lutte.
Pour un luth, pour une lotte
De lutin.

De la débilité
Dans le grade
Des cratères crades.

Aotourou tu as fumé ...beaucoup et tu décolles ( avec L)

Je suis désolé. Ce poème est là pour dire ce que je pense. Je fais ce que je veux.

[ducon]

c'est grand, lol