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#353955 L'étoile Du Matin

Posted by Tristan Dulacq on 27 October 2006 - 12:35 PM in Salon de publication principal

Je trouvais cette discussion passionnante. On s'endort rarement en lisant quelques onomatopées.



#353836 L'étoile Du Matin

Posted by Tristan Dulacq on 26 October 2006 - 11:34 PM in Salon de publication principal

s'est pris
faudrait
premier ordre
jouit
laissez-moi
réponds
déchu
s'est repu
rôti
endiablée



#353576 Impro Du Soir (encore)

Posted by Tristan Dulacq on 25 October 2006 - 11:22 PM in Salon de publication principal

Heu...Est-ce un assemblage de mots aléatoires?



#353572 Mistral

Posted by Tristan Dulacq on 25 October 2006 - 11:07 PM in Salon de publication principal

Bravo, très joli texte, le seul bémol est que tu fais rimer martinet avec souffler, forêt avec éradiquer.



#353499 Les Voix Divines

Posted by Tristan Dulacq on 25 October 2006 - 03:03 PM in Salon de publication principal

Le dictionnaire suivant indique que l'emploi de hymne au féminin (dans le sens ici utilisé) n'est pas incorrect : http://atilf.atilf.f...t.exe?mot=hymne

Je ne vois pas les défauts mais je ne suis qu'un néophyte ; peux-tu m'en montrer un au moins?

Merci.



#353493 Les Voix Divines

Posted by Tristan Dulacq on 25 October 2006 - 02:08 PM in Salon de publication principal

Aux temps glorieux de la cité d'Argos,
Vivait un barde aveugle et inspiré
Par des voix venues du sombre cosmos,
Des voix hideuses, ardues à ignorer.

Pour les calmer, il devait écouter
Et rejouer les accords démentiels
Qui chaque nuit lui étaient chuchotés
A travers les noirs abîmes du ciel.

Considéré comme fou par sa gent
(Elle abhorrait les viles mélodies
Qui sortaient de son instrument maudit),
Il vivait retiré et sans argent.

Une fois trembla toute la cité
Quand résonnèrent ses hymnes indécentes.
Et plus sa musique devint puissante,
Plus son coeur s'emplit de perversité.

Il voulait détruire Argos de sa lyre
Et débuta une ode de blasphème.
Mais son âme était prise de délire ;
Rien ne fut anéanti que lui-même.

Le rire odieux d'Apollon le vicieux
Résonna dedans la cacophonie,
Car nulle chose n'est plus douce au dieu
Que le péan d'un suivant dans l'agonie.