Fraîche soirée de printemps où tout semblait paisible
Alors qu'elle hurlait silencieusement sa douleur
La mort cette nuit là l'avait prise pour cible
Le noir absorbait en elle toutes les couleurs
Cette fois ci le désespoir l'avait emporté
Elle voulait oublier, a gobé ces cachets
Envahie par la haine qui coulait dans ses veines
Elle a brisé ses chaînes en provocant la peine
Froide nuit de printemps où le monde s'endormait
Alors qu'elle titubait sur cette route obscure
Aveuglée par ses larmes, perdue dans ces pensées
Va pour le retrouver, escalade le mur
Sans jamais y être allée elle l'a reconnu
La tombe de son ange qu'on a retrouvé pendu
Rongée par la douleur de ce mal destructeur
Elle a fermé son cœur sur le monde extérieur
Glaciale nuit de printemps où tous étaient au chaud
Alors qu'elle s'effondrait sur sa tombe fleurie
Mêlant ses cris de rage à ceux des corbeaux
Maculant sa tombe de larmes, silences incompris
Allongée prés de lui entre ses sanglots lui parlait
En attendant que la mort vienne la délivrer
Etouffée par le poids que causait ses "pourquoi"
Devant son désarroi elle a prit un lourd choix
Doux matin de printemps où la ville s'éveille
Elle ouvre enfin les yeux sur son lit d'hôpital
Ses pensées sont brouillées après ce long sommeil
Juste de vagues souvenirs de sa sortie nuitale
Peu à peu cependant elle retrouve ses esprits
En camouflant ses pleurs soigneusement sans bruit
Silence impardonnable d'une âme si instable
Se sentant si coupable de cette faute évitable
Belle journée de printemps où le calme régnait
Elle, seule responsable de sa propre faiblesse
Face à ce silence oppressant qui la tuait
A son geste ayant provoqué tant de tristesse
Sa souffrance à présent dévoilée au grand jour
Elle a pu la nourrir chaque jour d'un peu d'amour
Elle a brisé le silence, fruit de ses souffrances
A trouvé l'espérance d'une prochaine délivrance
Le Cri Du Silence
Started by tomyangel, Nov 24 2006 11:40 AM
2 replies to this topic
#1
Posted 24 November 2006 - 11:40 AM
#2
Posted 24 November 2006 - 12:46 PM
Citation (tomyangel @ Nov 24 2006, 11:40 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Fraîche soirée de printemps où tout semblait paisible
Alors qu'elle hurlait silencieusement sa douleur
La mort cette nuit là l'avait prise pour cible
Le noir absorbait en elle toutes les couleurs
Cette fois ci le désespoir l'avait emporté
Elle voulait oublier, a gobé ces cachets
Envahie par la haine qui coulait dans ses veines
Elle a brisé ses chaînes en provocant la peine
Froide nuit de printemps où le monde s'endormait
Alors qu'elle titubait sur cette route obscure
Aveuglée par ses larmes, perdue dans ces pensées
Va pour le retrouver, escalade le mur
Sans jamais y être allée elle l'a reconnu
La tombe de son ange qu'on a retrouvé pendu
Rongée par la douleur de ce mal destructeur
Elle a fermé son cœur sur le monde extérieur
Glaciale nuit de printemps où tous étaient au chaud
Alors qu'elle s'effondrait sur sa tombe fleurie
Mêlant ses cris de rage à ceux des corbeaux
Maculant sa tombe de larmes, silences incompris
Allongée prés de lui entre ses sanglots lui parlait
En attendant que la mort vienne la délivrer
Etouffée par le poids que causait ses "pourquoi"
Devant son désarroi elle a prit un lourd choix
Doux matin de printemps où la ville s'éveille
Elle ouvre enfin les yeux sur son lit d'hôpital
Ses pensées sont brouillées après ce long sommeil
Juste de vagues souvenirs de sa sortie nuitale
Peu à peu cependant elle retrouve ses esprits
En camouflant ses pleurs soigneusement sans bruit
Silence impardonnable d'une âme si instable
Se sentant si coupable de cette faute évitable
Belle journée de printemps où le calme régnait
Elle, seule responsable de sa propre faiblesse
Face à ce silence oppressant qui la tuait
A son geste ayant provoqué tant de tristesse
Sa souffrance à présent dévoilée au grand jour
Elle a pu la nourrir chaque jour d'un peu d'amour
Elle a brisé le silence, fruit de ses souffrances
A trouvé l'espérance d'une prochaine délivrance
Je ne te connais pas encore mais ton truc(poême) est super.C'est mon avis mais peut être pas celui de tout le monde(attendons)Bien à toi . LE VIEUX.
Alors qu'elle hurlait silencieusement sa douleur
La mort cette nuit là l'avait prise pour cible
Le noir absorbait en elle toutes les couleurs
Cette fois ci le désespoir l'avait emporté
Elle voulait oublier, a gobé ces cachets
Envahie par la haine qui coulait dans ses veines
Elle a brisé ses chaînes en provocant la peine
Froide nuit de printemps où le monde s'endormait
Alors qu'elle titubait sur cette route obscure
Aveuglée par ses larmes, perdue dans ces pensées
Va pour le retrouver, escalade le mur
Sans jamais y être allée elle l'a reconnu
La tombe de son ange qu'on a retrouvé pendu
Rongée par la douleur de ce mal destructeur
Elle a fermé son cœur sur le monde extérieur
Glaciale nuit de printemps où tous étaient au chaud
Alors qu'elle s'effondrait sur sa tombe fleurie
Mêlant ses cris de rage à ceux des corbeaux
Maculant sa tombe de larmes, silences incompris
Allongée prés de lui entre ses sanglots lui parlait
En attendant que la mort vienne la délivrer
Etouffée par le poids que causait ses "pourquoi"
Devant son désarroi elle a prit un lourd choix
Doux matin de printemps où la ville s'éveille
Elle ouvre enfin les yeux sur son lit d'hôpital
Ses pensées sont brouillées après ce long sommeil
Juste de vagues souvenirs de sa sortie nuitale
Peu à peu cependant elle retrouve ses esprits
En camouflant ses pleurs soigneusement sans bruit
Silence impardonnable d'une âme si instable
Se sentant si coupable de cette faute évitable
Belle journée de printemps où le calme régnait
Elle, seule responsable de sa propre faiblesse
Face à ce silence oppressant qui la tuait
A son geste ayant provoqué tant de tristesse
Sa souffrance à présent dévoilée au grand jour
Elle a pu la nourrir chaque jour d'un peu d'amour
Elle a brisé le silence, fruit de ses souffrances
A trouvé l'espérance d'une prochaine délivrance
#3
Posted 24 November 2006 - 02:10 PM
Bonjour et bienvenue
J'ai beaucoup de mal avec les textes évoquant un sujet grave sur un ton 'réaliste'.
Il me semble que le lecteur se retrouve enfermé.
Il y a beaucoup trop d'images, l'ensemble est pesant et je reviens à cette impression d'enfermement.
Peut-être y aurait-il à élaguer pour donner un peu plus de légèreté.
Bonne journée.
J'ai beaucoup de mal avec les textes évoquant un sujet grave sur un ton 'réaliste'.
Il me semble que le lecteur se retrouve enfermé.
Il y a beaucoup trop d'images, l'ensemble est pesant et je reviens à cette impression d'enfermement.
Peut-être y aurait-il à élaguer pour donner un peu plus de légèreté.
Bonne journée.
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