Estampe
#1
Posted 06 June 2006 - 09:12 PM
Ecorce dis lui que tu l’as su.
J’ai pris le sabre de guerre d’antan Ottoman, Emile Zola dans la maternelle de mon grand père y mettait les vertus symboliques de son enfance. Un sacre pour effleurer sa courbe, une consécration pour le soupeser.
C’est vrai, dis lui que tu saurais, quand les tapis étaient déroulés.
Les murs de voix à pic au récit des sourates sont autant d’ondes fondues que l’amour de tes iris, proue à la cascade d’Iguaçu. Les hommes savent leurs étreintes avec le ciel.
Ne te baigne pas dans la cire de son brasier.
Que tu saurais couler les fenêtres.
Fusée sur bern(ab)é
Ils sont saouls. Terre à clés des robes la
Trappe coup de
Point.
D’aise en drame Lisy et Larre, ensembles bavent.
Les frênes doucement s’esclaffent, c’est vrai, ils ont mieux sué
Que ce que les rapides sèvent. Sans s’empêtrer pourtant, ils auraient pu le rire.
[voix off, jaune et granuleux]
Le tanné en soutanes prends les fourmis de ses jambes, à part des choses. Il s’agit de plier son arc de chaire et de rejoindre lésé. Poire tu aurais du savoir. [\]
Il est noueux, la chaîne rejoint tes odeurs de poudre. Loch se ferme aux hiboux, et saute en joues blanches. Et Lidya perle des bricoles sagement,
Deux fois scindée de la linéarité de son corps, par les forts membres forgés de sa chaise. Je passe de son collier brique qui roule sur les os, aux remues des bêtes droguées qu’on amène. Prêtent à centrer l’arrière cour de dalles, du sacrifice en joie. La chèvre pleure.
Je ne pouvais pas sortir la main de ta poche, quand j’ai vu
Dans les oreilles de la petite Cubaine ornée que l’arrosoir balayait sang vergogne.
* Lorelei
Eluard
forêt
guerre d'Algérie
déménagement
pierres de mosquée que je n'ai jamais connus
chutes du sud du Brésil
Rezé
Flore / et toutes sortes de romans films humains
forêt
conduite
marche d'église blâfarde Cuba et l'homme cigale
forêt
bande dessiné révolutionnaire et marche d'Egypte
écosse
Zola
En haut du dédale, en bas de la ville, remerciements aux Dieux Cuba
#2
Posted 06 June 2006 - 09:31 PM
Je coupe, mais ce n'est pas pour t'humilier. Mais pour mieux mettre en lumière ce qui innonde nos yeux de larme.
Il ne manque que ta voix.
Génie.
Comme dans :
Ne te baigne pas dans la cire de son brasier.
Que tu saurais couler les fenêtres.
Mais tout est flamboyant.
Tu vois j'apprends à parler ton langage. Dans notre monde - celui que tu survoles, élite des anges - ce sont les parents qui apprennent aux enfants afin de les enrichir (de la langue), leur donner la corde de leur arc. Pourquoi avec toi tout est inversé ?
Comment peux-tu - à peine née - porter toutes les voix du monde, de l'histoire qui a fini bien avant ton avènement...?
Je retiens encore la fin au parfum de sacrifice, au silence des chevrettes... Défilé battant d'émotion (des motions ?).
Comme dit Bashung : "A Ostende j'ai la hantise de l'écharpe qui s'effiloche à ton cou..."
Nais de par le monde. Vole.
Bises
Chris
#3
Posted 07 June 2006 - 08:55 AM
#4
Posted 08 June 2006 - 03:31 PM
#5
Posted 08 June 2006 - 03:59 PM
Toi, tu parles comme on rêve.
Artemisia
#6
Posted 10 June 2006 - 10:31 AM
ou du moins comme je rêve
#7
Posted 12 June 2006 - 01:53 PM
en tout cas je te lis
henri
#8
Posted 12 June 2006 - 01:56 PM
#9
Posted 12 June 2006 - 01:56 PM
#10
Posted 20 June 2006 - 11:18 AM
Ham' meuh non
Elysa , géant comme un ailé enfant
#11
Posted 20 June 2006 - 08:26 PM
Je voudrais comprendre...
#12
Posted 20 June 2006 - 08:40 PM
rêver sans oreiller,
le tout sur une autre planète, enfin de la nouveauté
tel quel
ça change des anciens, erre, chêne, et CIE
#13
Posted 26 June 2006 - 04:24 PM
labelledeschamps, les autres planêtes dans les neuf milliards de pommes. Bientôt
ps belvis, le derrière d'un ailé enfant biensûr
#14
Posted 26 June 2006 - 10:06 PM
#15
Posted 24 August 2006 - 01:38 PM
0 user(s) are reading this topic
0 members, 0 guests, 0 anonymous users