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[bernardo]

Je n’aurai pas voulu chercher, au sein de la nature,
Je ne voulais pas explorer, la conscience de l'univers,
Je ne désire pas sonder les abîmes couverts,
N’y dessiner ce corps, d’une si belle architecture.


Pouvais-je ? Peindre ce corps nu d’une si riche peinture,
Et avec ma pensée, je recherche mes vers :
Mais suivant la rime chantonnante, si divers,
Elles inspirèrent mes poésies, sous un ciel d’azure.


Je compatis à mes vers, et parfois j’en suis, de quelque regret,
Je me liais d’amitiés avec eux, et mes vers sont en progrès,
Amour de mon coeur, tu ne me feras plus taire.




J’aimais tant ta chevelure, la caressée et l’apprivoisé,
Et mes vers te chantent ma romance, amour brisé,
Sur, tant de désespérance ou ma souffrance ne saurait se taire.