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J’entrelace mon corps
Dans le tien… par la mort
Et de vie transperçante,
Même en l’âme vivante
Gloire au fluide vibrant
En nos corps encombrants:
– Parce qu’éternité
N’estompe qu’un baiser
De cette main câline,
De mes serres félines
T’ayant bercée ailleurs
Parmi d’autres bonheurs
Dans l’espace tordu
De ce monde inconnu!
« Quel est ce doux pays
Qu’est celui de l’oubli? »
Le pays de l’amour
S’en vient faire ce détour
Du côté de mon cœur
Qui moi me fait trop peur!
C’est le fils de la rue
Que tu as peu connu,
Du petit ange blond
Dont tu connais le nom,
De celui qui se damne
Seul autour de lui plane
L’ombre d’un fantôme
Qui joue et puis se paume
Et dont s’amuse la mort
Seul être au triste sort
Tel un ange meurtri
Des profondeurs serties
Ayant cueilli Amour
Sur un arbre un beau jour,
Amour naît sans mystères
Des chemins d’un désert.



ce poème je le dédie spécialement à mon mécène, mon meilleur ami, à toi Bartoche et à nos souvenirs communs.

[QUEZAN]

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Merci à toi Quezan de cet accueil et pour ce qui est des poêmes j'en ai pas loin de 500 en stock lol
Donc vous serez ravis...