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[Eden]

De mes pas je joue à décrocher l’orbite

Et ces lianes sans domicile
Que mon visage reconnaît siennes
Font elles semblant d’être tristes ?

La rumeur devient large et discrète

Au fond du jardin, la poésie est à genoux
Dans sa robe de fruits, en exil
Elle ne m’a pas saluée

Pour toutes ces fois où j’ai bu le ciel
A être ivre comme un bateau
Des mille fois où je marchais droit

[Eden]

bah mince...

[heloise]

bah mince...

Ben voui !
J'ai moins aimé que d'habitude
Mais avec quelques retouches
Notamment en remplaçant certains mots (bouilles, rigole...)
En te creusant un peu plus pour éviter certaines facilités (Mesdames vous apprenez l’amour
Et je danse avec vous malgré demain)
Enfin bref, tu gères ça non ?

[Eden]

ok
je crois que cela va etre radical

ecco

[Pierre-Yves]

.

[Carla.]

Une petite chose qui accroche à la dernière ligne. Un peu de mal à faire la liaison "naturellement" entre les deux dernières, mais c'est peut-être moi qui n'ai pas les yeux en face des trous.

[La Distillatrice]

Quant à moi, j'ai adoré ces deux strophes merveilleuses...

"Au fond du jardin, la poésie est à genoux
Dans sa robe de fruits, en exil
Elle ne m’a pas saluée

Pour toutes ces fois où j’ai bu le ciel
A être ivre comme un bateau
Des mille fois où je marchais droit"

(manca solo qualcosa alla fine, un ultimo verso...non so, cosi sembra incompleto oppure mancano tre puntini ?)