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[Eden]

J’ai déchiffré la faute.
Blottie dans sa niche d’ombres,

Elle donnait le change au soleil.

Un troc, un marché noir.
Que l’image du ciel tolère,
De toute présence, dévolue.

Elle était un mouvement, rapace
Au mérite du silence

Pause sertie d’ultime
Minérale révolution

Epanchée sur l’impossibilité des fleurs
Ou la libre beauté, du dense secret
Au vide vaporeux des sables

Je la reconnus à ses cheveux aériens
qui se dandinaient à l’étoile fière
dont l’éclipse me rappelait mon destin

je la reçus par sa bouche, pluie soudaine,
semaison de voyelles, nuée lancée
sous la douleur du vent, seule reine

je pris la route, sans vouloir savoir

puis plus rien

[La Distillatrice]

Anche l'ultima parte è stupenda,...mi piace un casino...
Ma non mi stupisce che qui non è stato ancora notato...ci vorrebbe un po' di gusto...che vuoi...quello ce l'hai o non ce l'hai !

Bravo

Emma & Elsa

[(cloud)]

la fin assure eden.

j'ai lu la faute comme attribut ironique pour un changement brillant, de sentier hors des chemin battus, comme si seul le regard des autres y voyaient une faute et ne comprenait vraiment
et puis finalement non, finalement rien de neuf... on continue, toujours, pareils en fait.

voila ma première lecture;
bonne soirée,

cloud.

[Ben-du-Toit]

Ça se lit bien.
C'est comme d'écouter une belle chanson dans une langue qu'on ne comprend pas.

Ben-du-Toit

[heloise]

Et bien !
C'est plutôt bien
Mais qu'avait donc dit croyance ?

[.ds.]

J'ai lu avec attention Eden, et je l'aurais bien lu ainsi, pour plus de musicalité (il me faudra tout de même revenir dessus) :

Un mouvement au silence...
Reconnus à ses cheveux...
Dandinant à l'étoile...
l'éclipse me

ces quatres vers que j'aurais aimé lire ainsi.

Ce n'est que mon avis sinon !

Bisous et à Emma.

[Eden]

pas saisi ton com ds ??