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[bernardo]

Qui que tu es, humains, marche vite parmi
Là ! où gît ma cendre qu'on oubliera, et si inconsolée ;
tu ne fouleras pas ces fleurs, de mon humble mausolée
Tu écouteras aussi, ramper le lierre, sur ma tombe endormie.


Tu t'arrêtes ? entend le chant de la colombe qui gémi.
Non ! Qu'elle ne s'installe pas sur ma tombe si froide et immolée !
Si tu désires humain, m'être très cher, donne-lui la volée.
Notre vie sera si douce, ah ! laissez la vivre mon ami,


Pouvais-tu, le savoir sous le myrte commun, frappant sa porte,
L'épouse si vierge, sur le seuil nuptial inconsolable, je serais morte,
Et si proche , et déjà si loin du soleil et de celui que j'aimais.


Tes yeux mon amour, se serons fermés à cette lumière heureuse,
Et désormais tu habites dans une étoile, hélas ! Et pour jamais,
Je voyais l'inexorable éphèbe de la nuit obscure, et si ténébreuse

[Tuongvi]

Maginifique mais triste... Je ne connais pas assez toutes les règles de l'art d'écrire pour te faire des remarques plus "constructives" toutefois sache que j'ai pris beaucoup de plaisir à te lire.

Amitié,
Diana

Je trouve ton poème vraiment bien écrit Chénier ! dis-moi, c'est presque un sonnet ?!?

[bernardo]

Maginifique mais triste... Je ne connais pas assez toutes les règles de l'art d'écrire pour te faire des remarques plus "constructives" toutefois sache que j'ai pris beaucoup de plaisir à te lire.  

Amitié,  
Diana

Te remercie filleauborddeleau , pour ton amical commentaire, ce sonnet
empreint d'une certaine tristesse, c'était en la mémoire d'une personne qui
m’était très cher.
Amitiés ,

[bernardo]

Je trouve ton poème vraiment bien écrit Chénier ! dis-moi, c'est presque un sonnet ?!?

Wilhelmina, oui c'était un sonnet empreint d'une certaine tristesse, comme
j'avais écrit à filleauborddeleau , en mémoire d'une personne qui m'était
Cher, et que je n'est jamais oublié.
Amitiés ,