* Mais j’erre, ma mère *
J’erre en ton cœur, ma mère.
Chez toi, ma photo en l’état, j’erre
Sur cette plaque de bois,
Suspendu, au-dessus de toi.
J’erre en ton cœur, ma mère.
***
Tes larmes ont coulé dans les airs
Plus que les larmes de mon doux père
Mais j’erre. Tu es ma mère
Et je t’accompagne sur la Terre.
Où es-tu mon éther ?
Ni tes cris, ni tes supplices
Ne me feront taire
Tu n’as pas supporté. Tu as voulu ma mort ma mère.
Et tu l’as eu...
***
Te souviens-tu mon enfance
Les visites d’un père
Dans la chambre d’un fils
Devenu ses Enfers
De l’amour à la mort,
Le lit, couche et cercueil,
Se fit, toutes ces nuits, l’hôte de mon corps
Mon enfance, je m’en souviens.
Moi, l’hôte de mon père.
***
Mes larmes ont coulé sur mes veines
Plus que mon souvenir dans ta tête.
Mais j’erre. Et une sorcière
M’accompagne quand j’erre en enfer
Où es-tu mon éternité ?
Cri, mais tes supplices
Ne me feront pas taire.
Mon corps, dans tes bras un aller simple d’un père à la mer…
Chacun m’a eu…
***
Mais j’erre, tu es ma mère,
Et si, si tout autour de toi, j’erre
Autour du père que j’aime
Et que j’oublie… Et bien crois-moi
Tu n’es qu’une étrangère, mais j’erre…
J’erre en ton cœur, ma mère.
Chez toi, ma photo en l’état, j’erre
Sur cette plaque de bois,
Suspendu, au-dessus de toi.
J’erre en ton cœur, ma mère.
***
Tes larmes ont coulé dans les airs
Plus que les larmes de mon doux père
Mais j’erre. Tu es ma mère
Et je t’accompagne sur la Terre.
Où es-tu mon éther ?
Ni tes cris, ni tes supplices
Ne me feront taire
Tu n’as pas supporté. Tu as voulu ma mort ma mère.
Et tu l’as eu...
***
Te souviens-tu mon enfance
Les visites d’un père
Dans la chambre d’un fils
Devenu ses Enfers
De l’amour à la mort,
Le lit, couche et cercueil,
Se fit, toutes ces nuits, l’hôte de mon corps
Mon enfance, je m’en souviens.
Moi, l’hôte de mon père.
***
Mes larmes ont coulé sur mes veines
Plus que mon souvenir dans ta tête.
Mais j’erre. Et une sorcière
M’accompagne quand j’erre en enfer
Où es-tu mon éternité ?
Cri, mais tes supplices
Ne me feront pas taire.
Mon corps, dans tes bras un aller simple d’un père à la mer…
Chacun m’a eu…
***
Mais j’erre, tu es ma mère,
Et si, si tout autour de toi, j’erre
Autour du père que j’aime
Et que j’oublie… Et bien crois-moi
Tu n’es qu’une étrangère, mais j’erre…