Nous grandirons par nécessité
Et non par l’heureuse fortune
Nous serons peaux légendaires
Nos regards théurgiques
L’autre à l’instant
Nous fendrons l’avant et l’après
Gardant précieuse la source
De l’éveil au matin levant
Les échos, nos et d’ailleurs
Son suave de la salve de nos cœurs
Assibileront nos plus que jamais
L’Etre pareil aux os de messagers.
Jeune âge, tendresse des pierres
A la nuit des Sept principes
Améthystes des guerriers
Nous coudrons l’ombre
Des révolutions solaires
Nos mots, un rien de teintes
De pourpre et de souffre,
A la lenteur d'un sistre divin
Couchés sous les sycomores,
Guériront nos blessures.
Un Bris De Temps Sous La Peau. 3.
Started by Tyi, Nov 11 2006 03:15 PM
7 replies to this topic
#1
Posted 11 November 2006 - 03:15 PM
#2
Posted 12 November 2006 - 08:18 PM
Ce poème a comme des accents borgèsiens
Mais j'aime qu'il parle au futur
(Il est plein de fougue, de puissance et d'espoir)
Il est comme un monologue de Shakespeare.
Mais j'aime qu'il parle au futur
(Il est plein de fougue, de puissance et d'espoir)
Il est comme un monologue de Shakespeare.
#3
Posted 14 November 2006 - 10:36 PM
Citation (le hamster @ Nov 12 2006, 08:18 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ce poème a comme des accents borgèsiens
Mais j'aime qu'il parle au futur
(Il est plein de fougue, de puissance et d'espoir)
Il est comme un monologue de Shakespeare.
Mais j'aime qu'il parle au futur
(Il est plein de fougue, de puissance et d'espoir)
Il est comme un monologue de Shakespeare.
Ton coeur (lecture) est immense, il caresse mes crachats de lune, le brouillard seul épais.
Je manque de lumière et de matière.
Merci.
#4
Posted 15 November 2006 - 08:11 AM
Tu ne manques pas de consistance dans ton écriture
En tout cas
N'invective pas l'oiseau
Ne sous-estime pas la lune
Et ses lumières
Son bal s'achève à peine
Ici les avions décollent et se cognent aux nuages
Transpercent le ciel pour se perdre
Aux quatre coins du monde
La matière parfois est impalpable
Amitiés
En tout cas
N'invective pas l'oiseau
Ne sous-estime pas la lune
Et ses lumières
Son bal s'achève à peine
Ici les avions décollent et se cognent aux nuages
Transpercent le ciel pour se perdre
Aux quatre coins du monde
La matière parfois est impalpable
Amitiés
#5
Posted 20 November 2006 - 02:08 PM
Citation (le hamster @ Nov 15 2006, 08:11 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Tu ne manques pas de consistance dans ton écriture
En tout cas
N'invective pas l'oiseau
Ne sous-estime pas la lune
Et ses lumières
Son bal s'achève à peine
Ici les avions décollent et se cognent aux nuages
Transpercent le ciel pour se perdre
Aux quatre coins du monde
La matière parfois est impalpable
Amitiés
En tout cas
N'invective pas l'oiseau
Ne sous-estime pas la lune
Et ses lumières
Son bal s'achève à peine
Ici les avions décollent et se cognent aux nuages
Transpercent le ciel pour se perdre
Aux quatre coins du monde
La matière parfois est impalpable
Amitiés
Heureusement que la matière est impalpable, que serait l'amitié alors?
Sinon, tu bosses pour AF?
Ouais, ouais, je poste pas au hasard.
Aller, c'est pour rire!
Bisous pour remo!
(on ne sait jamais)
#6
Posted 20 November 2006 - 02:30 PM
Tiens, oui!
Bises à remo
Bises à remo
#7
Posted 20 November 2006 - 04:39 PM
Pour ce poème, je l'ai déja dit, mais je m'associe à mes amies pour adresser un bisou à Rémo. Et un gros bisou à Tyi.
Manon
Manon
#8
Posted 20 November 2006 - 08:42 PM
Citation
Sinon, tu bosses pour AF?
Non pas pour eux (et je ne regrette pas) mais ils me cernent...
(Je trouve que cela a une certaine poésie ce continuel vrombissement de grosses machines volantes et cette fourmillière d'engins roulants qui n'arrête pas, sur le tarmac, du petit matin au soir... )
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