J'ais le coeur qui sombre, s’évade, diluer dans des tes états d’âmes fantasmagoriques:
C'est une courbe vénusté, un Vertige roi, ou songe une Lune pâle et amnésique;
Autrefois, j’ai presser cette perle transcendantale, l’élixir opalescent de son parfum
Son visage moire et soluble de Rosa, si délicat baisé qui m’effleurais de son reflet féminin.
Mais j'ai eu beau boire ce silence luminescent, écouter la lumière cerner secrètement pleurer,
Je ne voyais plus son parfum affleurer, ô belle de la nuit, de ton charme maternel je suis condamnée ;
La fractale divine brisée, nos Bijoux auréolés s’éteignent en vain, de ces distances; Sans ce saint joyau
Il s'invente des Mélancolias, un délice artificiel, des absences suaves, un sophiste Miroir jumeau.
Mon enfant intérieur , Lune noire croissante, volais dans la nuit vers une chimérique Matrice absolue
J'aurais pu suicider la Beauté clair-obscure, mais ton haleine astral m'avait miraculeusement suspendu,
L’instant alchimique ressuscité, subtile éclipse atmosphérique, battement romantique d'un autre temps;
Mais fugitive comme la Passante, tu t'éloignais déjà lyser; élégie de nos sphères s’entrecroisant.
Je t'aime inconditionnellement, même lunatique et éphémère , rappelle toi, je t'aime d'âme à âme !
Mais toi, ô mortelle Égérie, tu préfères tes amours interdits et charnelles de femmes à femmes !
Mais l'Amour n'a pas de sexe ! tu cherchais un flamboiement convexe, une chaleureuse amie ,
Je cherchais le Clair de Lune de mes insomnies, une âme pleine, muse de mes blanches nuits.
J’ai le cœur orné d’un diamant noir, mon univers vide comme un vaste et triste royaume
T’illumine de ses somptueuses lunes noires, tout semble luxueux et ta flamme comme un baume;
J’ai la volupté suprême de palper le réel d’un rêve déchu, ici en son sein, je suis ton hombre, l’idéal !
Dans cette élévation royale, le Souvenir précieux est couronné d’une Harmonie riche et spectrale.
Edited by emy_magique, 25 August 2006 - 12:02 PM.
