Souvent, je me souviens l’école:
Le bruit du métal,
Le goût du printemps,
Et le baiser sous parasol.
J’étais si jeune
Comme un enfant placé sur trône.
Et tu aussi, le vert légume,
Et rien pareille á la matrone
Que maintenant tu es –
La tendre gamine est tuée.
Tes lèvres molles,
Humide, comme sol
Pendant l’irrigation,
Et dont l’écume dupante
Bouillait comme une colle,
Je revois mâchant du pain.
Vingt ans plus tard
Avec les traces du larme
Elles sont si proches et lentes.
Dans le même bâtiment
Nous rejoigne encore
Pour commencer d’abord
L’amour de notre école
Sous le même parasol.
Je fais l’amour
Dans la poussière de routes.
C’est sont les ours,
Qui dansent et nous entourent.
En attendant des cris,
Ils veulent l’inspiration,
Mais je me pense si seule
Avec silence écrit
Sur nos bouches enfermies –
Dans ce monde tous terminent.
Souvent, je me souviens l’école:
Le bruit du métal,
Le goût du printemps,
Et le baiser sous parasol.
Vingt ans de turbulence
Started by DavidKarape, Aug 10 2005 06:29 AM
No replies to this topic
1 user(s) are reading this topic
0 members, 1 guests, 0 anonymous users