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[Lisange]

J'étais là près de toi
Je fouillais la mer de mes doigts
Je cherchais ta main
Pour la ramener en vain.......

Que je sois loin
ou près de toi
je sent que mon coeur
cherche le bonheur
au près de toi....

[Lisange]

Je cherche encore ta main
Parmi ce sable doré et fin
Je n'ai trouvé qu'un coquillage
Soufflant d'attente à mon visage.

Et je m'en veux un peu,
On s'est raté de si peu...

J'étais encore là à t'attendre
Ecoutant mon âme se fendre
Sous les coups du désespoir
Devrais-je jusqu'à nuit noire
Rester ici, de toi ainsi privée ?
Viendras-tu me délivrer ?

[Lisange]

J'ai déjà ton coeur dans mon coeur
Mais je ne trouve toujours pas ta main.
J'entends ton âme en chagrin
Et le battement de ton coeur
Au rythme du mien
Mais je ne trouve pas ta main.....

Elle est là, posée sur mon coeur
Qui rêve à chaque heure
Du jour ou l'océan m'enmenera vers toi,
Du jour ou elle pourra
Enttendre chaque battement de ton coeur.

[Lisange]

Je t'ai laissé un signe de mon passage
Quelques gouttes de larmes sur le rivage
Elles y demeureront jusqu'à ton retour
Jusqu'à ce que tu les trouves.

et moi j'attendais que la mer me lèche les pieds.

[margolagoe]

pour pouvoir sentir cette douce brise matinale
afin de refroidir ce mal
qui hante mon corps
quand loins de moi tu t'endors

[margolagoe]

pour pouvoir sentir cette douce brise matinale
afin de refroidir ce mal
qui hante mon corps
quand loin de moi tu t'endors

[Lisange]

Le bruit de l'eau qui roule sur la grève
Me ramène vers toi sans cesse
Puis tu disparaîs derrière les chalefs
Sous les rayons du soleil ou l'on causait

Chaque jours quand je me lève,
Je trouve dans nos promesses
Les mots qui illuminent mon coeur
Comme lorsque tout bàs l'on causait.

Je pose ta main sur mon coeur,
Que tu sentes ses battements,
Combien il bat à cent à l'heure
Combien tu me manques tant.

[Lisange]

Puisque je n'ai pas ta main dans la mienne
Je regarde vers le ciel en chantant toujours ta rengaine

Vois l'hirondelle
Qui bat de l'aile

Elle me rappelle

Tes yeux sarcelles
Tes cheveux rebelles

Un levé de jour sous le soleil.

Quand viendra l'heure fatidique de se quitter,
Que me restera-t-il quand tu seras partie
Si ce n'est la chaleur du bout de tes doigts
Qui de ma main, se seront échappés
Pour rejoindre une autre main amie
A la fin, que me restera-t-il donc de toi ?

Il restera les souvenirs
Ceux qui nous ont aidé à construire.
Il restera l'emprunte de tes droigts,
L'odeur de ton corps, le son de ta voix.

De ma tête, ton image hante mes nuits
Quand je me couche seul dans le lit.

Les draps sont imprégnés de ton parfum
Et l'attente du matin me semble sans fin.

J'étends le bras jusqu'au plafond nu
Pour atteindre des souvenirs perdus...

Ta douce voix hante mon esprit,
Chaque jour, à chaque heure, chaque nuit.

Le froid qui le soir m'envaillit,
Le vide à coté de moi dans le lit,
Ton corps, ton sourire, ton regard
Tout de toi me manque

Mais quand reviendras tu ...

Les journées défilent lentement.
Je ressens un vide dans mon coeur.
J'observe ta photo longuement.
Je sens à chaque fois que je me meurs.

[Lisange]

Reviens donc prendre ma main.
Si différents n'étaient nos chemins.
Mes rimes
À la dérive
S'enfuient.

Depuis que tu es parti,
Mon regard s'est assombri
Et mes yeux se sont mis à pleurer.
Je vis dans le passé,
Toi qui m'as tellement manqué
Un jour me reviendras-tu?
Je me sens tellement perdue

Pourquoi a-t-il fallu que je te laisses partir ?
Quelle est cette folie qui m'a envahi ?
Je sens encore tes tristes et chaudes larmes
Couler doucement le long de mon visage
Qui semblaient me laisser un message
Quand on s'est enlacé comme une seule âme
Pour la dernière fois cette froide nuit
Et le lendemain, chacun à pleurer sur notre avenir.

Je ne puis m'en empaicher
À toi je ne cesse de penser
Revien moi tes phautes sont oubliées
Je m'ennuis de tes bras rassurants
Pour quoi t'ais-je chasser?
Moi qui ne puis cesser de pleurer
Il y a en moi un terrible besoin de te parler
Pourquoi ne puis-je pas tourner la page
Pour définitivement t'oublier?
Je t'ai brisé le coeur pour m'avoir fait souffrir,
Mais là c'est encore pire
Tu es la, mais je ne te vois pas
J'ai besoin de toi

Je m'ennuie de ton regard si captivant
De ton sourire si charmant.
Je reconnais en tes mots,
Celle que j'ai toujours connu.
Mais pouquoi ce vide, pourquoi...

Je cherche à recoller les morceaux,
De notre histoire parti en lambeau.
Mais je t'en prie ne pleurs pas,
Mon coeur, mon âme et mon esprit sont près de toi.

[spleeneetude]

De tous ces souvenirs d'orgies
De ces doses létales d'infini
De cet émoi qui me supportait
Et qui par tes lèvres me souriait

J'ai le besoin de crier cette violence
D'un amour roi d'un pays de silence.
Je rampe et me torture en des danses
Me confinant dans d'étranges transes

J'hurle, pour cette voix pourtant oubliée
Danse danse comme une âme exorcisée
Maléfique, tel la septième des salomés

Et ton nom semble si flou, si frêle
Alors avant que n'advienne le gèle
De cette passion, moi, fou allié
J'ouvrirai la boîte de ces typhons
Qui ont animés la beauté passée
J'ouvrirai la boîte de ces typhons
Avant que ne revienne ma triste raison.