Toi Ma Montre
Started by poéte a ses heures, Dec 14 2006 07:46 PM
9 replies to this topic
#1
Posted 14 December 2006 - 07:46 PM
Oh toi ma montre ! Qui rythme les instants
Chacune de tes secondes enrichit mon passé
Fait fondre mon futur comme un cierge allumé
Et m’entraîne un peu plus vers le soleil couchant.
Oh toi ma montre ! Messagère des dieux du temps
Tu files le temps qui passe sans jamais t’arrêter
Jamais au terme de ta course effrénée
Et les heures coulent inexorablement.
Et pourtant aujourd’hui je maudis ta lenteur.
Le jour s’écoule aux battements de mon coeur
Et il me tarde de retrouver mon Aphrodite.
Oh toi ma montre ! Ma hantise et mon courroux
Tes aiguilles ne tournent pas assez vite.
Pour l’heure de mon premier rendez-vous.
Chacune de tes secondes enrichit mon passé
Fait fondre mon futur comme un cierge allumé
Et m’entraîne un peu plus vers le soleil couchant.
Oh toi ma montre ! Messagère des dieux du temps
Tu files le temps qui passe sans jamais t’arrêter
Jamais au terme de ta course effrénée
Et les heures coulent inexorablement.
Et pourtant aujourd’hui je maudis ta lenteur.
Le jour s’écoule aux battements de mon coeur
Et il me tarde de retrouver mon Aphrodite.
Oh toi ma montre ! Ma hantise et mon courroux
Tes aiguilles ne tournent pas assez vite.
Pour l’heure de mon premier rendez-vous.
#2
Posted 14 December 2006 - 08:06 PM
Citation (poéte a ses heures @ Dec 14 2006, 09:46 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Oh toi ma montre ! Qui rythme les instants
Chacune de tes secondes enrichit mon passé
Fait fondre mon futur comme un cierge allumé
Et m’entraîne un peu plus vers le soleil couchant.
Oh toi ma montre ! Messagère des dieux du temps
Tu files le temps qui passe sans jamais t’arrêter
Jamais au terme de ta course effrénée
Et les heures coulent inexorablement.
Et pourtant aujourd’hui je maudis ta lenteur.
Le jour s’écoule aux battements de mon coeur
Et il me tarde de retrouver mon Aphrodite.
Oh toi ma montre ! Ma hantise et mon courroux
Tes aiguilles ne tournent pas assez vite.
Pour l’heure de mon premier rendez-vous.
Chacune de tes secondes enrichit mon passé
Fait fondre mon futur comme un cierge allumé
Et m’entraîne un peu plus vers le soleil couchant.
Oh toi ma montre ! Messagère des dieux du temps
Tu files le temps qui passe sans jamais t’arrêter
Jamais au terme de ta course effrénée
Et les heures coulent inexorablement.
Et pourtant aujourd’hui je maudis ta lenteur.
Le jour s’écoule aux battements de mon coeur
Et il me tarde de retrouver mon Aphrodite.
Oh toi ma montre ! Ma hantise et mon courroux
Tes aiguilles ne tournent pas assez vite.
Pour l’heure de mon premier rendez-vous.
Abba
abba
aaB
aBa
cCEST QOUI CA, poesie?
VK
#3
Posted 14 December 2006 - 08:11 PM
c'est plutot ABBA ABBA CCD EDE (un sonnet).
#4
Posted 14 December 2006 - 08:13 PM
A la vue d'un charabia non expliqué
Un peu d'aide peut-être?
tu veux t'essayer au sonnet (ce Phénix difficile à maîtriser), tu trouveras qques références
pour les formes et les rimes dans le salon à corriger
essaie des rimes plus riches, des images à transposer en émotions...enfin je te sens plein d'entrain, alors
Bonne continuation
Un peu d'aide peut-être?
tu veux t'essayer au sonnet (ce Phénix difficile à maîtriser), tu trouveras qques références
pour les formes et les rimes dans le salon à corriger
essaie des rimes plus riches, des images à transposer en émotions...enfin je te sens plein d'entrain, alors
Bonne continuation
#5
Posted 14 December 2006 - 08:19 PM
tu trouve que j'ai écrit un charabia ?
#6
Posted 14 December 2006 - 08:21 PM
non! la personne qui énumérait des rictus juste après
le temps que je fasse le com....
le temps que je fasse le com....
#7
Posted 14 December 2006 - 09:14 PM
Citation (poéte a ses heures @ Dec 14 2006, 07:46 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Oh toi ma montre ! Qui rythme les instants
Chacune de tes secondes enrichit mon passé
Fait fondre mon futur comme un cierge allumé
Et m’entraîne un peu plus vers le soleil couchant.
Oh toi ma montre ! Messagère des dieux du temps
Tu files le temps qui passe sans jamais t’arrêter
Jamais au terme de ta course effrénée
Et les heures coulent inexorablement.
Et pourtant aujourd’hui je maudis ta lenteur.
Le jour s’écoule aux battements de mon coeur
Et il me tarde de retrouver mon Aphrodite.
Oh toi ma montre ! Ma hantise et mon courroux
Tes aiguilles ne tournent pas assez vite.
Pour l’heure de mon premier rendez-vous.
Chacune de tes secondes enrichit mon passé
Fait fondre mon futur comme un cierge allumé
Et m’entraîne un peu plus vers le soleil couchant.
Oh toi ma montre ! Messagère des dieux du temps
Tu files le temps qui passe sans jamais t’arrêter
Jamais au terme de ta course effrénée
Et les heures coulent inexorablement.
Et pourtant aujourd’hui je maudis ta lenteur.
Le jour s’écoule aux battements de mon coeur
Et il me tarde de retrouver mon Aphrodite.
Oh toi ma montre ! Ma hantise et mon courroux
Tes aiguilles ne tournent pas assez vite.
Pour l’heure de mon premier rendez-vous.
-----------------------------------------------------------------
je résume un peu ce que je veux te dire en quelques mots.
un sonnet compte deux quatrains en alexandrins et deux tercets.
un alexandrin est un vers de douze syllabes ou pieds.
un quatrain compte quatre vers
un tercet compte trois vers.
les formules classiques.
abba. abba. cdd, cdd.
abba.abba. ccd, ccd.
abba.abba. cde, cde.
abba.abba. abb, abb.
abba.abba. acc, acc.
abba.abba. cca, cca.
néo-classique.
abba.abba. ccd, ede. et il faut faire attention à la ponctuation qui compte beaucoup dans les sonnets et le classique en général.
on réplique à chaque exclamation (! ) par une autre comme les interrogations (?)
on surveille la ponctuation, les rejets les enjambements et les syllabes et bien sûr la langue poétique.
petit exemple: chasseresse au lieu de chasseuse
nautonier au lieu de marin
aède au lieu de poète etc.
merci.
moi farid khenat.
#8
Posted 14 December 2006 - 09:38 PM
Merci beaucoup pour les remarques.
#9
Posted 14 December 2006 - 09:49 PM
Citation (vent @ Dec 14 2006, 09:14 PM) <{POST_SNAPBACK}>
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je résume un peu ce que je veux te dire en quelques mots.
un sonnet compte deux quatrains en alexandrins et deux tercets.
un alexandrin est un vers de douze syllabes ou pieds.
un quatrain compte quatre vers
un tercet compte trois vers.
les formules classiques.
abba. abba. cdd, cdd.
abba.abba. ccd, ccd.
abba.abba. cde, cde.
abba.abba. abb, abb.
abba.abba. acc, acc.
abba.abba. cca, cca.
néo-classique.
abba.abba. ccd, ede. et il faut faire attention à la ponctuation qui compte beaucoup dans les sonnets et le classique en général.
on réplique à chaque exclamation (! ) par une autre comme les interrogations (?)
on surveille la ponctuation, les rejets les enjambements et les syllabes et bien sûr la langue poétique.
petit exemple: chasseresse au lieu de chasseuse
nautonier au lieu de marin
aède au lieu de poète etc.
merci.
moi farid khenat.
je résume un peu ce que je veux te dire en quelques mots.
un sonnet compte deux quatrains en alexandrins et deux tercets.
un alexandrin est un vers de douze syllabes ou pieds.
un quatrain compte quatre vers
un tercet compte trois vers.
les formules classiques.
abba. abba. cdd, cdd.
abba.abba. ccd, ccd.
abba.abba. cde, cde.
abba.abba. abb, abb.
abba.abba. acc, acc.
abba.abba. cca, cca.
néo-classique.
abba.abba. ccd, ede. et il faut faire attention à la ponctuation qui compte beaucoup dans les sonnets et le classique en général.
on réplique à chaque exclamation (! ) par une autre comme les interrogations (?)
on surveille la ponctuation, les rejets les enjambements et les syllabes et bien sûr la langue poétique.
petit exemple: chasseresse au lieu de chasseuse
nautonier au lieu de marin
aède au lieu de poète etc.
merci.
moi farid khenat.
Si pour vous la poésie est une technique, les gars, nous ne sommes pas sur la même longueur d'onde.
"Poète à ses heures", n'écoute pas ces conseillers poussiéreux ! Donne libre cours à ton instinct et ton imagination, prends des libertés !
Que de poèmes parfaitement construits et creux à mourir, pleins de clichés sans lendemain.
Je trouve ton poème un peu facile, ceci dit, mais plaisant.
#10
Posted 19 December 2006 - 11:16 AM
Citation (poéte a ses heures @ Dec 14 2006, 07:46 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Oh toi ma montre ! Qui rythme les instants
Chacune de tes secondes enrichit mon passé
Fait fondre mon futur comme un cierge allumé
Et m’entraîne un peu plus vers le soleil couchant.
Oh toi ma montre ! Messagère des dieux du temps
Tu files le temps qui passe sans jamais t’arrêter
Jamais au terme de ta course effrénée
Et les heures coulent inexorablement.
Et pourtant aujourd’hui je maudis ta lenteur.
Le jour s’écoule aux battements de mon coeur
Et il me tarde de retrouver mon Aphrodite.
Oh toi ma montre ! Ma hantise et mon courroux
Tes aiguilles ne tournent pas assez vite.
Pour l’heure de mon premier rendez-vous.
Chacune de tes secondes enrichit mon passé
Fait fondre mon futur comme un cierge allumé
Et m’entraîne un peu plus vers le soleil couchant.
Oh toi ma montre ! Messagère des dieux du temps
Tu files le temps qui passe sans jamais t’arrêter
Jamais au terme de ta course effrénée
Et les heures coulent inexorablement.
Et pourtant aujourd’hui je maudis ta lenteur.
Le jour s’écoule aux battements de mon coeur
Et il me tarde de retrouver mon Aphrodite.
Oh toi ma montre ! Ma hantise et mon courroux
Tes aiguilles ne tournent pas assez vite.
Pour l’heure de mon premier rendez-vous.
C'est qui, ce Kiri (llov) le clown, qui se permet des remarques acides alors qu'il ne sait pas ce que c'est qu'une rime ?
Il ferait mieux d'aider de sa science, s'il en a une...
Je me permets de te donner le nombre de tes pieds : je vois 5 alexandrins tout mignons tout beau
ce qui te donne :
11 13 OK OK
13 14 11 0K
OK 11 13
OK 11 10
Sous réserve de déballage...!
Les comm.(je ne parle pas de celui du clown bien sûr) sont tous intéressants, même celui qui précède, que je comprends mais il ne sait peut-être pas que tu es très demandeur d'aide technique.
Bon courage...et ne regarde pas trop ta montre quand tu travailles...des fois, c'est frustrant !
Bien à toi,
Paname
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