Qu’il est beau ce nez que pourtant jamais je ne vis.
Jamais je ne le quittais, l'amenant jusque dans mon lit
Lui tendant, à chaque jour, à chaque nuit, les mains
De nos étreintes séraphiques et de nos pas à pas incertains
(Note de Cœur)
L’ylang-ylang est l’absolu sorti
D’un alambic éclaté,
Il ploie
La poudre de vanille
Une flamme de peau
Le jaune Or
S’endormant au creux
D'un murmure.
(Note de fonds)
Finalement,
L’extrait de cerf
Mâle
Capture l’attention
Encore
Je
Edited by Tyi, 23 October 2006 - 05:33 PM.