J'aimais
J’aimais ces trop courts instants que nous volions au temps et où nous savourions le simple plaisir d’être ensemble,
J’aimais ta présence à mes côtés, qui transfigurait la banalité de la vie.
J’aimais le timbre et la mélodie de ta voix.
J’aimais ce frisson délicieux qui me parcourait quand tu m’appelais « amour ».
J’aimais te faire sourire et voir se retrousser de plaisir l’ourlet délicat de tes lèvres.
J’aimais me plonger dans le lac clair de tes yeux d’azur.
J’aimais leur reflet mordoré dans la lumière vacillante.
J’aimais quand tu inclinais la tête et quand ton regard se perdait dans tes rêveries.
J’aimais ton subtil mélange d’ingénuité et de sensualité brûlante.
J’aimais quand tu me serrais à m’étouffer et que tu pressais ton ventre contre le mien.
J’aimais voir l’or de tes cheveux rayonner autour de ton visage.
J’aimais la douceur de leur caresse sur ma peau.
J’aimais flatter de ma bouche les fruits charnus et gonflés de désir que m’offrait ta menue poitrine.
J’aimais redessiner de mes caresses les courbes de ton corps.
J’aimais pétrir tendrement les douceurs de ta chair, et m’imaginer être un dieu païen et sculpteur faisant naître l’incarnation de l’amour et de la volupté.
J’aimais m’abreuver à la source de ton plaisir.
J’aimais être le prisonnier du fuseau de tes longues jambes.
J’aimais ton abandon sauvage lors de nos étreintes.
J’aimais ces moments de félicité particulière que nous prolongions après le paroxysme.
L’ai-je rêvé ou l’ai-je vécu ?
Si c’est un rêve, j’aimerais le vivre,
Si je l’ai vécu, j’en rêve encore.
J’aimais ces trop courts instants que nous volions au temps et où nous savourions le simple plaisir d’être ensemble,
J’aimais ta présence à mes côtés, qui transfigurait la banalité de la vie.
J’aimais le timbre et la mélodie de ta voix.
J’aimais ce frisson délicieux qui me parcourait quand tu m’appelais « amour ».
J’aimais te faire sourire et voir se retrousser de plaisir l’ourlet délicat de tes lèvres.
J’aimais me plonger dans le lac clair de tes yeux d’azur.
J’aimais leur reflet mordoré dans la lumière vacillante.
J’aimais quand tu inclinais la tête et quand ton regard se perdait dans tes rêveries.
J’aimais ton subtil mélange d’ingénuité et de sensualité brûlante.
J’aimais quand tu me serrais à m’étouffer et que tu pressais ton ventre contre le mien.
J’aimais voir l’or de tes cheveux rayonner autour de ton visage.
J’aimais la douceur de leur caresse sur ma peau.
J’aimais flatter de ma bouche les fruits charnus et gonflés de désir que m’offrait ta menue poitrine.
J’aimais redessiner de mes caresses les courbes de ton corps.
J’aimais pétrir tendrement les douceurs de ta chair, et m’imaginer être un dieu païen et sculpteur faisant naître l’incarnation de l’amour et de la volupté.
J’aimais m’abreuver à la source de ton plaisir.
J’aimais être le prisonnier du fuseau de tes longues jambes.
J’aimais ton abandon sauvage lors de nos étreintes.
J’aimais ces moments de félicité particulière que nous prolongions après le paroxysme.
L’ai-je rêvé ou l’ai-je vécu ?
Si c’est un rêve, j’aimerais le vivre,
Si je l’ai vécu, j’en rêve encore.
