un embouteillage une force verticale
**** tu t'engouffres qui te suit tu es ?
un vent/ à savoir meurtrir/ des fois// un millénium de gentillesse/ retiens/ les spores/ l'organe de la pourriture/ cèpe à toi/ si l'on coeur à luner le soir en son infini déroulement/
la même découpe glace le cuir des armes
glace découpe arme mon cuir un uppercut
je tends je tends j'ai l'impression de toucher terre
par intersection comme une averse
ainsi la pluie pourrait se sécher par un engoulevent bien trop picorant car si tu vois tu es, ou, alors, viens un sourire se poser à sa place, fuite....
(fuite...) aux relevés aux relents aux relais
si l'on se raye d'un trait cul sec qui nous boit jusqu' ???
la même découpe glace le cuir des armes
glace découpe arme ton cuir mon coussin d'air
son origine la notre une histoire d'outre fers
Durant le fer.1. Une dague savoure l'angoisse de tout en chacun.2. Est-il moi : celui qui frôle la terre sans armure? 3. Je te sais par la loi d'un écran multiplié au trinaire.4. Que celui qui aime les pierres soit celui qui en fasse une averse de douceur mielleuse.5. Tu sauras la tombe de ta vie, hélas, et heureusement, ainsi, le golem en mangera des pierres
désormais te voilà cadran solitaire
luttes luttes contre une gravité qui t'use
sans doute tu fonces sans fonder ton fatum
t'écoutes
Un chant ? Une éternité qui se décline, alors quoi ? Peut se faire or une prière sans coordinateur, un bus ferait ainsi bien sa place, donc, sans marionnette, ou et la place qui serait ainsi notre sans grande-mère ?
jamais la poupée russe laisse place à un monstre c'est dans un rêve une rare intensité parfois jaillit d'un vide qui nous relâche une pression atteinte avant que je ne sente ne crache en sa figure le draps qu'il m'a jeté lorsqu'il voulait te réduire te réduire t'écraser t'évaporer t'épancher sans dévoiler sa prochaine prise sans jamais la poupée si petite qu'on n'y cache rien qu'on y trouve cendre qu'une mouche sans ailes sans vol sans pattes - des yeux en cage