Un cœur meurtri, des tonnes d’idées noires
Les nuits blanches qui s’enchaînaient étaient signe de désespoir
Un café, une cigarette, assis dans l’obscurité rien ne laissait entrevoir
Les larmes qui s’échappaient soudain avaient une allure de timidité
Elles étaient le reflet de ces blessures accumulées depuis une éternité
Elles n’étaient ni douloureuses, ni triste, ni déméritées
Elles avaient un goût amer, un goût salé,
Ont portaient sur elles un regard de déjà vu, de mal-aimé
Pourtant toute cette transparence, cette souffrance,
Caché un goût de délivrance...
Las de pleurer des heures durant
La fatigue gagnée souvent
La nuit alors s’achevant
Laissée place à un soleil levant
[b][font=Century Gothic]
Les Larmes
Started by Darkness, Dec 14 2006 09:48 PM
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