Hier, tu as progressé,
Dans un corps malade et fatigué,
Comme presque tous les jours,
Où tu ne laisses à l’amour
A la vie, aucune place.
Ecoute-moi, je suis lasse !
L’entends-tu ? Me laisseras-tu ?
Hier, si mon corps ne s’est pas débattu,
Aujourd’hui, il te fait face !
Mon esprit, mon âme te refuse,
Mais bien sûr, tu abuses,
D’un corps sans défense,
Auquel tu fais offenses !
Mais, il n’a pas dit son dernier mot,
Et même, s’il le faut,
Il y aura duel, jusqu’à l’éternel,
Pour qu’il te tue, avant que tu ne le tues !
Et si à tes fins, tu arrives,
L’âme et l’esprit, eux resteront sur la rive !
Dans un corps malade et fatigué,
Comme presque tous les jours,
Où tu ne laisses à l’amour
A la vie, aucune place.
Ecoute-moi, je suis lasse !
L’entends-tu ? Me laisseras-tu ?
Hier, si mon corps ne s’est pas débattu,
Aujourd’hui, il te fait face !
Mon esprit, mon âme te refuse,
Mais bien sûr, tu abuses,
D’un corps sans défense,
Auquel tu fais offenses !
Mais, il n’a pas dit son dernier mot,
Et même, s’il le faut,
Il y aura duel, jusqu’à l’éternel,
Pour qu’il te tue, avant que tu ne le tues !
Et si à tes fins, tu arrives,
L’âme et l’esprit, eux resteront sur la rive !