Final-ment
J'ai entendu les rires en ouvrant ce frigo plein
Qui ne se vidait de son abondance
J'ai entendu les cris de mon âme frigorifiée
Par la chaleur de mon coeur
Rendant mon bien à mon être, mon mal à son juste
A la lumière du frigo, par sa main nourricière
A quoi bon conserver pour ne pas s'alimenter ?
La mort aussi m'alimentera, à température ambiante
Ma terre est mon frigo sans queue ni porte !
Il paraît qu'il fait froid quand s'éteint la lumière
Il paraît qu'il fait plus chaud qu'en abondant, dans ce sens
La vérité se cache pour mieux s'assombrir
Le mensonge se taire, sang commentaires
L'amour se haine, aller savoir
La sagesse s'âme-ère-tue-me
Mon sang coule de mes pensées
Comme un cathéter ouvert
Une plaie sans rémission
Par pitié, fermez la porte !
Final-ment
Started by Zeek, Aug 22 2006 10:38 AM
2 replies to this topic
#1
Posted 22 August 2006 - 10:38 AM
#2
Posted 24 August 2006 - 05:45 PM
Non, non, je l'ouvre la porte et je vois un beau texte avec des jeux de mots qui me plaisent toujours autant même si je viens peu te commenter, Zeek. Pas souvent là, du reste... Allez, un petit tour en haut
Amitiés,
Béa
Amitiés,
Béa
#3
Posted 28 August 2006 - 08:19 AM
Citation (Marygrange @ Aug 24 2006, 06:45 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Non, non, je l'ouvre la porte et je vois un beau texte avec des jeux de mots qui me plaisent toujours autant même si je viens peu te commenter, Zeek. Pas souvent là, du reste... Allez, un petit tour en haut
Amitiés,
Béa
Amitiés,
Béa
Merci Béa, il est vrai que les mots se font durs, comme les temps, ils s'échappent sur la pointe des pieds. Leurs empruntes même s'effacent sous la houle du vague à l'âme . . .
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