Moi, je défends Remo, car un mec qui plebiscite le couscous sur tlp ne peut être qu'un gourmet.
Au fait, dis-moi mon Remo, j'ai comme l'impression qu'on ne va pas manquer de saucisses?
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#354300 Little U.s. Daddy
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on 29 October 2006 - 03:09 PM
in
Le petit salon...
#354065 J'hésite
Posted by
on 28 October 2006 - 12:41 AM
in
Le petit salon...
Tu écris avec le coeur l'ami, or ici, c'est insupporté...Bon courage.
#353959 Il Y A Une Trace
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on 27 October 2006 - 12:53 PM
in
Le petit salon...
Et après...du bleu, rien que du bleu. Du moins paraît-il.
Petit Klein d'oeil à l'artiste mort-né.
Petit Klein d'oeil à l'artiste mort-né.
#353958 BientÖt Le Chaos
Posted by
on 27 October 2006 - 12:49 PM
in
Salon de publication principal
Ca parle de taille de sexe ici?...Mais quel âge avez-vous?...Soignez vos femmes de vos mains pour commencer, le reste viendra peut-être.
Ne le répètez pas, mais un doigt suffit...
Ne le répètez pas, mais un doigt suffit...
#353598 Impro Du Soir (encore)
Posted by
on 26 October 2006 - 09:18 AM
in
Salon de publication principal
Citation (Tristan Dulacq @ Oct 26 2006, 12:22 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Heu...Est-ce un assemblage de mots aléatoires?
Oui, aléatoire, c'est exactement ça. Au diapason du chant des mots.
#353553 Impro Du Soir (ter)
Posted by
on 25 October 2006 - 09:19 PM
in
Salon de publication principal
Radio
Graphein
Guidé en graphies
Suspectes et puériles
Enfanté sur-estime
gravées mes fragrance
A l'orée de tes lèvres
Ah
Oh
Hi!
Je me roule succint
Accroupi
Accroupie
Mélasse enlassée
Je te donne mes maux
Couché sur tes seins
Quelques riens sur ton dos
Chaud et frêle sensuel
J'inspire
Les parfums associés
De tes os assoupis
J'expire
Je suis né
Ce matin d'un bonsoir
Hi!
Ah...
Je m'en vais à l'instant
Ecartées et repues
De nos mots mécaniques.
Léger comme une ombre
Lumineuse extensible
Qui te meus bras en haut
Attachée à ton homme
Graphein
Guidé en graphies
Suspectes et puériles
Enfanté sur-estime
gravées mes fragrance
A l'orée de tes lèvres
Ah
Oh
Hi!
Je me roule succint
Accroupi
Accroupie
Mélasse enlassée
Je te donne mes maux
Couché sur tes seins
Quelques riens sur ton dos
Chaud et frêle sensuel
J'inspire
Les parfums associés
De tes os assoupis
J'expire
Je suis né
Ce matin d'un bonsoir
Hi!
Ah...
Je m'en vais à l'instant
Ecartées et repues
De nos mots mécaniques.
Léger comme une ombre
Lumineuse extensible
Qui te meus bras en haut
Attachée à ton homme
#353551 Continuo.54
Posted by
on 25 October 2006 - 09:05 PM
in
Le petit salon...
Altération...
[/quote]
Et altérité...tu l'aimes encore. Continuo.2
[/quote]
Et altérité...tu l'aimes encore. Continuo.2
#353550 La Belle
Posted by
on 25 October 2006 - 09:02 PM
in
Salon de publication principal
C'est si simple...
#353549 Impro Du Soir (encore)
Posted by
on 25 October 2006 - 08:59 PM
in
Salon de publication principal
Ecrit sous le souffle, sans retouche, à l'issue d'un bon verre...5 minutes en suspension.
Merci.
Merci.
#353546 Vie Imaginaire Vue à La Seconde
Posted by
on 25 October 2006 - 08:50 PM
in
Le petit salon...
Je ne dis rien, j'écris...que ces mots résonnent du poids des instants, me rappellent ces autres en impro de ces soirs.
J'aime car j'ai aimé. Directement.
J'aime car j'ai aimé. Directement.
#353545 Impro Du Soir (encore)
Posted by
on 25 October 2006 - 08:46 PM
in
Salon de publication principal
Je ne suis qu'un adage
Imploré à tes pieds
Elancé en retrait
De tes rimes assassines
Volupteux arrogant
Boursoufflé sans futur
Tu souris innocent
Au chevet des mots ras
A genoux sous la grève
La glaise à plein temps
Je me rends inutile
Etendu rond de sang
Aplati un instant
Vautré cent pour cent
Des fuites tractées
De mes morts élancées
ô les disques récrits
Et plus tard incendiés
Je veux dire ici
Qu'il n'y a pas de faisceau
à deux mains les jumelles
Qui ne se danse pas.
Saisis aujourd'hui
Pour mieux être demain
Le passé reconduit
Econduit se mérite
Barre-toi de ces monts
Par vaux enfuis-toi
Fier et sourd à la fois
De l'horizon qui trace
Souffle et croque mon homme
Bois et craque mollusque
que la vie soit ton antre
Regarde
Tu existe déjà...
Assomé sur le lit
de ce lu qui te frappe
Vibre
Bouffe
Je ne suis que le mot
De tes brumes assoupies
Suis
Es
Toi
Humain repenti
Lézard anonyme
Sois
Je
Tu
Existe
Lis
Entends
Nous
Saute mort-né!
Car tu es innodore.
Imploré à tes pieds
Elancé en retrait
De tes rimes assassines
Volupteux arrogant
Boursoufflé sans futur
Tu souris innocent
Au chevet des mots ras
A genoux sous la grève
La glaise à plein temps
Je me rends inutile
Etendu rond de sang
Aplati un instant
Vautré cent pour cent
Des fuites tractées
De mes morts élancées
ô les disques récrits
Et plus tard incendiés
Je veux dire ici
Qu'il n'y a pas de faisceau
à deux mains les jumelles
Qui ne se danse pas.
Saisis aujourd'hui
Pour mieux être demain
Le passé reconduit
Econduit se mérite
Barre-toi de ces monts
Par vaux enfuis-toi
Fier et sourd à la fois
De l'horizon qui trace
Souffle et croque mon homme
Bois et craque mollusque
que la vie soit ton antre
Regarde
Tu existe déjà...
Assomé sur le lit
de ce lu qui te frappe
Vibre
Bouffe
Je ne suis que le mot
De tes brumes assoupies
Suis
Es
Toi
Humain repenti
Lézard anonyme
Sois
Je
Tu
Existe
Lis
Entends
Nous
Saute mort-né!
Car tu es innodore.
#353541 Impro Du Soir
Posted by
on 25 October 2006 - 08:16 PM
in
Le petit salon...
Sympa, merci.
#352787 Ode à Omer...
Posted by
on 20 October 2006 - 06:58 PM
in
Salon de publication principal
Te fâche pas Dédalus, je te signale que c'est toi qui as commencé à parler d'intelligence...Réfléchis la prochaine fois. Si tu peux, bien entendu.
Ton désert n'est pas prêt de m'assécher, il m'abreuve. En apportant de l'eau à mon moulin.
T'as vu? Plus de dix mots! Je progresse sous ton souffle!
En tout cas, n'ai jamais eu autant de succès...comme quoi, écrire des conneries, ça rapporte.
Mes respects Homère.
Ton désert n'est pas prêt de m'assécher, il m'abreuve. En apportant de l'eau à mon moulin.
T'as vu? Plus de dix mots! Je progresse sous ton souffle!
En tout cas, n'ai jamais eu autant de succès...comme quoi, écrire des conneries, ça rapporte.
Mes respects Homère.
#352782 Ode à Omer...
Posted by
on 20 October 2006 - 06:45 PM
in
Salon de publication principal
[quote name='Remo' date='Oct 20 2006, 07:38 PM' post='352779']
sauf si pampi est Homère ...
Toi Remo, tu vois plus loin...mais j'ai abandonné le "h" pour Omer, grand amateur de saucisses lui aussi.
Il manque deux ou trois "s" par endroits...encore un auto-didacte?
Il manque deux ou trois "s" par endroits...encore un auto-didacte?
Je parlais du dernier post de Dédalus...
sauf si pampi est Homère ...
Toi Remo, tu vois plus loin...mais j'ai abandonné le "h" pour Omer, grand amateur de saucisses lui aussi.
Il manque deux ou trois "s" par endroits...encore un auto-didacte?
Il manque deux ou trois "s" par endroits...encore un auto-didacte?
Je parlais du dernier post de Dédalus...
#352776 Ode à Omer...
Posted by
on 20 October 2006 - 06:33 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Remo @ Oct 20 2006, 07:30 PM) <{POST_SNAPBACK}>
et pourtant je n'en ai aucune envie.
C'est exactement ce que je ne ferai pas...rassure-toi.
Pour le couscous dis-moi, je pense qu'on aura pas de mal à trouver les saucisses...
#352768 Ode à Omer...
Posted by
on 20 October 2006 - 06:29 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Dedalus @ Oct 20 2006, 07:01 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ce n'est certainement pas avec ce ton narquois que tu pourras apprendre quoi que ce soit. Pourtant, tu en as bien besoin. Le nivellement par le bas, voilà ce que traduit l'égalitarisme béat qui méprise ceux dont la tête dépasse de la foule. La conjuration des imbéciles empêchera bien ceux qu'elle jalouse de penser plus haut qu'elle. Elle l'espère en tout cas. Le totalitarisme des fainéants et des sots. Encore une fois : ici, je ne vois que le tombeau des Lumières.
Effectivement, tu fais montre -tout comme moi- d'une belle ouverture d'esprit...De là à faire référence au totalitarisme, en effet, il n'y a qu'un pas. Que je ne franchirai pas. Mais apprends-moi à aimer, ce que toi tu aimes. Montre le chemin de la connaissance indiscutable. La tienne. Quelle jolie leçon d'humanité...Régale-moi Esprit-Saint, montre je t'en prie.
Citation (Remo @ Oct 20 2006, 07:24 PM) <{POST_SNAPBACK}>
un couscous peut-être ?
Remo, toi tu sais me détendre.
#352762 Ode à Omer...
Posted by
on 20 October 2006 - 06:21 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Dedalus @ Oct 20 2006, 06:37 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ce n'est pas parce qu'un intellect constipé (ou atrophié) ne comprend rien qu'il n'y a rien à comprendre. L'accusation de non sens faite à une langue innovante n'est que la frustration d'un esprit débile vexé de constater son inintelligence par rapport à ce qui le surplombe. Allons, un effort. Le sens ne se limite pas à l'étalage vulgaire de pathos dans une langue simpliste limitée à quelques dizaines de mots. Certes, l'écriture se mérite. La lecture aussi : cela demande du travail pour accéder à un sens qui dépasse le borborygme animal du porc qui attend que son auge se remplisse. Mais peut être que tout cela ne dit rien, n'a pas de sens... A oui, c'est qu'il faut apprendre à lire...
Je crois que tu fais un amalgame misérable entre inintelligence et insensiblité...quelqu'un de formidablement intelligent, n'est pas forcèment sensible aux vers soyeux dont tu fais l'apologie éloquente....Je connais des héros, des QI excessifs, qui se marrent des écrits-vains. Et chez eux, je t'assure, les chevaux sous le capot ne manquent pas...Il n'y a donc aucune relation strictement proportionnelle entre les deux (je veux dire intelligence et sensibilité). La poésie est une forme d'expression, comme une autre, ni plus ni moins. Elle n'est pas le privilège d'êtres exquis et délicieusement supérieurs. Loin s'en faut.
Oui vraiment, édifier l'amalgame, c'est faire la démonstration -qui me régale- de l'égo démesuré de certains. Et peut-être de leur manque de discernement. De là à faire le lien entre manque de discernement et inintelligence...
Mais régalez-moi, je vous en prie!
#352749 Ode à Omer...
Posted by
on 20 October 2006 - 05:52 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Dedalus @ Oct 20 2006, 06:37 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ce n'est pas parce qu'un intellect constipé (ou atrophié) ne comprend rien qu'il n'y a rien à comprendre. L'accusation de non sens faite à une langue innovante n'est que la frustration d'un esprit débile vexé de constater son inintelligence par rapport à ce qui le surplombe. Allons, un effort. Le sens ne se limite pas à l'étalage vulgaire de pathos dans une langue simpliste limitée à quelques dizaines de mots. Certes, l'écriture se mérite. La lecture aussi : cela demande du travail pour accéder à un sens qui dépasse le borborygme animal du porc qui attend que son auge se remplisse. Mais peut être que tout cela ne dit rien, n'a pas de sens... A oui, c'est qu'il faut apprendre à lire...
Oui grand cerveau, tu as bien fait, amen. Mais régalez-moi encore...
#352741 Un Courant D'eau...
Posted by
on 20 October 2006 - 05:32 PM
in
Salon de publication principal
Jolie façon de conter ces subtils moments de plaisir...Quoi de plus beau que l'essence...féminine?
Magnifique mon cher comte.
Magnifique mon cher comte.
#352735 Fragments Poétiques
Posted by
on 20 October 2006 - 05:28 PM
in
Le petit salon...
Dissous de la mort
Et à jamais être purifié ![/size][/font]
[/quote]
Dissout de la mort? Mais c'est elle qui va te dissoudre grand oracle. Pauvre con.
Et à jamais être purifié ![/size][/font]
[/quote]
Dissout de la mort? Mais c'est elle qui va te dissoudre grand oracle. Pauvre con.
#352728 Ode à Omer...
Posted by
on 20 October 2006 - 05:18 PM
in
Salon de publication principal
Quant à l'illusion du parcours poétique ; la plaque de la niaiserie n'est pas si loin !
[/quote]
Je suis tout à fait d'accord avec toi ds, déesse scientifique du vrai dire...merci de ta lumière.
Je me régale déjà.
[/quote]
Je suis tout à fait d'accord avec toi ds, déesse scientifique du vrai dire...merci de ta lumière.
Je me régale déjà.
#352724 Ode à Omer...
Posted by
on 20 October 2006 - 05:05 PM
in
Salon de publication principal
J'ai bien vu qu'un poète
Ecrit n'importe quoi:
la lune rousse amère vélo tremble vide structurel monochrome il paraît ô été chausson électrique
misérable moquette à poil sent le souffre...
Quel plaisir en effet
Pour toi mon ami
Lucide et friand
De beaux vers élégants
De lire à foison
Toutes ces merdes sans sens
Il s'agit pour autant
De pourris insensés
De pseudos sans famille
Cooptés par des vrais
Un peu niais ça c'est fait
Sans talent constaté
Relisez donc messieurs
Vous à qui les pouvoirs
Ont échu par hasard
Les rimes les sonnets
Des plus grands des poètes
Vous serez bien surpris
De sentir sous vos souffles
Odorants et puants
Combien l'art de l'écrire
N'est pas simple à le dire
L'écriture se mérite
Se caresse et persiste
Pas ou peu accessible
Aux plus grands des hurlants
Pieux idiots que vous êtes
Destructeurs de la langue
Et perdus à jamais
Séduits oui hélas
Par un siècle immédiat
Des minables raisonnants
Dans le vide d'un casque
Sifflotant très gaiement
Se gaussant prestement
Du hold-up contracté
Ils sont là les poètes
Des années annoncées
Et c'est bien pour la norme
Qui n'a plus rien à dire
Car il n'y a plus de frontière
Aux mystères du monde
Ils sont là les idiots
Tous ces charmeurs de mots
A filer à l'envi
Des syllabes sans foi
Que je ne peux pas voir
Je t'emmerde Homère
Et c'est très bien comme ça.
Ecrit n'importe quoi:
la lune rousse amère vélo tremble vide structurel monochrome il paraît ô été chausson électrique
misérable moquette à poil sent le souffre...
Quel plaisir en effet
Pour toi mon ami
Lucide et friand
De beaux vers élégants
De lire à foison
Toutes ces merdes sans sens
Il s'agit pour autant
De pourris insensés
De pseudos sans famille
Cooptés par des vrais
Un peu niais ça c'est fait
Sans talent constaté
Relisez donc messieurs
Vous à qui les pouvoirs
Ont échu par hasard
Les rimes les sonnets
Des plus grands des poètes
Vous serez bien surpris
De sentir sous vos souffles
Odorants et puants
Combien l'art de l'écrire
N'est pas simple à le dire
L'écriture se mérite
Se caresse et persiste
Pas ou peu accessible
Aux plus grands des hurlants
Pieux idiots que vous êtes
Destructeurs de la langue
Et perdus à jamais
Séduits oui hélas
Par un siècle immédiat
Des minables raisonnants
Dans le vide d'un casque
Sifflotant très gaiement
Se gaussant prestement
Du hold-up contracté
Ils sont là les poètes
Des années annoncées
Et c'est bien pour la norme
Qui n'a plus rien à dire
Car il n'y a plus de frontière
Aux mystères du monde
Ils sont là les idiots
Tous ces charmeurs de mots
A filer à l'envi
Des syllabes sans foi
Que je ne peux pas voir
Je t'emmerde Homère
Et c'est très bien comme ça.
#351273 Les Pathos De Mon Errance émotive
Posted by
on 15 October 2006 - 07:47 PM
in
Nouvelles
Mais je te félicite pour ton titre, car effectivement, c'est pathologique.
#351267 Les Pathos De Mon Errance émotive
Posted by
on 15 October 2006 - 07:36 PM
in
Nouvelles
Tu as une capacité à cumuler les non-sens qui me dépasse quelque part.
C'est ridicule.
C'est ridicule.
#351227 6 Août
Posted by
on 15 October 2006 - 02:27 PM
in
Le petit salon...
Citation (homere @ Oct 14 2006, 03:44 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Maudit chrétien, tâche que tu sois ou citoyen, je te conseille au plus vite de retourner à la maternelle, car tu as encore une bonne centaine d'années à y passer, avant d'arriver à écrire quelque chose de moyen, alors qu'en est –il pour un écrit sensé et vraiment concret!
Pauvre imbécile, tu as composé le faux numéro en osant s'attaquer au plus grand poète qui ait jamais existé!
Que le diable nique ton pape dans une cave pleine de bites en plastique, et que ta maman soit à jamais la vierge de son tombeau!!
Tu crois pas si bien dire à propos de la maternelle...et arrête d'embêter ma maman, na!
Quel piètre débatteur tu fais...Arrête, de me chercher, tu vois bien que je te ridiculise chaque fois un peu plus. Arrête, vraiment. C'est tellement facile de te botter le cul à coups de mots...
Bisous ma biche.
