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Erik de Lamaille

Member Since 10 Oct 2006
Offline Last Active Oct 26 2006 05:20 PM
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Posts I've Made

In Topic: Manifestement

11 October 2006 - 01:09 AM

Citation (.ds. @ Oct 11 2006, 01:41 AM) <{POST_SNAPBACK}>



Je ne parle le lien qu'un zeste. Cette affiche de l'armée du crime a fait rever mon enfance, vrai. C'est dans l'esprit ds.

In Topic: Les Briques Molles

10 October 2006 - 10:27 PM

Nan, mon rêve. Ma sonde, mon rire. Mon perroquet africain à taillé au silex la dernière strophe sur du vin. Merci.

In Topic: Nuit

10 October 2006 - 08:25 PM

Le surréalime ?

(Peut-être pas plus d'une minute a perdre avec celui-là)

In Topic: Le Balbe

10 October 2006 - 07:42 PM

C'est d'une beauté primitive. Le balbe, est-ce un nouveau style poétique qui dure depuis des années ? Et ces imbéciles indignés ne s'indignent-il pas devant l'odeur de leur propre merde ?

Citation
bala, bala, bala
rien quoi

que du
blabla


Voilà de la beauté pulmonaire ! Ils semble qu'à creuser sous terre jusqu'à ce que le rien remplace tout, ou trouve ce qu'ont s'acharne à découvrir dans le ciel, le tout touche à tout. Comprise je pense la cassure du vers. La douceur du style, tout de même, assonancé, aliteré, néologisme comme s'il avait toujours été là. La dernière strophe ne se lave pas dans mon sang. Qu'elle est-elle ?

In Topic: Nuit

10 October 2006 - 07:20 PM

Merci cela esquisse cette aile tendue que je sollicitais et m'accapare volontiers. Le sabotage des lieux communs de la langue, comme celui du poumon, est en effet mon espoir. Au reste, m'y perdre m'importe peu, du moment que le lecteur s'y trouve. La question est je pense là, vous y êtes vous trouvé, serioscal ? Si oui c'est une réussite (et j'en doute moi même alors comment convaincre mon semblable), alors les imbéciles diront que ceci est "beau" et qu'il n'y a pas de plus beau plus loin, plus près ; et si non (plus plausible en poétique) c'est un échec, ces espèces d'arbre qui poussent voluptueusement, alors m'aideriez-vous, techniquement comme pulmonairement, avec un engrais qui m'échappe, que je cherche, et que peut-être vous possédez, à faire pousser les branches de cet arbre qui, je le sais, n'atteindra pas la beauté que je fais mienne sans la connaître, mais la pasticheras peut-être ? Je l'espère la moins traduite possible. Ces un rêve d’enfant, un vrai…

La métaphore à complément de nom est justement mon soucis actuelle, vraiment. J'essai d'en user le plus rarement possible, par à coup, et avec le plus d'intensité. Ce "mécanisme" poétique est si usé, qu'il mérite d'être jeté, j'en doute bien, mais ne sachant pas parler le langue de cette beauté "pulmonaire", j'en réédite ces minces répliques. Je sais que ce procédé à aujourd’hui envahi la totalité des poèmes, donc n’est-il plus capable de chauffé les tempes ?, mais… Quand à l'adjectif, je me demande encore comment je peux en user encore...

Oui. La direction est essentiel. Et comment montrer ce change, évolue. Ce que l'ont montre stagne, je pense. Ce poème en prose boucle en réalité un triptyque. Il débute là où breton, dans son poème "âge", s'arrête. Ce poème, de breton, débutait lui même là où "aube", du rimbaud notoire, finissait.

Désolé, ceci est confus, pour moi donc, pour vous. Mais je cherche une langue, banalement.

Pourrais-je soumettre à votre goût un autre état de ce texte, si vous m'éclaircissez un peu plus ? et puis, au plaisir de vous apprendre peut-être un autre mot ?