Ô ! Toi qui fus mon bien aimé,
Tu m’as donc quitté, tu es parti
Que ce soit manigancé ou, imprévu
Adieu ! je te laisse le regret et la nostalgie
Certes ! tu m’as laissé seule, triste et affligée
Mais qu'importe ? L'espoir de te voir regretter,
Me vengera, malgré l’amertume de la rupture,
Désormais ! Tu souffriras de la plaie et l’écorchure
Plusieurs fois certainement, à l’heure du remord,
Tu te souviendras de moi et tu pleureras ton tord
Tu payeras le prix de tes erreurs et chimères
Hélas ! Je serais ailleurs,
il ne sera plus le temps des prières
Moi qui t’as sans calculs, et délibérément aimé,
Avec la force et la fougue de la torride passion
Et qui tu as sans scrupule mal traité et déchiré
A l’heure venue !
Te conduira au pénitencier, à la prison
Parce-que ton indolence, arrange ton Ego
Vas-t-on, homme mesquin, là où ca t’enchante ;
Amuses-toi, et joues les Casanova et les donjuans,
Tu m’as trop déçu, pour te revenir encore aimante
Ne crois-pas qu'en quittant mon décor
Je garde contre toi la colère et la haine,
Tu m’as juste affaiblit pour devenir plus fort ;
Tu me jalousais et le prix en valait la peine
Au-revoir ! Tu vas faire un redoutable sentier
Et t’exalter d'une félicité brève et éphémère ;
Sur le chemin, la nostalgie va t’importuner
Et longtemps encore tu suivras mes repères.
Prochainement tu payeras probablement
Le prix de ne pas honorer ses serments
Le tourment d'un cœur qui aime Eperdument
Et la souffrance qu’on vie en le perdant
Tu m’as donc quitté, tu es parti
Que ce soit manigancé ou, imprévu
Adieu ! je te laisse le regret et la nostalgie
Certes ! tu m’as laissé seule, triste et affligée
Mais qu'importe ? L'espoir de te voir regretter,
Me vengera, malgré l’amertume de la rupture,
Désormais ! Tu souffriras de la plaie et l’écorchure
Plusieurs fois certainement, à l’heure du remord,
Tu te souviendras de moi et tu pleureras ton tord
Tu payeras le prix de tes erreurs et chimères
Hélas ! Je serais ailleurs,
il ne sera plus le temps des prières
Moi qui t’as sans calculs, et délibérément aimé,
Avec la force et la fougue de la torride passion
Et qui tu as sans scrupule mal traité et déchiré
A l’heure venue !
Te conduira au pénitencier, à la prison
Parce-que ton indolence, arrange ton Ego
Vas-t-on, homme mesquin, là où ca t’enchante ;
Amuses-toi, et joues les Casanova et les donjuans,
Tu m’as trop déçu, pour te revenir encore aimante
Ne crois-pas qu'en quittant mon décor
Je garde contre toi la colère et la haine,
Tu m’as juste affaiblit pour devenir plus fort ;
Tu me jalousais et le prix en valait la peine
Au-revoir ! Tu vas faire un redoutable sentier
Et t’exalter d'une félicité brève et éphémère ;
Sur le chemin, la nostalgie va t’importuner
Et longtemps encore tu suivras mes repères.
Prochainement tu payeras probablement
Le prix de ne pas honorer ses serments
Le tourment d'un cœur qui aime Eperdument
Et la souffrance qu’on vie en le perdant