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Un Voyage Au Bout Du Doute.


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5 replies to this topic

#1 vent

vent

    .............................

  • TLPsien
  • 182 posts

Posted 03 November 2006 - 08:59 PM

L’écharpe était jaune au fond flou du miroir
Absorbant les regards qui se posaient vivants
Sur le nu de l’image pendue vive à l’humble art.

Les regards revenaient souvent à leurs creux vides,
Du miroir où l'adresse cachait un survivant
Montrant : l’art, sa manière et sa saison livide.

La couleur n’était pas jaune au fond de mes yeux ;
Les larmes qui en découlaient de ma tristesse,
Froides, elles en finissaient chaudes au creux
Du flou où l’art accoutrait ma vue et ma liesse.

L’accoutrement n’était pas celui d’un artiste ;
La couleur n’en avait pas un fond dans l’image
Qui s’heurtait à la sensibilité du miroir triste
Absorbant les vues qui cherchaient leur mage.

Et l’amabilité qui s’étalait en mon cœur, vive
Au moment du déclin, aiguë, elle se ramassait
Pour durcir sur les eaux qui câlinaient les rives
De mes yeux comme la figure qu’elle chérissait.

L’écharpe était jaune au fond flou de l’image
Absorbant les regards qui se posaient vivants
Sur le nu d’une pensée pendue vive à mon langage.

Les regards qui revenaient souvent aux creux, vides,
Du miroir où l'adresse cachait un survivant,
Ne montrait pas : ma manière et ma saison livide.

Elle montrait la richesse en dénudant son sein,
Elle cachait sa colère en absorbant les regards ;
Elle arrosait l’amour en pleurant sur sa main
Elle en vidait ses mains pour arroser mon art,

Et les vues qui revenaient souvent aux creux, vides,
Du miroir où l'adresse cachait un survivant,
Ne montrait pas : ma manière et cet amour limpide.



moi farid khenat.


et non akli, kamel, laurent, amar, med slimane mohamed le médecin, marie, kahina, said abderahmane, les pompiers, l'automne, et compagnie.

ps: j ne suis pas ici pour tuer x ou y j'en suis désolé ! je me défends tout simplement !
merci bon entendeur.
moi farid khenat.

Edited by vent, 04 November 2006 - 06:19 PM.


#2 Gaston Kwizera

Gaston Kwizera

    The Fresh Prince Al Adriano

  • TLPsien
  • 2,848 posts
  • Interests:hum

Posted 03 November 2006 - 09:04 PM

lis toi à haute voix
c'est pas possible sinon

#3 Remo

Remo

    Remo

  • TLPsien
  • 3,007 posts

Posted 04 November 2006 - 12:35 AM

yes, c'est dommage, y a deux ou trois bonnes idées, mais c'est du haché menu, désolé de dire ça mais tu baragouines là. gaston a raison, on doit pouvoir (et toi le premier) t'écouter et pas te lire.
par exemple la première strophe est plutôt pas mal, bien que le hiatus de la fin me bloque un peu, à la seconde ça dégénère un peu, la coupure de la fin du premier vers bloque la respiration en même temps qu'elle devance un vers qui ne semble avoir aucun rapport avec le précédent (ni avec les suivants), bref, ça part en vrille et recoupure sur le troisième vers ... on halète.
à partir de la troisième strophe on ne suit plus, le français est mal utilisé et , là c'est une impression personnelle, tu te perds en tergiversations qui fond que tout ça se mord la queue.

#4 vent

vent

    .............................

  • TLPsien
  • 182 posts

Posted 04 November 2006 - 06:22 PM

Citation (vent @ Nov 3 2006, 08:59 PM) <{POST_SNAPBACK}>
L’écharpe était jaune au fond flou du miroir
Absorbant les regards qui se posaient vivants
Sur le nu de l’image pendue vive à l’humble art.

Les regards revenaient souvent à leurs creux vides,
Du miroir où l'adresse cachait un survivant
Montrant : l’art, sa manière et sa saison livide.

La couleur n’était pas jaune au fond de mes yeux ;
Les larmes qui en découlaient de ma tristesse,
Froides, elles en finissaient chaudes au creux
Du flou où l’art accoutrait ma vue et ma liesse.

L’accoutrement n’était pas celui d’un artiste ;
La couleur n’en avait pas un fond dans l’image
Qui s’heurtait à la sensibilité du miroir triste
Absorbant les vues qui cherchaient leur mage.

Et l’amabilité qui s’étalait en mon cœur, vive
Au moment du déclin, aiguë, elle se ramassait
Pour durcir sur les eaux qui câlinaient les rives
De mes yeux comme la figure qu’elle chérissait.

L’écharpe était jaune au fond flou de l’image
Absorbant les regards qui se posaient vivants
Sur le nu d’une pensée pendue vive à mon langage.

Les regards qui revenaient souvent aux creux, vides,
Du miroir où l'adresse cachait un survivant,
Ne montrait pas : ma manière et ma saison livide.

Elle montrait la richesse en dénudant son sein,
Elle cachait sa colère en absorbant les regards ;
Elle arrosait l’amour en pleurant sur sa main
Elle en vidait ses mains pour arroser mon art,

Et les vues qui revenaient souvent aux creux, vides,
Du miroir où l'adresse cachait un survivant,
Ne montrait pas : ma manière et cet amour limpide.
moi farid khenat.
et non akli, kamel, laurent, amar, med slimane mohamed le médecin, marie, kahina, said abderahmane, les pompiers, l'automne, et compagnie.

ps: j ne suis pas ici pour tuer x ou y j'en suis désolé ! je me défends tout simplement !
merci bon entendeur.
moi farid khenat.


#5 thierry

thierry

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  • TLPsien
  • 736 posts
  • Location:lyon

Posted 04 November 2006 - 10:34 PM

Farid,


Il y a tout de même beaucoup d'idées dans ton poème. Vraiment.

Thierry

#6 Carla.

Carla.

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  • TLPsien
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  • Location:La terre (92)? La Lune...
  • Conseils de lectures:L'alphabet dans tous les sens, Eluard, Reverdy, Esteban, Juarroz, Pascal Fauvel...

Posted 06 November 2006 - 01:58 PM

Il y a vraiment de jolies choses, "sur le nu de l'image pendue vive à l'humble art", etc...Après il y a quelque chose qui est un peu oppressant au moment de la lecture, qui gêne un peu. Un texte dont j'aimerais suivre l'évolution. Je le relirai.




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