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[Parisian15]

La femme que j'aime vit très loin ;
Pourtant, chaque jour elle me montre le chemin.
Mon coeur ne souhaite rien d'autre qu'être avec elle ;
Ses yeux sont un hymne à la lumière, comme une fleur tournée vers le ciel.

La femme que j'aime est d'une telle tendresse,
Que les mots, de sa bouche, sont une caresse.
Pour elle seule, j'appelle de mes voeux un premier baiser ;
Qui sait combien dois-je attendre avant ce moment d'éternité.

La femme que j'aime est mon inspiration ;
Grâce à elle, je peux partager ici mon émotion.
Seulement penser à elle est si délicieux :
Je fais de doux rêves quand la nuit s'installe dans les cieux.

La femme que j'aime est celle dont je veux prendre soin, pour toujours ;
Elle est celle qui nourrit en moi cet arbre d'amour.

C'est sûr, voici un poème bien naïf.
Mais cela, voyez-vous, m'est bien égal.

Ce qui compte vraiment, pour moi :

La femme que j'aime est toute Beauté.

[Remo]

euh ... oui ... mais non en fait.

Qui sait combien dois-je attendre avant ce moment d'éternité.

une éternité peut-être ?

Je fais de doux rêves quand la nuit s'installe dans les cieux.

alors que d'autres font des cartes de France ...

La femme que j'aime est celle dont je veux prendre soin, pour toujours ;

C'est le curé qui a soufflé ?



ah ... j'oubliais :

La femme que j'aime est toute Beauté.

j'imagine bien le poète rimailleur dire : "la femme que j'aime est un boudin"