>..........QU'EST-CE QU'ELLE A MA TRONCHE ?

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DAMNED !!!!....je disjoncte!





bon, je sais, j'ai une drôle de tronche.....
. .....et en plus DITHYRAMBIQUE m'a t'on dit !!!

je suis fait de mots mis bout à bout
selon l'humeur de l'instant .....

......et tant pis si au fil du temps
on me dit que j'vaux pas un clou ............!!!

.................


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....................
...................................








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....................................
maille à refendre..
..et j'ai rêvé ce mot méconnu, un beau matin sans contrainte
...
........
étoffe des yeux de landes ribambelle

et laissez moi décrire, écrire, et pourfendre
pas un fruit de calme tonnerre
pas d'archange, ni de toges de longue aile,.....

....................pas d'ile d'amende ou d'air assoiffé de glace et de feu



VERT DE GRIS




Nuages élancés
Nuit ma peine
A l’aube effacée,
Bottines belles cirées
Enlacées sous la flaque,
Et les gouttes qui claquent
Poussière d’églantine
Et ronces de papier,
Couleur d’organdi
A l’ivresse étourdie
Glisse et ombres
De cajou,
Ni bataille,
Ou glacier…….

Où es tu?
Libre d’elle, futile et bijou
Laisse fuir le souffle plombé
A nul autre ripaille……..

Et elle en tombe mutine
Belliqueuse canaille
Ciselée en ton pourpre
De lenteur,
De colère,
De souffrance amorcée
Au matin alangui
Tu me troubles
Et larme souri

Liberté
Tu me baises nuptial
Amère en cote de maille
Sans le feu ,
Ni le bruit
Fraguence butine élaguée
Enoncée de lisière
Et trop libre d’émail
Tu murmures ébahie
A mon corps battu
Et lourde tenaille
A mes yeux vert de gris......
..........


et qu'à tous ceux qui lisent m'abandonnent
rugueuse épilogue
au breuvage verre de gris............!!!

bredouille semaille
qu'en la lune m'écaille
.............

et je baise limaille à tout rompre
au tréfond de mon sexe noir aigri

....
plus rien à branler
à mes yeux vert de gris........

.....................................^%*!?¤£............... (tiens! un bug!)...........

.................. liberté ne m'oublie !!
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Pompé dans le dico :

........Dithyrambe , petit poème lyrique des anciens Grecs en l'honneur de Dionysos. Le mot vient du grec dis, deux fois, thura, porte, et ambainô, je passe, parce que Dionysos avait en quelque sorte passé deux fois les portes de la vie, d'abord en sortant du sein de Sémélé, et ensuite de la cuisse de Zeus.
Le dithyrambe était caractérisé par une verve désordonnée, étourdissante , par des accouplements étranges de mots, des hyperboles hardies et compliquées, et le mélange le plus licencieux de rythmes différents. Il paraît avoir été primitivement improvisé pendant les Dionysiaques, dans des réunions rustiques de buveurs en délire, dont les cerveaux, suivant l'expression d'Archiloque, étaient frappés de la foudre du vin. On le chantait en choeur, au son des flûtes, et sur le mode phrygien.




......purée la crise !!!
Buchmann
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Edited by buchmann, 06 February 2006 - 04:43 PM.

et ben voilà, enfin, du Buchman
et c'est bien, j'trouve
a.

Ouais, c'est pas mal.

merci ALZ... tu bétonnes mes neurones !

13h45
là il est terminé. ALZ... tu peux relire
...salut
et ya pas de quoi en faire un fromage

ça valait le coup d'attendre
j'aime pas le fromage
a.

ben comme ça ya pas de lezard

ouais merci !
mais t'as lu au début que l'ébauche du truc...
faut relire...

Je n'avais peu lu de poème de Buchmann, il me semble. Je connaissais mieux Ptitcanard, et le père de tous Le Slovène... Mais pas mal non plus, Buchmann !!! Merci :wink:


Amitiés
Béa

Emportée par ce flot d'images et de sensations ...
Pas mal du tout ...
A +

ouais, changement complet, fallait que je percue un peu plus, et queb je sorte des trucs différents. Cool ton mot.

non Bea , pas encore lu !
......tu n'avais encore lu que bien peu de choses de Buchmann...
et merci à fond pour le commentaire....



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le tout est de se couper de tout le reste, en laissant ses neurones de côté, et de se laisser emporter comme tu le fais,
t'as pigé le truc....supermégamerci !


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J'adore
Et que personne ne me demande pourquoi
J'adore et je relis
Chuuuuuuuuttttttt !!!! Tout cela me parle
Et que personne ne me demande pourquoi et surtout pas l'auteur

c'est vrai que ce texte entraine comme un flot...comme un texte à suspens

....ça me fout les tripes en feu d'artifice !
je te laisse relire encore..........


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merci pour le mot, mais le suspens ne fait que commencer..........

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donc , à savoir ( c'est pas dur j'ai pompé le dico!) :



"" Dithyrambe , petit poème lyrique des anciens Grecs en l'honneur de Dionysos.

Le mot vient du grec dis, deux fois, thura, porte, et ambainô, je passe, parce que Dionysos avait en quelque sorte passé deux fois les portes de la vie, d'abord en sortant du sein de Sémélé, et ensuite de la cuisse de Zeus. Le dithyrambe était caractérisé par une verve désordonnée, étourdissante, par des accouplements étranges de mots, des hyperboles hardies et compliquées, et le mélange le plus licencieux de rythmes différents. Il paraît avoir été primitivement improvisé pendant les Dionysiaques, dans des réunions rustiques de buveurs en délire, dont les cerveaux, suivant l'expression d'Archiloque, étaient frappés de la foudre du vin. On le chantait en choeur, au son des flûtes, et sur le mode phrygien.

Les traditions qui attribuent l'invention, ou plutôt la première forme littéraire de cette composition à Archiloque, à Lasos d'Hermione, à Arion, n'ont rien de certain. C'est au VIe et au Ve siècle av. J.-C. qu'on a écrit le plus grand nombre d'hymnes dithyrambiques sous une forme littéraire; ceux de Pindare, d'Ion, de Ménalippide, de Stésichore, de Philoxène, paraissent avoir été les plus célèbres, mais il ne nous en est rien resté. Les poètes de la Vieille Comédie étaient remplis d'allusions satiriques au caractère ampoulé, nuageux, retentissant, de ces poèmes étranges, comme nous le voyons encore dans plusieurs pièces d'Aristophane.

Le dithyrambe fut l'origine première du drame tragique : le style sonore, grandiose, de la plupart des choeurs d'Eschyle, leur composition quelque peu désordonnée, en sont une preuve irrécusable. Ce caractère des choeurs tragiques se retrouve parfois chez Sophocle; il disparait chez Euripide, si ce n'est dans les Bacchantes, dont la partie lyrique devait, naturellement, reproduire le ton du dithyrambe. A partir du IVe siècle av. J. C. le genre dithyrambique, manié par des hommes médiocres, parait être tombé dans un complet discrédit. Cette partie de la poésie grecque devait être dédaignée par l'esprit raisonnable et judicieux de la nation romaine. Aussi Horace se moque-t-il des poètes de son pays qui prétendent imiter les dithyrambes de Pindare et composer en latin des poèmes lyriques sur un rythme affranchi de toute loi.

Le dithyrambe ne convient pas plus à l'esprit moderne qu'il ne convenait à celui des anciens Romains; et ce n'est que par une véritable débauche de goût que quelques poètes italiens et français du XVIe siècle ont prétendu renouveler, en plein christianisme, ce genre poétique évidemment inséparable de l'enthousiasme bachique, terme précis chez les Grecs, et dénué de sens chez les modernes. On trouve dans Delille une assez belle pièce lyrique intitulée l'Immortalité de l'âme; il l'a appelée Dithyrambe; mais si elle peut justifier en quelque chose ce nom, ce n'est que par l'irrégularité des stances, et par un mélange assez arbitraire de vers de toutes mesures.

Le dithyrambe où Lebrun célèbre l'arrivée à Paris des monuments des arts conquis par le général Bonaparte en Italie, les dithyrambes d'André Chénier, de C. Delavigne, et., présentent les mêmes caractères. Il existe en italien un dithyrambe célèbre de Francesco Redi, Bacco in Toscana, dont le sujet est l'éloge des vins de Toscane. (P.).





....donc mot fort bien trouvé, et qui colle parfaitement à l'évènement...

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.....fallait le dire
ça me turlupinait depuis quelques semaines, depuis que je m'étais cassé !
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......en plus d'une dröle de tronche ! :mrgreen:
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J'adorerais que tu me récites tout ça par coeur !
Mais fais pas cette tronche ! Si tu veux pas, c'est pas grave !

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....malgré ma tronche, j'arrête pas de réciter Héloise, tu m'entends......??


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Parle plus fort
J'habite loin de chez toi !

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..je disais, Héloïse,
que j'arrête pas de le réciter !!

....ça me prend la tête !!! :evil:


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OK, OK
Je t'accorde une pause
Que dirais tu d'une tasse de thé chez le lièvre de Mars en compagnie d'Alice ?
Je me prépare et j'arrive
Mais pas de manières entre nous, viens comme tu es

J'adore quand la plume dérive et que rien ne s'y limite
et comme Heloise, le lire plusieurs fois est un plaisir...

Amitiés Oliv.

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mégacool Olivannecy de relire !
tu t'accroches au Dithyrambique truc à Buchmann......... !

t'as de la patience à revendre.........????


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Héloise, la compagnie d'Alice me trouble,
mais je viendrai comme je suis......
.....c'est à dire dans "tous mes états" !!

Y aura-t-il un subtile mot de passe ????


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Tu n'auras qu'à dire "Héloïse"
Et toutes les portes te seront ouvertes
Il me reste du biscuit pour Alice
Elle deviendra si minuscule que tu ne la verras pas
Mais prends garde de ne pas poser le pied sur elle, cela ferait un couinement désagréable et altérerait le plaisir de ta présence dans mon univers.

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je saurai me faire petit comme je ne l'ai jamais été, et délicat avec Alice,

si petit Héloise que tu devras me chercher, mais je ne saurai aimer ton Univers que si je parviens à m'aimer moi-même malgré ma tronche...

et un jour je déploirai mes ailes........comprends tu ...???


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