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mounette

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Rondeau De La Rondelle

11 December 2006 - 08:46 PM

Rondeau de la rondelle

Le parfum de la rose n’est pas mon nombre d’or
quand tu m’as pénétrée et que tu pousses fort
au fond de mon vagin tes nombreux centimètres
lorsque tu me roncines car je dois bien admettre
que mon âme et mes sens se soumettent à mon corps

Tu bines ta Mounette, récompense aux efforts
que tu fis pour lui plaire et j’en oublie alors
en fleurs ou en bouquet, je dois le reconnaître
le parfum de la rose

Mais quand certaines belles n’ont de plus beau trésor
que leur cul à offrir au mâle qu’elles adorent
et se font visiter par le fond de leur être
fières de leur culot de se faire ainsi mettre
à cette odeur de merde moi je préfère encore
le parfum de la rose

Sonnet Pour Mon Beau Fiancé

04 October 2006 - 04:17 PM

Puisque nous devons convoler, je mets dans la corbeille de la mariée ce sonnet en trépied avec rimes sérielles sur rien :

à mon beau Sérioscal

Ballerine
qui peut nier
que mon rein
va tenir

l'air de rien
ton vérin
me burine
au panier

bourriner
ma hernie
même Henri

roi de Smirne
bien terni
peut venir




Manon

La Grand Fête De La Pastille Mentholée

01 September 2006 - 11:42 AM

Ils sont arrivé leur vie gonflée
et rouge comme des que de mulet

ils ont leur vie tous ensemble en foncé
et si pro-fondement
que l'âne eusses éclaté
après que je le sussent et
voilà laids des gâs
un peau ssible à raie paré



Je veux qu'on me corrige, oh oui, corrigez moi. N'hésitez pas, corrigez moi sévèrement, votre Mounette le mérite.

Bises

Manon

Crottes De Bique

01 September 2006 - 12:17 AM

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Mounette à La Cure

05 July 2006 - 02:03 PM

Il y a derrière l’église
un endroit masculin
où les femmes éprises
échangent des câlins
sacerdotaux.

Moi dans le bain de boue
je me couche lascive
où j’attends où je bous
où mon cœur se lessive
mais c’est trop tôt.

Dans l’eau tu me récures
tu masses mes organes
de ta sacrée pointure :
je vois sous ta soutane
tes biscotteaux.

Puis viens la manucure
qui délasse mes doigts
et pousse ma nature
si propice à l’émoi
au jeu d’auto.

Tu glisses de ta bure
et me frottes de sel
et t’attardes aux jointures
glissant dans mon missel
un ex-voto

puis c’est le jet puissant
qui me fouette les reins
collée au mur je sens
ta vaillance d’airain
comme un étau.

Enfin je me repose
je laisse tout mon être
détendu et je n’ose
imaginer les vêpres
sonnant bientôt

car je te le confesse
tu soulages les trois
et gagnes à la grand-messe
l’humble fève des rois
de mon gâteau.

Manon