Consciences inconscientes du danger qui nous foudroie.
#1
Posted 21 September 2005 - 02:54 PM
#2
Posted 21 September 2005 - 02:59 PM
J'ai pris la foudre en plein coeur
#3
Posted 21 September 2005 - 09:30 PM
Par contre, "danger" et "foudroyer" sont deux mots qui, associés, posent un sérieux problème de temporalité. Le "danger" implique une durée, un temps précédent la concrétisation de la menace ; "foudroyer" au contraire est un verbe à valeur "ponctuelle", borné à un temps zéro. Bref, même sans l'écrire, tu as réussi à faire un poème boîteux. Cela aussi méritait d'être souligné.
#4
Posted 21 September 2005 - 09:35 PM
#5
Posted 21 September 2005 - 09:41 PM
#6
Posted 21 September 2005 - 09:46 PM
Mon cerveau est à faible débit, contrairement au tien
Il a déjà fourni un effort inhabituel concernant l'association des deux mots précités
Je tiens donc pour acquis qu'il existe une incompatibilité entre le danger et le foudroiement et je te remercie de nous l'avoir signalé
Bonne nuit
#7
Posted 21 September 2005 - 09:52 PM
#8
Posted 22 September 2005 - 05:09 AM
Quant à moi je me contente de la classe touristes, voire éco
Peut-être te vantes tu un peu de ta 1e classe ?
#9
Posted 22 September 2005 - 07:12 AM
- Mes propose ne vont pas au-delà de la grammaire. Enfin, par rapport à cette association de mots, je ne vois vraiment pas ce qui va au-delà de la grammaire. C'est vrai que la notion d'aspect n'est pas très développée en français mais elle n'en est pas moins effective.
- Me vanter d'idiotie ? Du tout ! Mais, à la limite, ce n'est pas le problème, puisque je ne fais que dissocier l'écriture de la psychologie personnelle.
- Cela dit, c'est vrai que j'aime le train. Mais on peut être idiot de première classe et voyager à prix économique (c'est mon cas).
#10
Posted 22 September 2005 - 09:28 AM
Cyprine devenue la "Terminator" de TLP
Qui peut d'un regard fusiller un poème ?
Pas toi en tout cas ma Puce
#11
Posted 22 September 2005 - 02:17 PM
On ne tue pas un poème d'un regard - ni même d'une parole puisqu'en l'occurrence c'est de cela qu'il s'agit - mais on peut en gâter sérieusement l'effet. Ce n'est pas être méchant que de le dire ! c'est être critique. Oui ! si j'entends une belle musique de chambre et qu'à peine le silence revenu, quelqu'un me sort un jeu de mots à deux centimes d'euros, j'y vois un manque de respect (pour l'oeuvre autant que pour l'auditeur).
Quant au phonème /n/, c'est sans doute une des choses les plus merveilleuses de la langue française. Il n'y en a jamais de trop pour moi.
Na !
#12
Posted 22 September 2005 - 02:23 PM
Parlons plutôt des phonèmes et des morphèmes
Ce sont de jolis noms, on dirait des noms de papillons !
#13
Posted 22 September 2005 - 02:31 PM
car c'est bien dans l'instant de la prise de "conscience" du danger (qui est elle-même un phénomène inconscient) que la peur foudroie
je pense à ces proies pétrifiées et immobiles face au danger révélé par exemple
#14
Posted 22 September 2005 - 02:36 PM
Un archange (nous passerons sur le fait qu'il est maudit) arrive ventre à terre (attention à l'atterrissage) et apporte de l'eau à mon moulin.
#15
Posted 22 September 2005 - 02:45 PM
#16
Posted 22 September 2005 - 02:45 PM
sinon le ventre à terre pourrait confirmer les ailes défoncées
#17
Posted 22 September 2005 - 03:00 PM
Qu'il nous foudroya
Sans que nous ayons eu conscience
De sa présence
Et bien non, ça ne va pas non plus. Pourquoi ? Parce que dans ce cas, il ne s'agit pas d'un danger (puisque le danger est une menace, donc une chose qui ne s'est pas produite) mais d'une catastrophe.
Donc, Victor aurait dû employer le mot catastrophe, cyclone, séisme...
Mais ça ne va pas non plus, car seules la foudre et la décharge électrique foudroient.
Alors peut être :
Consciences inconscientes de la catastrophe qui nous anéantit
Mouais....
#18
Posted 23 September 2005 - 01:04 PM
j'aime beaucoup le titre, et la tournure que ça à pris
Victor-du-coseille tu nous laisses libre d'entrevoir toute sorte de chose et ça marche
amitiés
#19
Posted 23 September 2005 - 01:20 PM
ah ben voilà quelqu'un qui sait,
cool, je te léche les pieds si tu nous dit
#20
Posted 23 September 2005 - 01:24 PM
Que celui qui... me jette la première pierre
C'est intéressant de lire toutes ces bifurcations à partir du mot "alors"
#21
Posted 24 September 2005 - 07:26 AM
Achète-toi un dictionnaire, il y a plein de mots isolés. Tu n'es pas obligé de lire les définitions qui pourraient te "prendre la tête".
Parce qu'on est sur un site de poésie et non sur un site de "vie"
Même commentaire qu'archange.
Victor-du-coseille tu nous laisses libre d'entrevoir toute sorte de chose et ça marche
Avec un seul mot, c'est sûr qu'on est bien libre ! Ouf ! Nous manquâmes de peu d'être emprisonnés dans un poème.
#22
Posted 24 September 2005 - 10:12 AM
#23
Posted 24 September 2005 - 12:01 PM
#24
Posted 24 September 2005 - 12:05 PM
#25
Posted 24 September 2005 - 12:57 PM
C'est éclipser sous l'azur bleu dérisoire
Du temps qui se pa-a-sse
Contre duquel on ne peut rien
Etre ou ne pas être
Telle est la question
De l'anachorète
Hypocondriaque
Mais tu dis [mais tu dis]
Que le bonheur est irréductible
Et je dis [et il dit]
Que ton espoir n'est pas si désespéré
A condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Destituées
Et vice et versa [et vice versa]
Il faut que tu arriveras
A laminer tes rancœurs dialectiques
Même si je suis contre
Point de vue que c'est très difficile
Mais comme moi dis toi
Qu'il est tellement plus mieux
D'éradiquer les tentacules de la déréliction
Et tout deviendra clair
Mais tu dis [mais tu dis]
Que le bonheur est irréductible
Et je dis [et il dit]
Que ton espoir n'est pas si désespéré
A condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Destituées
Et vice et versa [et vice versa]
{Instrumental violons}
{Parlé:}
D'où venons-nous
Où allons-nous
J'ignore de le savoir
Mais ce que je n'ignore pas de le savoir
C'est que le bonheur est à deux doigts de tes pieds
Et que la simplicité réside dans l'alcôve
Bleu et rose et rouge et mauve
De nos rêveries bleues et roses et rouges et mauves
Et et et et pourpre
Et et et et paraboliques
Et vice et versa
Mais tu dis [mais tu dis]
Que le bonheur est irréductible
Et je dis [et il dit]
Que ton espoir n'est pas si désespéré
A condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours [Dest...]
Et qu'il ne faut pas cautionner l'irréalité
Sous les aspérités absentes et désenchantées
De nos pensées iconoclastes et désoxydées [et v...]
De nos désirs excommuniées de la fatalité
Destituée
Et vice et versa
Et vice et versa...
{Murmuré:}
Et vice et versa
Et vice et versa [et vice versa)
............
Amicalement
Seec
Les inconnus
#26
Posted 24 September 2005 - 01:01 PM
s'est éclipsée sur la joue
fond dérisoir du temps qui se passe
et contre lequel on ne peut rien
Véronica dit
qu'elle tellement plus mieux
...
Moi aussi je connais. Comme quoi...
#27
Posted 24 September 2005 - 01:04 PM
#28
Posted 24 September 2005 - 01:10 PM
A en NOvembre KImsakit et cat
#29
Posted 24 September 2005 - 01:12 PM
#30
Posted 24 September 2005 - 08:55 PM
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