Qui dandinaient leur allure entre les lames
Il enflammait l’horizon merveilleusement,
Avant la perte du jour en son engouement,
Pour tempérer le ton rougissant dans l’âme
Des files qui gisaient pâles entre les maux.
Les images retombaient vite de leur sceau
Les couleurs finissaient vieillardes et noires
Sous les assauts opaques de la nuit austère.
Le temps recherchait aveugle ses prospères
Moments entre les méphistophéliques tsars
Qui chassaient les forces rebelles du berceau.
La lune recherchait la distance de l’hublot
Clos, pour s’arborer luisante entre les rangs
Qui repoussaient les files filantes, invisibles.
Et l’errance stellaire qui disputait l’indicible
Temps pour l’illuminer, risible face au front
Rond, elle s’heurtait, comme ses durs rivaux.
Il revenait resplendissant, tempérer les flots
Qui dandinaient leur allure entre les lames
Il rallumait l’horizon aussi merveilleusement,
Pour raccompagner le jour à son engouement,
D’un accent attrayant, mais il rendait son âme
Au même lieu, chaque soir sous le tombereau.
moi farid khenat en solitaire.
je n'ai rien avoir avec akli, kamel, slimane, said, idir, sebastien, mohamed rabah et compagnie.
Edited by vent, 28 November 2006 - 09:31 PM.