4 replies to this topic

[bohemia]

Une ombrelle s’épanche dans les jours à grandir

Enlevée dans les draperies soyeuses d’un devenir

Du temps estampillant les lys sur nos sourires

Estompant les secondes trop brèves à nous sertir

Du sein lourd d’une prairie d’infini en ses présents

De l’instant infini magique d’une poésie s’ébrouant

Dansant la multiplications des nuits qui s'inclinent

De ses solitaires aux angles à ces yeux d’étincelles


Encore


Étourdie la grande aiguille s’acharne sur les hardes

D’une Lune hérétique quand leurs montres retardent


Anciens décors


D’une écharpe sur l’instant, admire le cheval sauvage

D’équilibre désanglé dansant la prairie en florilèges

D’une fougue de cavalier médiéval sur les hérésies

Dépose le roman de la rose, d’un genou sur l’infini


Nouveau décors


Le roman de la rose

[Protoss]

ancien et nouveau decor c'est bien


Protoss

[Victor-du-Coseille]

corbo

[bohemia]

j'ai comme l'impression d'être une vieille rose parfois. j'avais complètement oublié ce texte qui date. il remonte des abysses, abymes? poétiques. je le lis comme si il appartenait à quelqu'un d'autre, un autre moment de la vie. On change parfois de destin.

Merci d'avancer...

[bohemia]

ancien et nouveau decor c'est bien
Protoss

toujours l'amour courtois, je crois que je vais lire un jour le roman de la rose ...

Merci encore d'avoir remonté ce texte que j'avais oublié.

Bonnes vacances

Bohémia