Jump to content


homere's Content

There have been 173 items by homere (Search limited from 14-May 23)


By content type

See this member's


Sort by                Order  

#351554 Les Bouchers

Posted by homere on 16 October 2006 - 03:17 PM in Salon de publication principal

Citation (serioscal @ Oct 16 2006, 01:45 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Très bon. Il est bon que l'on resserre un peu la vis sur ta tête, je vois.


rolleyes.gif



#351474 Fragment (15)

Posted by homere on 16 October 2006 - 12:53 PM in Analyse textuelle

Citation (serioscal @ Oct 16 2006, 01:38 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Eh bien si môssieur veut montrer son vocabulaire, qu'il le montre, son vocabulaire ! au lieu de nous soumettre la sale ive de ses nerfs.




Violer


Asphyxier


Torturer


Mortifier


Déniaiser


Re, re, revioler


Noyer


Enterrer


S'échapper


S'excuser


Recommencer.



#351465 Les Bouchers

Posted by homere on 16 October 2006 - 12:41 PM in Salon de publication principal

Avec leurs abjectes génocides d'orphelins
Les bouchers du gouvernent sont résolus !
Le ministre poussin leur a préconisé de cramer mon abattoir
Alors que le saint gourou cannibale proteste !
Le diable est la pour vous !

Les bouchers du Vatican sont tous azimutés
Le crâne plein de saucissons et de rôties
Le conseiller du taureau est un gynécologue!
Vous serez donc guidé!

Les bouchers de L'ONU ! Amis des homosexuels!
Féaux ou axillaires de l'anti-christ !
Le museau dans la bouillante bave atomique !!
Mais, de ses coutres queues d'automate civilisé
Jusqu'à ailleurs !loin d'ici, Vous !
Vous serez guidé !

Les bouchers sont d'infectes décharges à virus
Le sida pétrifie leurs hormones
Souffrent de tumeurs affectives
Pleurent ma pisse alcoolisée !
Les bouchers guident !

Les bouchers communistes
Confectionnent la couleur des règles des lolitas !
Violent des animaux malades !
Vous, vous serez guidé !

A cause de son abject assassinat,
La viande chez le mien est moisie!
Elle pue l'humidité de son propre cadavre!
Son sourire de charognard
Est celui d'un vilain sanglier,
Qui se serait fait taillé un dentier en bois !
Mon boucher, cet assassin de flic !
Mon boucher bouche close
Close comme celle d'un œuf clos!
Et sa gorge de minou ressemble beaucoup
À l'entrée d'un vagin républicain,
Asphyxié d'éjaculations clandestines.



#351453 Fragment (15)

Posted by homere on 16 October 2006 - 12:19 PM in Analyse textuelle

Citation (serioscal @ Oct 16 2006, 12:59 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ils sont décrépits, déconfits, foireux, universellement médiocres, poisseux, infectés, rongés, fendus, craignos, pas drôles, inefficaces au possible, inopportuns, balourds, répétitifs, anxiogènes, épidermiques, futiles, lassants, inconvenants, excessifs, sots, analphabètes, scatologiques, faramineux, puants, bêtes, mensongers, ruineux, atroces, inirvants, stupides, chiotesques, sans fondement, water-closetiens, dogmatiques, dégradants, dégradés, malveillants, mal lunés, mal tournés, fainéants, indigents, inutiles !




t'a un bon dico, c'est bien! Utilise le, t'en aura besoin avec moi!



#351434 Fragment (15)

Posted by homere on 16 October 2006 - 11:40 AM in Analyse textuelle

Citation (serioscal @ Oct 16 2006, 06:00 AM) <{POST_SNAPBACK}>
A pseudo, pseudo et demi ! Tu as vu tes smileys ?


Bah quoi, ils ont quoi mes ssssssssssssssssssm..ys rolleyes.gif



#351422 J'ai Trois Cacas

Posted by homere on 16 October 2006 - 11:05 AM in Salon de publication principal

Citation (comtedormestconti @ Oct 16 2006, 11:52 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Un poeme qui ne sent pas tres bon...

dry.gif


comtedormestconti', justement parlons en de ce poème, parce que là c'est pire que ce que j'avais écrit sur les homos! je te demande en cette occasion de cesser de m'envoyer des mp! mon opinion sur les homos ne changera pas, même si vous avez effacé le texte!



#351354 La Legende D'epistogon;

Posted by homere on 16 October 2006 - 02:21 AM in Salon de publication principal

Citation (jkounine @ Oct 15 2006, 11:34 PM) <{POST_SNAPBACK}>
La legende d'epistogon;
Une legende glorieuse et poetique.

(Epistogon; seul au fond de son trou a chateau. Il semble parler a un oiseau chauve;
Aux creux de ta main
J'ai verse de la poussiere
Aux creux de tes reins
Je me logerais;
La nuit me rentrera de dedans
Et le jour creusera de dehors ma tete
Je paierai volontiers
De mes centaines et
De mes milliers de trodollars
Pour connaitre le jour ou
Tu mourras salope
Putain d'enfer aux cornes biscornues
Sans cesse je batis
Et sans cesse tu miaules
Que n'y faire que l'eteinte de ta bouche
Que n'y faire que l'etreinte de mon sexe
Que n'y faire que mes claques et mes baffes
Je t'aime comme lorsque je ne respire plus
(Sur cette phrase Epistogon tente de mettre fin a ses jours en se coupant la respiration avec une feuille de papier. La feuille se debat. L'air jaillit abondant et pourpre pour sauver Epistogon. L'air dit;
Que diable que cet Epistogon de malheur
Pompe moi milles fois de ton gland
Je te planterais une fenetre grande
De rideaux jaunes que l'on ouvre en actionnant
Une manivelle en tapant
Des pieds avec les mains
Monte sur mon dos Epistogon
Que je t'envoie te perdre dans mes triangles
Fabulateurs qui sans cesse fariboles
De leurs pointes aigus et bizarres
(Ceci dit, Epistogon monte sur le dos de l'air qui est le vent. Le vent l'emmene aux pays des triangles, dans une contree que l'on refuse de nommer etant lointaine et inaccessible, arrive Epistogon se lamente;
J'ai quitte mon pays triste
Pour un polygone perdu
Pris dans la tourmente
Et ou les chiens pyramidaux
Ne ressemblent en aucun cas aux maux
Qui me procure mes oiseaux chauves;
Que fais-je ici grotesque
Alors que le roi des figures
Dans son carre d'apparat
Se dresse caduque et fier
Comme un leopard tachete
Mauve et gigantesque?
(Le roi des figures, un ami de l'air, lui joue une farce et lui repond;
Epistogon tu es damne
A pourrir aux milieu des figures
L'œil sec et le miroir bas
Il ne te reste plus qu'a te jeter
Du haut du rectangle sacre
Si bien sur tu veux te sauver
Si bien sur le rectangle pleurs
Des larmes bleues de pitie
Alors ami tu seras aime
(Epistogon, ignorant que le roi des figures est le fils de la plus honteuse des putes, se precipite vers le rectangle sacre afin d'etre aime des oiseaux chauves. Helas le rectangle est un monstre endormi depuis l'eternite qui est le reflet d'Epistogon. Le rectangle, lui, est reveille et en colere il dit;
Je te connais toi Epistogon;
Tu es l'homme qui pourrit nos dents
A nous autres rectangles aimables et polies
De notre surface a la surface de notre taille
Epistogon je ne peux pleurer
Pour l'homme responsable de ma rage
Et de mon mal terrible
Qui me brule solairement
Epistogon sauve moi ou je te consume
Avec mes yeux qui ont chacun un revolver
Et qui sont chacun
Aiguise comme une carpe
Sauve moi ou je te consume
(Epistogon saisissant son courage derriere sa nuque s'apprete a arracher la dent conique et puante; lorsque soudain jaillit l'ours brun qui se baigne de la salive du rectangle et qui fait chauffer son cafe avec le cote amere de la langue, l'ours brun dit;
Que fait- tu fou d'Epistogon;
Tu detruis la maison du sage
La maison du sage qui parle et qui sait tout
Des oiseaux chauves et de la maladie
Qui ronge et rouille le cœur central
De notre corps a tous
Son temps n'est pas encore venu
(Epistogon voyant une solution a ses problemes s'engouffre dans la dent pourrie pour parler au sage, il voit un vieil homme barbu assis sur une chaise renverse, a ses cotes gisent trois cles passablement morte, leurs queues etant imbibes de cuivre cuits; Epistogon, empresse, dit au vieil homme;
Foutre de bouc vieil outre
Barrique de mathusalem
Dis-moi la reponse
Au maux que provoque
Chez moi cette oiseau chauve
Au plumage excitant
Aux seins gros et vivaces qui vivent
Sous mes mains de joie
Dis-moi donc la solution pour que je connasse
Le secret de leurs cons ou je glisse mes sexes aux odorats allechants
Apres tout je suis peut-etre maigre comme un bilboquet
Mais a travers mes cotes on voit les nuages
(Le vieil homme souri, s'approche d'Epistogon, et brutalementsaisissaunedescleesrouilleespourluienfoncerdanslecoeuretenclencherlem
chanismesecretquetouthommealorsqu'iltombedesnuesd'unoiseauchauve; Epistogon, soulage tomba a genoux, et s'en alla ainsi dans son pays triste ou il vecut triste car ici il n'y a pas besoin de fin car nous avons tout dit;
(Helas;, rien n'est dit et tout reste a construire; Epistogon se rendait donc dans son pays triste et en chemin il rencontra une troupe d'ecoliers la troupe l'apostropha les ecoliers eux se taisent;
Camarade que fais-tu
A remplir des ballons jaunes de peinture verte
Le ciel ne se repeint pas
Camarade rejoins-nous et sache
Que dans cette vie faite de tentacules
Nous ne sommes pas la pour aboyer
Nous sommes la pour s'assoire et penser
Prends une chaise, camarade, et attends la mort avec nous
Regarde-toi tu es affreux comme un candelabre
Aux yeux grands ouverts
Qui regarde le fauteuil monotone et gris
Sous les douze coups de la pluie
(Epistogon leur repondit;
C'est parce que je suis gueri des oiseaux chauves
Que ma joie comme mon malheur
Se sont envoles avec eux
Je me voulais lucide
Me voila fumeux
De mauvaises humeurs de la bile
Qui me tourmentent en hurlant
Tel des furies invisibles
Je ne sais plus
Je n'ai peut-etre jamais sut
(Les ecoliers;
La vie est bruyante
Et cacophonique et chaotique
Tu perds trop de temps a pleurer camarade
Un monde de connaissance t'attend
De formules et d'algebre
Les seaux meurent d'etre trop nourris
Camarade assis-toi
Ne fais pas comme l'aristocrate
Il vit dans le mepris et les poussieres
Orgueilleux et fier
Tiens le voila
(L'aristocrate entre il est couronne d'un chapeau gigantesquement bleu fluo il est enroule dans une tapisserie; il parle;
Ha vous voila
Epistogon je vous cherchasse
Queue je n'anusse putes le plaisir de vous parler plus tot
Vous cher Epistogon connut de travers les cheminees de satin
Ecoutassez moi Epistogon
Ouvrassez vos mains
Pour que j'entrasse mes deux oreilles
Et me soutennasse ainsi de ma tete
Epistogon nous sommasse sur une route sans sens
Nous y marchasse d'un pave a un autre
Epistogon ne vous assasse pas
Vous en perdreraste tes deux jambes
Les ecoliers sont autant des pieges
Comme autant de rasoirs vivants
Allons plutot dansasse au bal
Et vivrasse
Chez mon ami l'archipetasse
(L'aristocrate saisit la main d'Epistogon et tous deux entre dans un carrosse tire par deux chameaux esclaves aveugles; ils arrivent devant une minuscule poubelle; de la musique en sort magiquement; l'aristocrate saisit le sexe d'Epistogon et les voila devant l'archipetasse dans la salle de bal; la salle est vide mais sourit; l'archipetasse aimable suce le sexe d'Epistogon et l'aristocrate essaie de monter la comtesse; Epistogon dit;
Le monde n'est pas venu
Ou je me noierai dans mon plaisir
Je suis fait de planches de fer
Et je me voulais aimer
Les oiseaux chauves
Me voila homme
Et je vois par dela les fontaines
Ou l'eau est enchaine
Au bord precieux de verre
Que chacune de mes diagonales
Me prouvent que je suis un trait droit
Mais le jour
La lache balance
Cassera
Et de mes perceptions
Je saisirais les glissements
Lache donc mon sexe vieille truie
Tu es perdu comme chaque epreuves
Que tu crois vivre
Tu es un fantome trop feint et emplis
D'une joie qui n'existe plus
Depuis que l'homme a fendu chaque pan
Des robes de femme
Qui traverse nos vies en courant
Dans le son des robes dechirees
C'est-à-dire depuis exactement l'éternite et trois minutes
Et vingt-quatres secondes regarde plutot
Mes faux lacets faits qui me donnent rendez-vous
Au cafe du coin;
Je m'en vais donc
(Et Epistogon s'en allait donc; decide comme jamais il se rendait au cafe du coin;
Au cafe du coin, des amis jouent aux osselets avec leurs os, ils ont des visages ronds et rouges et parlent en riant autour d'un arbre en bois bleu, Epistogon de se dire;

Ces amis m'ont l'air bien sympathique
Peut-etre que leur parler m'egaiera;
Moi qu'on dit fou et solitaire
Trop vieux et enfant bruyant
Je vais m'asseoir et boire a leur table
Des jus de patates a la framboise
Delicats
Je vais les divertir
(Alors Epistogon s'asseoit a la table et les bonhommes au visage rond rient de le voir faire des grimaces, tordant ses milles oreilles et agitant ses trentes nez; cependant un homme de l'assistance ne rie pas, il a la bouche fermee mais on devine dans ses yeux sa langue de fer. Plus tard dans le temps, la ronde des bonhommes se leve; toujours en riant ils rentrent dans l'arbre bleu. Le patron du cafe, un chaton, range les chaises. Epistogon prend la route et va au port. Il y voit un marin vert qui l'aborde;
Je te devine derriere ton malais beau
Tu es Epistogon;
Un homme qui n'a fait de neuf
Que la somme de cinq et quatre
Tu copies la terre comme la mer
Copie la couleur du ciel
Seulement toi tu as un fond qui est le bord
Fais toi marin avec moi Epistogon
Nous allons pleuvoir sur les oceans;
Et tu connaitras quelques abysses
Quelques sirenes quelques poissons
Qui te feront oublier ta figure d'arc-en-ciel
Et peut-etre feras-tu sortir de ton anus
Les couleurs qui te manquent;
Une odyssee voila une carence qui te chagrine
Pourtant du bout de sa lampe elle eclaire
Meme les draps de satins rendus noirs
Par la solitude et le vide
Allons Epistogon
Sous le point, sous la virgule
Sous le point virgule
Allons Epistogon
Connaitre chacune des inhalations de la vie
(Epistogon repond;
Tu me parles, mon ami
Je serais le tien
Dis que je fasse
Mais je ne parle qu'une langue
Non pas le francais mais s'y approchant
Elle tombe bas car elle est sourde
Et je ne sais si elle est capable
De connaitre avec toi les supplices et les joies
De l'aventure
Car vois-tu elle est bien superficiel
Comme la coquille vide d'une femme morte d'amour
Elle est fragile
Mais soit partons, je t'en prie, tue-moi si tu la trouves inacceptable
Car je ne peux me resoudre a me separer d'elle
Mais, soit, partons
Et le point-virgule sera notre Athena!
(Les deux comperes rentrent dans le port ammare au bateau;


Lu et approuvée!
Et que la force du mot puisse à jamais effacer tes larmes!
En gros, il est inutile d'écrire quand on sait pleurer!
Si non, passe un petit coucou à ton ami laurent!
Dis lui qu'homere voit tout, entends tout!
Dis lui que mon amour est une mélodie!
Dis lui des choses bien de ma part!
Dis lui donc que je l'aime
Un point c'est tout.
un
.
c'est tout



#351352 Fragments Poétiques

Posted by homere on 16 October 2006 - 02:11 AM in Le petit salon...

Fragment 39

Là ou tout a commencé,
Négliger les milles millions d'étincelles
parant les lointaines dunes sur ton visage,
C'est dérober les merveilles de ton sourire.
Mais dans le secret des vœux,
Point ne cesseront de conter,
Les chants étoilés,
L'odyssée de ton souffle.

La vie du passé, tu t'en souviendras
La mort du futur tu ne retrouveras point
Et les perles d'or
Et pluie de fleurs,
Seront le trophée de nos ascensions.
La féerie est le testament du
« Tout à commencé par »!

L'aveuglante lumière de ton âme
Tu n'étreindras guère!
Et tant que le peuple des émois
N'aura pas oublié!
Il faudra oublier tes larmes!
Oublier qu'elles seront à jamais suspendues au néant!
Et le miel salé de nos entrailles que voilà
Finira seul ton voyage,
Là ou tout a commencé.



#351347 Liquidation émotive!

Posted by homere on 16 October 2006 - 12:28 AM in Le petit salon...

Citation (Med37 @ Oct 9 2006, 11:01 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Magnifique poème.




merci smile.gif



#351306 Fragment (15)

Posted by homere on 15 October 2006 - 09:13 PM in Analyse textuelle

Citation (serioscal @ Oct 15 2006, 09:00 PM) <{POST_SNAPBACK}>
La question est à revoir.




Ce qui est à revoir c'est ton pseudo, pas la question! smile.gif



#351233 6 Août

Posted by homere on 15 October 2006 - 03:11 PM in Le petit salon...

Citation (Pampi @ Oct 15 2006, 03:27 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Tu crois pas si bien dire à propos de la maternelle...et arrête d'embêter ma maman, na!

Quel piètre débatteur tu fais...Arrête, de me chercher, tu vois bien que je te ridiculise chaque fois un peu plus. Arrête, vraiment. C'est tellement facile de te botter le cul à coups de mots...

Bisous ma biche.




smile.gif tu parles pour toi!



#351206 Les Pathos De Mon Errance émotive

Posted by homere on 15 October 2006 - 11:56 AM in Nouvelles

Le pathos de mes compulsions internes empli à l'infini l'horizon du ridicule, et l'enjolive sainement de vestiges alizés ! Le luthier pourra quant à lui sculpter bénévolement ses intentions et même murmurer à l'occasion mes notes aériennes, qu'on dit par ici être à l'origine des sépultures antédiluviennes !
Le petit hiver ivoire, expulsé dans le noir, trébuche plus souvent et tout en froissant l'orage théorématique de mon dos triangulaire, il continue à avancer, sachant que cette fois –ci, il s'apprête à se métamorphoser utilement, sur la grande place des suggestions secondaires !
Mes lourdes mains à parabase sonore sont encore vierges, bien qu'elles se soient mises à applaudir l'écho métallique du saint silence pictural, qui règne de ce côté précis de mon saint chef-d'oeuvre !
La paix du crâne blanc sera hissée sur quelque vague d'onde tapissant les catacombes du paganisme sentimental !
La plaine coiffée de kauris deviendra la théière elliptique du sultan bavard ! Demain femme et lapins iront ensemble se promener sur les vallons des affres et synchroniser avec grâce les quelques paramètres barbares qui résistent difficilement et espèrent un jour pouvoir activer l'hypothèse du gnou penseur !
Mon sybaritisme de petit roitelet drogué à l'apothéose de ses pères (architectes des structure néantisée) sera met à nu, face et devant le nain boitant par son troisième nez !
Au jardin des mots bleus, rien ne sera plus comme avant…rien, sur l'autel des vibrations liquides, et le pied gauche de la miette imbibée sera un domestique féal pour le peuple des orangs-outans ! L'épine de mon ombre à dix reflets blasés d'avoir osé, ne pourra plus régner sur la lacune qu'on ne chie pas toujours le jour de ses 4 ans !
Le scandale baveux sera destiné à compter les libellules séléniques !
Mon hibernation d'Hermite sera la constitution du grand conseil où chats et souris décoreront ensemble le poil galant du monarque extraterrestre!
Le pathos de mon errance émotive, de l'errance de mes craintes impulsives nie aujourd'hui l'existence de la passivité indéterminée!
La valence des symboles assertifs cherche inexorablement à imiter l'oeillade chimique des rayons, galopant tout autour de ces tortues vertes censées être insensées!
L'incertitude de l'intention est ambiguïté d'après le cinquième tome du parchemin universel! L'essence matricielle du sens canalisée demeurera ainsi un symptôme qui implique que tout peut vous arriver à n'importe quel moment de la vie!




#351196 Fragment (15)

Posted by homere on 15 October 2006 - 10:26 AM in Analyse textuelle

Citation (vélo @ Oct 15 2006, 08:35 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Ah ! mon pauvre Homère... Si tu savais ce que ce forum est lent. Ici les gens prennent le temps de lire avant de dire quoi que ce soit du poème. Si le poème est flèche, le lecteur est tortue ! Voilà pourquoi Rimbaud a sûrement dit : "La poésie sera en avant !"

Enfin, il l'a écrit. Une analyse d'Homère ? Cela se mitonne... Le temps que tu enterres la hache de guerre avec Israël et que tu entres sur le terrain diplomatique, peut-être ?


Mauvaise réponse. smile.gif



#351136 Fragments Poétiques

Posted by homere on 15 October 2006 - 01:15 AM in Le petit salon...

Fragment (38)

Ton visage, c'est la lune !
Couleur cannelle des dunes
Ton visage, c'est la lumière
Ombre noyée à ton sourire
Étincelle voilée, tu es d'or d'âme
Perle fleurie, tu es femme
Rêve balsamique pour demain
Aujourd'hui, le lendemain
Ton visage tel l'eau de la terre
Vagues des ailes et de la mer
Ton visage, lait des nuages
Musc envoûtant ou sel solaire !
Ton visage, ce diamant d'Eden
A qui je rends cet hommage.



#351105 L’opium Des Chirurgies Pensives

Posted by homere on 14 October 2006 - 08:55 PM in Nouvelles

Citation (Pritos @ Oct 14 2006, 09:51 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Depuis le 28 septembre, il devrait avoir fini?

Ton texte, cher aède fou, l'aura définitivement absorbé... unsure.gif

Génial Homère!




merci beaucoup mon cher Pritos et merci encore pour être passé par ici!



#351064 Fragment (15)

Posted by homere on 14 October 2006 - 06:29 PM in Analyse textuelle

votre analyse svp



#351063 Al-hallâj!

Posted by homere on 14 October 2006 - 06:27 PM in Salon de publication principal

Citation (Natacha2006 @ Oct 14 2006, 04:33 PM) <{POST_SNAPBACK}>
"Je" est "Nous", "Nous" est "Un", "Un" est Bhrama. A part ça qu'est-ce que je sais ?

Merci pour ce poème bien senti qui nous rappelle notre condition et notre faiblesse mortelles.


merci aussi d'être passé le lire! amicalement homere



#350990 Courte Et Brève Impression Explicative

Posted by homere on 14 October 2006 - 12:18 PM in Nouvelles

Citation (Pampi @ Oct 14 2006, 07:22 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Ce que tu écris n'est pas complexe, ce n'est pas bon c'est tout.
Aussi simple que ça...
Brouillon...comme ton coeur apparemment.
Ô je t'aime mon Homère!


Citation
concernant ce que tu appelles les critiques, tu peux dès maintenant les garder pour ton compte personnel, parce que j'ai en effet l'ultime convexion qu'elles te seront plus utiles qu'à moi, Donc rongez les précisément dans un coin et pense de temps en temps à tes insuffisances linguistiques, si tu veux réellement en bénéficier!

Va voir ailleurs maintenant, peut être qu'on te prendra comme ami, et si tu es sages, sage comme une image on t'adoptera peut être!



#350986 Al-hallâj!

Posted by homere on 14 October 2006 - 12:03 PM in Salon de publication principal

N'est pas un homme guidé

Celui qui a de l'estime pour Al-Hallâj!

Féal et disciple ingrat de saton,

Al-Hallâj, le banni du tout puissant

Fut tenté par ces divagations

Qui lui furent croire que son visage

Fût d'apparence celui du tout puissant.



N'est pas instruit ou savant

Celui qui est érudit,

Non, mais ignorant plutôt

Si il croit que son esprit

Et celui du tout puissant

Ne font qu'un.



N'est pas éclairé


Celui qui est aveuglé

Par ces propres méditations!

Ne le fut point non plus Al-Hallâj

Qui s'adressa au tout puissant

Et finit par lui dire

"Où donc est ton essence,

Hors de moi, pour que j' y voie clair"



#350922 L'ascenceur Social Est En Panne

Posted by homere on 14 October 2006 - 02:56 AM in Le petit salon...

Citation (Silences... @ Oct 12 2006, 05:34 PM) <{POST_SNAPBACK}>
J'écoute France Culture ce qui est rare... Ma génération celle des 50 ans d'aujourd'hui est plus riche qu'il y a 20 ans mais nos enfants qui auront 50 ans dans 20 ans ne pourront pas payer leur retraites et nos problèmes de vieux de 70 ans... Le krach boursier aura lieu... Même si je n'en suis pas le bénéficiaire... Je pense que la retaite par répartition va sauter et question de services sociaux çà va pas être rigolo !




France culture, c'est la référence des racistes comme toi!



#350921 Fragment (15)

Posted by homere on 14 October 2006 - 02:51 AM in Analyse textuelle

Fragment (15)

Nos enfants ont grandis mon chéri !
Ils sont le portrait craché de ton aimable zibeline!
Tous autant qu’ils sont se droguent régulièrement!
Benoît passe son temps à escalader
Les nuages des monts des vœux!
Il rêve de la pulpe dorée de l'océan indien,
Et c’est sans doute pour cette raison
Qu’il s’est met dans le crâne
Qu’Alfred et Jean l’indien pourraient l’aider.
Diane mange deux puddings par minutes,
Elle voudrait être immense comme la reine des comètes !
Jérémie ne cesse de lécher le lait
De la juteuses neige que tu as semé sous son lit.
Pour le jour de son 120ème violes,
Perpétré sur la statue du salon!
William prend les roses par des fées !
D’ailleurs il va en épouser une
« C’est la plus parfumée d'entre elles » dit-il !!
Cette année, il a fauché ton petit jardin d’étoiles !
Il dit qu’il va y planter son affection pour les lilas masqués!
Marie-Louise, ta fille diserte, la douée de la famille
Ne discours qu’avec la galaxie des anachorètes!
Et moi mon amour,
J’attends toujours avec impatience
Le jour de ton 1er accouchement!
Mais la meilleur de toute mon chéri,
c’est que je suis de nouveau enceinte!
Le médecin m’a appris que je serais la maman d’une belle planète!



#350920 6 Août

Posted by homere on 14 October 2006 - 02:44 AM in Le petit salon...

Maudit chrétien, tâche que tu sois ou citoyen, je te conseille au plus vite de retourner à la maternelle, car tu as encore une bonne centaine d'années à y passer, avant d'arriver à écrire quelque chose de moyen, alors qu'en est –il pour un écrit sensé et vraiment concret!
Pauvre imbécile, tu as composé le faux numéro en osant s'attaquer au plus grand poète qui ait jamais existé!
Que le diable nique ton pape dans une cave pleine de bites en plastique, et que ta maman soit à jamais la vierge de son tombeau!!



#350914 Courte Et Brève Impression Explicative

Posted by homere on 14 October 2006 - 01:03 AM in Nouvelles

Citation (Pampi @ Oct 13 2006, 11:48 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Vraiment ton texte me fait plaisir...je pense le lire à haute voix dimanche dans les vestiaires, juste après la match et le sempiternel savon du coach.
D'ailleurs, mes frères de combat, bleuis par les chocs en première ligne, devraient être touchés.
C'est promis, nous boirons à la santé de tes muses au retour.
En souhaitant mon ami qu'elles s'accordent à la puissance émouvante de tes neurones...
Tout de même quelle lucidité aiguisée. Comment fais-tu Ô Homère pour vivre à nos côtés? Fuis, fuis, Le parthénon est en travaux, apporte je t'en prie, la dernière pierre à l'édifice. Car les Dieux sont avec toi.

Pssst...Homère, tant que tu y es, dans l'avion qui te conduira à Athènes, rélis le bescherell...L'orthographe et ses règles te dépassent, je le comprends, mais un texte sans une faute à chaque ligne, ça le fait plus.
Bisous mon Lucide.




Ecoute moi bien junky, vis-à-vis de toi, il faudra te dire que je n'ai aucun compte à rendre, et concernant ce que tu appelles les critiques, tu peux dès maintenant les garder pour ton compte personnel, parce que j'ai en effet l'ultime convexion qu'elles te seront plus utiles qu'à moi, Donc rongez les précisément dans un coin et pense de temps en temps à tes insuffisances linguistiques, si tu veux réellement en bénéficier!
Aussi, j'ai l'impression que ton pseudo ne m'est si étranger que cela, et j'ai plus au moins envie de répondre à tes sottises, mais cela ne fera en réalité que t'encourager à continuer à me faire perdre plus temps, ce que je ne peux me permettre en ce moment, et si je veux jouer avec un pantin, crois moi, ça ne sera certainement pas toi que je choisirais!
Je vais donc interrompre ici, car je ne suis pas le genre de personne à qui on peut facilement tendre un piège!
Sur ceci continue à aboyer au passage de mes ombres furtives, garnies de génie, et surtout attends toi à être ignoré, car, à partir de maintenant, tu n'aurais plus d'intervention de ma part, et je pense que tu peux te faire une raison! Hein junky
Je répète, que je ne suis pas dupe, et que ça ne sert à rien de me provoquer, puisque nul besoin de te faire comprendre qu'une fourmi (comme toi) ne peut en aucun cas nuire à un géant comme moi!
Silence junky, l'heure de dormir vient de sonner, et que la paix diurne soit avec moi


Code
Illisible et on ne perd pour ainsi dire rien....

Toutefois une suggestion à Homere, choisis mieux tes sujets, prohibes les nauséabonds.
C'est pas parce que l'on a des notions d'écriture que tout nous est permis.


je t'envoie à la même réponse faite à l'autre pantin rolleyes.gif



#350867 Fragments Poétiques

Posted by homere on 13 October 2006 - 08:38 PM in Le petit salon...

Fragment 35

Cela ne me gêne guère de le dire haut et fort :
«Les handicapés sont autant fous que mon chimpanzé,
Et pour ma part on devrait leur infliger la peine de mort »
Ainsi, sur ce sujet, je rejoins les xénophobes et autres nazis.
Et déclare sans aucun scrupule mes lazzis.

Un handicapé mental est un automate social…
Consommateur inutile de produits acquis avec nos thunes
L'handicapé physique est une énorme bévue raciale
Qui nuit et importune la raison commune.

Ce qui est moins drôle, c'est qu'on pas le droit d'en abuser
Ni non plus de profaner son corps à coup de bites.
Et le plus triste est encore de refuser
D'admettre que c'est un hypocrite.




fragment (37)

Mes thérapeutes demandent à m’examiner
Un informateur l’aura apprit que j’ai deux vagins
Un qui sert à faire déguerpir les prisonniers
Et l’autre à abriter le pasteur des bovins
L’un d’entre eux me dit
« Celui de droite parle t’il le français »
« Oui monsieur dis-je, mais une vieille et ridicule,
guêpe, l’a piqué dans un combat contre un pénis anglais»
Aujourd’hui dis –je avec un peu de gratte-cul,
Son état est stabilisé et je vais enfin me moucher !



#350865 L’opium Des Chirurgies Pensives

Posted by homere on 13 October 2006 - 08:30 PM in Nouvelles

Citation (serioscal @ Sep 28 2006, 11:47 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Mon dieu ! mais tu as mon visage !
Par contre tu as ton style. C'est cool.
En plus tu a annexé Clamart en ssd. Top de top.

Bon. Je vais lire le texte.




smile.gif merci